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Image 1: Eugenie Bastie Les signatures d Europe 1

Eugénie Bastié - Les signatures d'Europe 1

Les Signatures d'Europe 1 - Eugénie Bastié est le rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension de l'actualité politique française. Chaque mardi, mercredi et vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié, journaliste et essayiste reconnue, décrypte les grands enjeux du moment avec son style incisif et argumenté. De l'analyse des politiques gouvernementales aux débats de société les plus brûlants, en passant par les enjeux internationaux, Eugénie Bastié aborde tous les sujets qui font l'actualité. Son émission est un véritable outil pour se forger une opinion éclairée et comprendre les enjeux qui façonnent notre monde.


Vous écoutez:

Choisissez un podcast dans la liste ci-dessous.

  • Podcast du vendredi 14 f?vrier 2025 : La fin de vie en une ou deux questions ? :

    Eugénie Bastié analyse les enjeux du projet de loi sur la fin de vie, qui divise la classe politique. D'un côté, le président envisage un référendum, tandis que le Premier ministre souhaite dissocier les textes sur les soins palliatifs et l'aide active à mourir. Eugénie Bastié souligne les différences fondamentales entre ces deux aspects et met en garde contre les risques d'une légalisation hâtive de l'euthanasie, alors que l'accès aux soins palliatifs reste encore insuffisant en France.

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  • Podcast du mercredi 12 f?vrier 2025 : Quand Google «dégooglise» la diversité :

    Eugénie Bastié analyse le revirement de Google concernant ses politiques de diversité, d'équité et d'inclusion. Après avoir été l'une des entreprises les plus engagées dans ces questions, Google décide de revenir à une approche plus axée sur la méritocratie. Ce changement de cap soulève des questions sur l'équilibre entre égalité des chances et égalité des résultats dans le monde du travail.

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  • Podcast du mardi 11 f?vrier 2025 : Le droit du sol est-il sacré ? :

    Eugénie Bastié analyse le débat autour du droit du sol en France. Elle revient sur les origines de ce principe, son utilisation politique et les différentes conceptions de la nationalité dans le monde. Une réflexion nuancée sur un sujet sensible qui touche à l'identité nationale.

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  • Podcast du vendredi 07 f?vrier 2025 : Les patrons à l’Assemblée Nationale ou l’économie pour les nuls :

    Eugénie Bastié analyse un contraste saisissant : des grands patrons d'entreprises, comme le PDG de Renault, viennent donner une leçon d'économie à des élus français qui semblent ignorer les réalités du monde de l'entreprise. Ces dirigeants mettent en lumière les conséquences des décisions politiques sur la compétitivité des entreprises et la création d'emplois en France. Ils dénoncent notamment le poids des normes et des taxes qui rendent difficile le maintien de l'activité économique dans le pays. Cet épisode offre un éclairage intéressant sur la culture économique de nos élus, souvent plus préoccupés par la répartition des richesses que par leur création.

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  • Podcast du mercredi 05 f?vrier 2025 : Immigration : du dénis à l’impuissance :

    Eugénie Bastié revient sur les chiffres record de l'immigration et de la baisse de la natalité en France en 2024. Elle analyse les enjeux de ces tendances démographiques et questionne l'incapacité des pouvoirs publics à y faire face. Elle aborde également le débat sémantique autour du terme de "submersion" utilisé par certains responsables politiques pour décrire la situation.

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  • Podcast du mardi 04 f?vrier 2025 : Alger et l’expulsion des migrants : faites ce que je dis pas ce que je fais ! :

    ugénie Bastié revient sur les déclarations polémiques du président algérien Abdelmajid Tebboune à l'encontre de la France. Il accuse notamment le pays de persécuter le peuple algérien et menace d'une « irréparable séparation ». Bastié analyse les manipulations historiques et les deux poids deux mesures du régime algérien, qui se permet de critiquer la France sur l'immigration tout en pratiquant lui-même des méthodes brutales envers les migrants. Un éclairage essentiel sur les tensions diplomatiques entre les deux pays.

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  • Podcast du vendredi 31 janvier 2025 : Meurtre à Stockholm :

    Eugénie Bastié revient sur la mort de Salwan Momika, un militant anti-islam abattu en Suède. Elle analyse les tensions entre la liberté d'expression et le blasphème, ainsi que l'impact du multiculturalisme sur ces questions. Elle évoque les cas de personnalités comme Samuel Paty ou Charlie Hebdo, victimes de violences liées à la critique de l'islam. Eugénie Bastié s'interroge sur la capacité de nos sociétés à préserver la liberté d'expression face à l'irruption de l'islamisme.

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  • Podcast du mercredi 29 janvier 2025 : On peut soutenir la gauche mais il est interdit de liker la droite :

    Eugénie Bastié revient sur la démission du président du groupe Ebra, Philippe Carli, après que Mediapart a révélé qu'il avait liké des publications de l'eurodéputée Sarah Knafo et partagé des extraits de l'émission de Pascal Praud. Eugénie Bastié s'interroge sur le deux poids deux mesures qui semble régner dans les médias, où certaines prises de position sont sanctionnées tandis que d'autres sont tolérées. Elle s'inquiète de cette forme de "terrorisme intellectuel" qui menace l'indépendance et le pluralisme de la presse française.

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  • Podcast du mardi 28 janvier 2025 : Pourquoi il est cynique et irresponsable de dire que la France a besoin d’immigration :

    Eugénie Bastié analyse les propos controversés du ministre de l'Économie, Éric Lombard, sur l'immigration. Elle remet en question l'idée selon laquelle la France aurait besoin d'une immigration de travail massive pour combler ses besoins de main-d'œuvre. Eugénie Bastié soulève les enjeux éthiques, sécuritaires et identitaires liés à cette politique, tout en s'interrogeant sur les véritables motivations économiques qui se cachent derrière ces discours. Elle propose des pistes de réflexion sur les alternatives possibles pour relever les défis démographiques du pays.

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  • Podcast du vendredi 24 janvier 2025 : Rima Hassan, une influenceuse algérienne au parlement européen :

    Eugénie Bastié revient sur le vote du Parlement européen exigeant la libération de l'écrivain algérien Boilem Sansal. Elle s'attarde notamment sur le vote de la députée LFI Rima Hassan, qui s'est prononcée contre cette résolution, prêtant ainsi allégeance au régime algérien. Eugénie Bastié analyse les positions politiques de Rima Hassan, qui semble privilégier les intérêts de l'Algérie et de la Palestine au détriment de la France. Cet épisode offre un éclairage intéressant sur les enjeux géopolitiques et les débats au sein du Parlement européen.

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  • Podcast du mercredi 22 janvier 2025 : Taxer les retraités, un tabou français :

    Eugénie Bastié aborde un sujet sensible : la proposition de la ministre du Travail Astrid Panosyan de faire contribuer davantage les retraités aisés pour financer la protection sociale. Eugénie Bastié analyse les enjeux de ce débat budgétaire, qui oppose les générations et soulève des questions sur l'équité du système de retraite. Elle évoque également les défis liés au vieillissement de la population et la nécessité de trouver de nouvelles sources de financement pour le modèle social français. Un épisode qui offre un éclairage nuancé sur un sujet d'actualité brûlant.

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  • Podcast du mardi 21 janvier 2025 : Quand les chercheurs du CNRS font de la politique :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié soulève une question brûlante : le CNRS, fleuron de la recherche scientifique française, s'est-il éloigné de sa mission première pour se lancer dans un militantisme politique ?

    L'émission s'ouvre sur la présentation d'une application développée par des chercheurs du CNRS, visant à faciliter le départ des utilisateurs du réseau social X, appartenant au controversé milliardaire Elon Musk. Eugénie Bastié voit dans cette initiative un détournement des fonds publics et des moyens de l'institution au profit d'une cause politique.

    Avec son style incisif et argumenté, la journaliste remonte aux origines du CNRS, fondé en 1939 pour structurer la recherche scientifique française dans un contexte de tensions géopolitiques. Elle souligne que ses fondateurs, tels que Jean Zé et Irène Joliot-Curie, plaçaient l'intérêt général, l'indépendance scientifique et la neutralité au-dessus de tout.

    Mais, selon Eugénie Bastié, peu à peu, la recherche scientifique occidentale a été « contaminée par l'idéologie ». Elle pointe du doigt la mobilisation des chercheurs du CNRS contre l'enquête sur l'islamo-gauchisme à l'université, un sujet politiquement sensible.

    L'émission soulève des questions fondamentales sur le rôle et la mission du CNRS dans un contexte où la recherche scientifique semble de plus en plus influencée par des considérations politiques. Avec son analyse incisive et son ton sans concession, Eugénie Bastié invite les auditeurs à réfléchir sur les dérives potentielles de l'instrumentalisation de la science à des fins partisanes.

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  • Podcast du vendredi 17 janvier 2025 : Abolir le crime, sourire aux assassins : la recette de la société du bonheur selon Geoffroy de Lagasnerie :

    Eugénie Bastié plonge dans les propos controversés d'un philosophe de la gauche radicale, Geoffroy de Lagasnerie. Publié dans Libération, son entretien propose une idée pour le moins surprenante : abolir purement et simplement la notion de crime.

    Geoffroy de Lagasnerie, qualifié d'« aristocrate à capuche » vivant dans les beaux quartiers, se lance dans une entreprise qu'il décrit lui-même comme une « destruction de nos repères culturels et de construction d'une nouvelle morale ». Son ennemi ? Le punitivisme, c'est-à-dire le fait de réprimer les crimes et les délits.

    Selon le philosophe, il faudrait remplacer la notion de crime par celle de « blessure », à l'image de la médecine où l'on ne cherche pas à punir celui qui nous a transmis une maladie. Plutôt que de punir le coupable, mieux vaudrait se concentrer sur la « guérison » de la victime. Une comparaison qui laisse perplexe, surtout lorsqu'il s'agit de crimes graves comme le meurtre ou le viol.

    Geoffroy de Lagasnerie admet tout de même qu'il faut garder des prisons, mais des prisons « non punitives », où règnerait un « principe de non-cruauté » et où les détenus ne seraient pas privés de liberté sexuelle, de communication ou de vie sociale. Une sorte de « Club Med » carcéral, en somme.

    Interrogé sur le terrorisme, le philosophe affirme que la mort de Samuel Paty n'est qu'un « assassinat » et qu'il ne faut pas la « sur-signifier ». Selon lui, le terme de « terrorisme » n'est que celui utilisé par les djihadistes eux-mêmes pour qualifier leurs actes. La solution ? La bienveillance et la lutte contre le racisme, qui permettraient de « déradicaliser » les terroristes. Un raisonnement pour le moins surprenant.

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  • Podcast du mercredi 15 janvier 2025 : Nos berceaux sont vides, les politiques regardent ailleurs :

    Eugénie Bastié dresse un constat alarmant sur la chute de la natalité en France, un phénomène qui pourrait avoir de lourdes conséquences économiques et sociales pour le pays.

    Selon les chiffres de l'INSEE, le nombre de naissances a atteint un niveau historiquement bas en 2022, avec seulement 663 000 bébés nés, soit une baisse de plus de 20% par rapport à 2011. L'indicateur de fécondité a chuté à 1,62 enfant par femme, un niveau plus vu depuis la Première Guerre mondiale.

    Cette tendance à la dénatalité, qui touche également d'autres pays européens, n'est pas sans risque pour l'avenir de la France. Comme l'explique Eugénie Bastié, un pays vieillissant est un pays "allergique aux risques, qui n'innove plus, qui stagne". La pyramide des âges s'inverse, les actifs peinent à financer le poids des retraites, et la décision politique risque d'être orientée au profit des électeurs âgés, au détriment des plus jeunes.

    Pourtant, les politiques semblent ignorer ce défi démographique majeur, préférant se concentrer sur des sujets comme le retour à la retraite à 62 ans. Eugénie Bastié souligne l'urgence d'agir, en s'attaquant notamment à la crise du logement, en améliorant les modes de garde, ou encore en rééquilibrant la justice entre les générations.

    Mais au-delà des mesures politiques, la chute de la natalité serait aussi liée à un "bouleversement anthropologique majeur", avec un "refus du couple et de la relation homme-femme" observé dans certains pays, comme en Corée du Sud où le taux de natalité est à seulement 0,7 enfant par femme.

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  • Podcast du mardi 14 janvier 2025 : Tondelier, Chappaz, Pigasse : ces tartuffes de la liberté d’expression :

    Eugénie Bastié revient sur les récentes déclarations de la ministre du Numérique, Clara Schapaz, qui a affirmé qu'il fallait interdire les « fausses opinions » sur les réseaux sociaux. Une position qui soulève de nombreuses questions : qu'est-ce qu'une « fausse opinion » ? Qui la détermine ? L'État ? Les journalistes ? Le président ? Un véritable « ministère de la Vérité » ?

    Alors que certaines « fausses opinions » ont parfois été prouvées crédibles par la suite, Eugénie Bastié met en lumière l'inquiétante tendance de la gauche à vouloir censurer les voix qui ne sont pas les siennes. Un phénomène qu'elle étend également à l'« extrême centre », citant les propos de la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Brown-Pivet, qui a osé affirmer que la « libéralisation des réseaux sociaux américains est une menace pour la démocratie ».

    Eugénie Bastié nous rappelle que la liberté d'expression est un pilier essentiel de la démocratie, et qu'elle ne doit pas être sacrifiée au nom de la lutte contre la désinformation. Un épisode passionnant qui invite à réfléchir sur les dérives autoritaires de certains de nos dirigeants, et sur la nécessité de préserver coûte que coûte ce précieux droit.

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  • Podcast du vendredi 10 janvier 2025 : Quand Mark Zuckerberg enterre le fact checking :

    Une annonce fracassante de Mark Zuckerberg ! Le patron de Meta a décidé de renoncer au fact-checking sur ses réseaux sociaux Facebook et Instagram. Fini les vérifications par des journalistes indépendants, désormais ce sera la communauté des utilisateurs qui jugera de la véracité des contenus. Mais qu'est-ce qui pousse Zuckerberg à faire ce virage à 180 degrés ? S'agit-il d'un simple alignement sur la ligne de Donald Trump et Elon Musk, ou d'un véritable changement de paradigme idéologique ?

    Eugénie Bastié décrypte les enjeux de cette décision historique. Elle revient sur la montée en puissance de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux, au détriment de la lutte contre la désinformation. Certains craignent les dérives que pourrait entraîner cette nouvelle ère, mais pour Eugénie, la vérité n'a rien à craindre de la libre expression. Elle met en garde contre les tentations autoritaires de vouloir contrôler coûte que coûte le débat public, à l'image des régimes chinois et russes.

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  • Podcast du mercredi 08 janvier 2025 : La gauche en deuil, elle perd son meilleur ennemi :

    Eugénie Bastié analyse l'impact de Jean-Marie Le Pen sur la politique française et la façon dont la gauche a façonné sa figure controversée. Elle explore comment, pendant 40 ans, la gauche a utilisé la diabolisation de Le Pen pour éviter des débats de fond sur l'immigration ou l'antisémitisme.

    Au-delà de l'homme, Bastié met en lumière les dangers d’un "cordon sanitaire" étendu à quiconque aborde ces sujets sensibles, transformant l'antiracisme en un outil de disqualification.

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  • Podcast du mardi 07 janvier 2025 : Gangs de violeurs en Grande-Bretagne : quand l’antiracisme conduit au pire :

    Cet épisode évoque le scandale des réseaux criminels d'origine pakistanaise ayant sévi pendant des décennies au Royaume-Uni. Des milliers de jeunes filles vulnérables ont été victimes de viols et de prostitution organisée dans plusieurs villes anglaises. L'affaire met en lumière l'inaction des autorités et des médias, paralysés par la crainte d'accusations de racisme. Eugénie Bastié souligne comment ce drame, moins médiatisé que #MeToo, révèle les tensions sociales britanniques et les défis de l'intégration. Elle pointe les dysfonctionnements d'une société où, selon elle, le multiculturalisme et la peur du politiquement correct ont conduit à négliger des crimes graves.

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  • Podcast du vendredi 20 d?cembre 2024 : Nouveaux vitraux de Notre-Dame, un caprice progressiste ? :

    Eugénie Bastié se penche sur la polémique concernant le remplacement des vitraux de Notre-Dame. Emmanuel Macron et l'archevêché de Paris ont décidé d'installer des vitraux contemporains à la place des grisailles de Viollet-le-Duc, une décision qui divise.

    Les opposants estiment que les vitraux actuels sont en bon état et que ce remplacement va à l'encontre de la Charte de Venise, alors que les partisans veulent marquer le présent sur ce monument historique. Eugénie Bastié critique ce projet, le qualifiant de "caprice" idéologique et soulignant que Viollet-le-Duc était un restaurateur fidèle à la tradition, pas un innovateur.

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  • Podcast du mercredi 18 d?cembre 2024 : Quand Israël déchire «Le Monde» :

    Eugénie Bastié explore les coulisses des 80 ans du prestigieux journal Le Monde, mettant en lumière un malaise grandissant au sein de la rédaction sur le traitement du conflit israélo-palestinien. Son enquête révèle des accusations d'indulgence envers le Hamas et d'hostilité envers Israël, ainsi que l'existence d'un « mur pro-Gaza » dans les locaux du journal. Certains journalistes dénoncent l'influence personnelle de confrères, comme Benjamin Barthes, marié à une militante pro-palestinienne.

    Cet épisode soulève des questions sur le journalisme de conviction et la nécessité de préserver l'impartialité et la rigueur journalistique.

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  • Podcast du mardi 17 d?cembre 2024 : Wikipédia est-il devenu Wokipédia ? :

    Eugénie Bastié nous entraîne au cœur d'une enquête révélatrice sur les dérives idéologiques qui gangrènent l'encyclopédie en ligne Wikipédia.

    Alors que Wikipédia est censée être la plus belle réussite collaborative d'Internet, offrant un accès gratuit et universel à la connaissance, l'émission lève le voile sur les manipulations auxquelles elle est sujette. Certains contributeurs militants n'hésitent pas à biaiser volontairement le contenu de certaines pages, faisant primer leur agenda idéologique sur l'objectivité.

    Eugénie Bastié partage son propre témoignage, expliquant comment sa page Wikipédia la présente comme une personnalité d'extrême droite, citant des sources de gauche voire d'extrême gauche comme des références. Un véritable combat qu'elle mène, tout comme d'autres personnalités politiques, pour tenter de rectifier ces informations erronées.

    Au-delà de ces cas individuels, elle s'interroge sur les dérives plus générales de Wikipédia, devenue selon certains une «Wokipédia», où les pages seraient systématiquement plus négatives pour les personnalités de droite. Un reflet, selon les invités, de la montée des passions et de l'opinion sur Internet, au détriment de l'esprit d'origine collaborative et démocratique du projet.

    Malgré ces biais, les intervenants soulignent néanmoins l'utilité globale de cette encyclopédie, un outil irremplaçable dans de nombreux domaines. Mais ils appellent à une prise de conscience collective pour mieux en encadrer les contributions et préserver son intégrité.

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  • Podcast du mercredi 11 d?cembre 2024 : Un an de Javier Milei : et si la France avait aussi besoin d’une thérapie de choc ? :

    L'Australie a pris une décision radicale en interdisant les réseaux sociaux aux moins de 16 ans, une première mondiale. Cette loi impose aux plateformes comme Snapchat, TikTok, Facebook et Instagram de vérifier l'âge des utilisateurs sous peine d'amendes. Eugénie Bastié souligne les dangers de l'addiction numérique, notamment le décrochage intellectuel et la dégradation de la santé mentale chez les jeunes. Elle cite des chiffres alarmants, comme l'augmentation des pensées suicidaires et de la dépression chez les adolescentes.

    Eugénie Bastié appelle à des actions préventives plutôt qu'à des remboursements de psychothérapie. D'autres pays, comme la Suède, la Chine et la Corée du Sud, ont également pris des mesures restrictives. En France, Emmanuel Macron a exprimé son soutien à l'interdiction des portables avant 11 ans et des réseaux sociaux avant 15 ans, mais peu de progrès ont été réalisés. Eugénie Bastié exhorte les décideurs à agir rapidement pour protéger la jeunesse.

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  • Podcast du mardi 10 d?cembre 2024 : Un an de Javier Milei : et si la France avait aussi besoin d'une thérapie de choc ? :

    Un an après l'élection de Javier Milei, initialement perçu comme une menace pour la démocratie, ses réformes libérales montrent des résultats positifs : stabilisation de l'inflation et excédent budgétaire. Comparé à Giorgia Meloni, Javier Milei incarne une alternance politique réussie. Eugénie Bastié invite à repenser les modèles français et à envisager des réformes audacieuses, inspirées par l'exemple argentin, pour sortir de l'impasse économique et politique.

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  • Podcast du vendredi 06 d?cembre 2024 : Le populisme au fond de l’impasse démocratique :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié explore la crise politique française, marquée par un sentiment de déclin partagé par 9 Français sur 10. Elle dénonce une Assemblée nationale divisée en trois pôles irréconciliables, un système de la Cinquième République inadapté, et un "front républicain" qui fausse le jeu démocratique. Selon elle, la diabolisation politique alimente le populisme et menace la démocratie. Elle prédit une "catharsis populiste" inévitable pour sortir de l'impasse avant 2027.

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  • Podcast du mercredi 04 d?cembre 2024 : Immigration : quand la gauche britannique est plus ferme que la droite :

    Eugénie Bastié analyse un discours polémique de Keir Starmer, Premier ministre britannique, qui accuse les conservateurs d'avoir libéralisé l'immigration pour répondre aux besoins économiques. Starmer critique la trahison des promesses du Brexit, transformant le Royaume-Uni en une nation aux frontières ouvertes pour une main-d'œuvre bon marché. Ce discours met en lumière l'addiction des économies occidentales à l'immigration, une problématique que la gauche française peine à comprendre. Starmer, pragmatique, reconnaît les défis de l'immigration massive, incompatible avec l'État-providence et la justice sociale, contrairement à la gauche française qui voit les lois sur l'immigration comme une "faillite morale et politique".

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  • Podcast du mardi 03 d?cembre 2024 : La théorie du genre n’est pas un fantasme :

    Eugénie Bastié revient sur la polémique suscitée par les propos du ministre de l'Éducation Alexandre Portier concernant la théorie du genre dans l'éducation sexuelle. Bastié démontre que cette idéologie a infiltré diverses sphères, notamment l'éducation. Elle explique que la théorie du genre, présentée comme scientifique, est en réalité un mouvement militant. Elle met en garde contre les dérives potentielles, comme l'importance accordée au concept d'« identité de genre » dans l'éducation sexuelle, qui pourrait avoir des conséquences concrètes sur les enfants. S'appuyant sur des études, elle appelle à une vigilance accrue pour éviter que le militantisme n'influence l'éducation. Bastié invite les auditeurs à se forger une opinion éclairée sur ce sujet brûlant.

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  • Podcast du vendredi 29 novembre 2024 : Boycott de X : qui a peur de la liberté d'expression ? :

    Chaque vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.


  • Podcast du jeudi 28 novembre 2024 : Est-ce à l'État d'éduquer nos enfants à la sexualité ? :

    Le nouveau programme d'éducation à la vie affective et sexuelle dans les écoles suscite le débat. Eugénie Bastié critique la présence de la « théorie du genre », qu'elle perçoit comme du militantisme déguisé. Alexandre Portier, ministre délégué, a été hué pour sa position critique. Bastié s'inquiète du risque d'une influence militante en milieu scolaire et dénonce une atteinte à la liberté éducative parentale. Cet épisode explore un débat sociétal majeur sur le rôle de l'État dans l'éducation des enfants.

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  • Podcast du mercredi 27 novembre 2024 : La dernière folie de la CEDH, la Cour Européenne des Droits de l’Homme :

    Chaque mardi et mercredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Charlotte d'Ornellas livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mardi 26 novembre 2024 : Le mal-être grandissant des jeunes : pourquoi tant de souffrances ? :

    Eugénie Bastié explore la crise de santé mentale des jeunes en France. Avec un jeune sur deux confronté à un épisode dépressif et des urgences saturées par les 11-17 ans pour idées suicidaires, le constat est alarmant. Au-delà des réseaux sociaux, de l'éco-anxiété et de la crise sanitaire, Eugénie pointe des causes profondes : affaiblissement de l'autorité, fragilité des structures familiales et perte de repères spirituels et éducatifs. Avec la psychologue Marie-Estelle Dupont, elle appelle à un examen de conscience collectif pour répondre à cette urgence sociétale.

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  • Podcast du vendredi 22 novembre 2024 : Boualem Sansal : la liberté bâillonnée par la dictature algérienne :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié revient sur l’arrestation de l’écrivain algérien Boualem Sansal, figure de la littérature et critique du régime autoritaire de son pays. Refusant l’exil malgré les persécutions, Sansal a été arrêté après avoir obtenu la nationalité française, illustrant la peur du pouvoir face à ses écrits dénonçant la corruption et l’intégrisme.

    La journaliste analyse cette répression, rappelant les cas similaires d’auteurs comme Kamel Daoud. Elle appelle la France à défendre Sansal, soulignant que son combat pour la liberté d’expression est universel. Un épisode poignant sur les libertés fondamentales en péril.

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  • Podcast du mercredi 20 novembre 2024 : Travailler 7 heures gratuitement : le retour de la «corvée médiévale» :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié examine la proposition d'une nouvelle journée de solidarité pour financer la dépendance. Elle critique cette idée, la qualifiant de « corvée déguisée », et souligne l'imprévoyance des gouvernements face au vieillissement de la population. Selon elle, cette charge fiscale ne devrait pas uniquement reposer sur les actifs, mais impliquer tous les citoyens, y compris les retraités aisés et les élus. Avec un regard critique, elle interroge les solutions envisagées et plaide pour une réforme équitable et durable du financement de la dépendance.

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  • Podcast du mardi 19 novembre 2024 : Sylvain Tesson censuré de la sorbonne ou la bêtise universitaire :

    Eugénie Bastié explore un événement qui semble être passé inaperçu, mais qui en dit long sur les dérives de la « cancel culture » en France.

    Le mois dernier, l'écrivain Sylvain Tesson a été censuré par l'université de la Sorbonne, qui a retiré ses textes accompagnant une exposition photographique, sous prétexte que sa présence « ne serait pas comprise » par la communauté.

    Eugénie Bastié analyse cette affaire avec son regard aiguisé, révélant les véritables raisons de cette annulation : le caractère supposément « controversé » de Sylvain Tesson, jugé trop à droite par certains. Elle dresse un portrait nuancé de cet écrivain baroudeur, loin des caricatures, et déconstruit les attaques dont il fait l'objet depuis plusieurs années de la part de la « gauche culturelle ».

    Au-delà du cas de Tesson, c'est toute la question de la liberté d'expression et du débat d'idées à l'université qui est soulevée. Eugénie Bastié met en garde contre les dérives du sectarisme et de la diabolisation, qui risquent de discréditer les vrais enjeux politiques et intellectuels.

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  • Podcast du vendredi 15 novembre 2024 : Dégenrer les cours de récré : arrêtez d'embêter les enfants :

    Eugénie Bastié plonge au cœur d'une initiative controversée de la mairie de Strasbourg visant à « dégenrer » les cours d'école. Sous prétexte de lutter contre le « patriarcat », la ville a équipé 125 élèves de primaire de gilets connectés pour surveiller leurs mouvements et répartition dans la cour de récréation.

    Eugénie Bastié déconstruit avec précision cette approche qu'elle juge « totalitaire », remettant en cause l'idée selon laquelle toute différence entre les sexes serait une inégalité à combattre. S'appuyant sur des études scientifiques, elle montre que les préférences de jeu des enfants sont largement influencées par des facteurs biologiques, et non seulement par la « société ».

    Loin d'être une solution miracle pour l'égalité des genres, cette initiative de la mairie de Strasbourg soulève de nombreuses questions éthiques. Eugénie Bastié invite à se concentrer sur les vrais enjeux de l'éducation, comme le retard scolaire des garçons, plutôt que de s'acharner sur des différences de comportement naturelles entre les sexes.

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  • Podcast du mercredi 13 novembre 2024 : Quel est le QI de votre embryon ? :

    Eugénie Bastié nous plonge dans les coulisses inquiétantes de la start-up américaine Heliospect Genomics. Cette entreprise propose en effet aux parents ayant recours à la fécondation in vitro de sélectionner les embryons en fonction de leur QI, dans une dérive eugéniste assumée.

    Avec son analyse incisive et documentée, Eugénie Bastié nous fait prendre conscience des dangers de cette technologie, qui risque d'accentuer les inégalités et de transformer l'enfant en un « produit choisi sur étagère ». Elle soulève des questions éthiques fondamentales : jusqu'où irons-nous dans la quête de la perfection génétique ? Qui aura accès à ces technologies coûteuses ? Quel rôle doit jouer l'État pour encadrer ces pratiques ?

    Au-delà du cas particulier d'Heliospect Genomics, cet épisode nous pousse à réfléchir sur l'impact des progrès de l'intelligence artificielle et de la fécondation in vitro sur notre société. Eugénie Bastié nous invite à nous interroger sur les dérives potentielles de ces avancées technologiques, et sur les choix de société qu'il nous faudra faire pour construire un monde plus juste et plus équitable.

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  • Podcast du mardi 12 novembre 2024 : Qui sème le genre récolte le trumpisme ! :

    Eugénie Bastié nous plonge au cœur de la présidentielle américaine de 2025, où la question de l'identité de genre et du transactivisme s'est imposée comme un enjeu majeur.

    Alors que le président élu, Donald Trump, a annoncé son intention d'interdire la transition de genre chez les mineurs et la participation des hommes trans aux compétitions féminines, Eugénie Bastié analyse l'impact de cette thématique sur le scrutin. Elle revient notamment sur le « gender gap » observé chez les électrices, avec les femmes blanches de la classe moyenne ayant massivement voté pour Trump, en partie préoccupées par les dérives de l'activisme transgenre.

    Au-delà des enjeux politiques, Eugénie Bastié soulève des questions de société brûlantes, comme les conséquences de l'idéologie du genre sur les droits des femmes et la liberté d'expression. Avec son analyse aiguisée et son ton incisif, elle nous invite à réfléchir sur les dérives possibles d'une telle idéologie et sur les réactions qu'elle suscite dans une partie de l'opinion publique.

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  • Podcast du vendredi 08 novembre 2024 : Pour les islamistes et les décoloniaux, Kamel Daoud est un traître :

    Eugénie Bastié revient sur l'attribution du prestigieux prix Goncourt à l'écrivain algérien Kamel Daoud. Au-delà de cette consécration littéraire, elle met en lumière l'engagement constant de Daoud pour la défense de la liberté des femmes face à l'islamisme, un combat qui lui a valu de vives critiques.

    Fils d'Algérie, porté par une mère illettrée mais ambitieuse pour lui, Kamel Daoud incarne une trajectoire d'émancipation par l'écriture, à l'image d'Albert Camus ou de Romain Gary. Dans son roman "Houri", il aborde justement les questions de la condition féminine et de l'asservissement des femmes par l'islamisme radical.

    Ses prises de position courageuses, comme lorsqu'il a évoqué la « misère sexuelle » des jeunes hommes immigrés et le choc culturel avec la liberté des femmes en Occident, lui ont valu d'être accusé d'islamophobie par certains intellectuels de gauche. En France comme en Algérie, il est désigné comme un « traître » par les tenants d'une mémoire tronquée, son roman Houri étant même censuré dans son pays natal.

    Mais Kamel Daoud ne se laisse pas impressionner. Comme le souligne Eugénie Bastié, son combat pour les valeurs universelles de liberté fait de lui un « écrivain arabe préféré des réactionnaires », une reconnaissance qu'il assume. À travers ce portrait de l'auteur du Goncourt, c'est toute la complexité des débats autour de l'islam, de la laïcité et de l'émancipation des femmes qui est mise en lumière.

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  • Podcast du mercredi 06 novembre 2024 : Élection américaine : il y a un contraste entre l'énergie des deux personnages :

    Eugénie Bastié offre une analyse approfondie des derniers développements des élections américaines. Alors que Donald Trump a revendiqué sa victoire, malgré des résultats encore incertains, la journaliste décrypte les implications de cette situation inédite.

    Elle revient notamment sur la surprenante performance de Trump, qui semble avoir déjoué les pronostics des sondeurs et des médias ayant ouvertement fait campagne pour Kamala Harris. Eugénie Bastié souligne la faiblesse de cette dernière, qui a déçu de nombreux partisans en évitant de se présenter au quartier général de campagne dans la nuit.

    Elle met en lumière les contrastes saisissants entre l'énergie combative de Trump et l'attitude plus en retrait de sa rivale démocrate.

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  • Podcast du mardi 05 novembre 2024 : Les Américains viennent de Mars et votent pour Trump, les Américaines viennent de Vénus et votent pour Harris :

    Alors que les élections américaines battent leur plein, un nouveau facteur clé semble émerger : le clivage sexuel. Selon les derniers sondages, le vote des femmes pourrait bien jouer un rôle déterminant dans l'issue du scrutin.

    Eugénie Bastié décrypte pour nous cette tendance inédite dans l'histoire politique américaine. Alors que Donald Trump séduit près de 60% des hommes, Kamala Harris parvient à convaincre 57% des femmes, un score jamais atteint par un candidat démocrate.

    Ce phénomène ne se limite pas aux États-Unis, mais se retrouve également dans d'autres pays comme la Corée du Sud, le Royaume-Uni ou encore l'Allemagne, où les jeunes femmes votent de plus en plus à gauche tandis que leurs homologues masculins penchent vers la droite.

    Quelles sont les raisons de ce nouveau clivage sexuel ? Est-ce l'effet du néo-féminisme woke ou le sentiment d'un déclassement masculin ? Eugénie Bastié explore ces hypothèses et nous éclaire sur les enjeux de cette tendance électorale majeure.

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  • Podcast du mercredi 30 octobre 2024 : Comment la France a changé de visage en 40 ans :

    Eugénie Bastié nous plonge au cœur des transformations profondes qu'a connues la France ces dernières années. À travers l'analyse du livre de Jérôme Fourquet, "Métamorphose française", elle dévoile les quatre grandes mutations qui ont façonné notre pays : la déchristianisation, la désindustrialisation, l'américanisation et l'immigration.

    Elle nous explique comment ces changements rapides et radicaux ont engendré un sentiment de nostalgie chez de nombreux Français, qui regrettent la France d'autrefois. Loin des discours apocalyptiques, Eugénie Bastié nous invite à prendre du recul et à comprendre les enjeux de cette "métamorphose française" à l'œuvre.

    De l'effondrement du nombre de baptêmes à la progression fulgurante de la crémation, des fermetures d'usines à l'influence grandissante de la "couche yankee", cette émission offre un éclairage passionnant sur les profondes mutations sociétales, culturelles et démographiques qui façonnent notre pays.

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  • Podcast du mardi 29 octobre 2024 : Faut-il abolir les privilèges des fonctionnaires ? :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié décortique la proposition du gouvernement visant à aligner le régime des fonctionnaires sur celui du secteur privé. Cette mesure, qui permettrait de réaliser 1,2 milliard d'économies, soulève l'indignation de la gauche, qui dénonce une atteinte aux privilèges des fonctionnaires.

    Elle rappelle que les fonctionnaires en France bénéficient d'un statut ultra-protecteur, avec un emploi à vie, un temps de travail réduit, de nombreux congés et des augmentations de salaire automatiques.
    L'absentéisme dans la fonction publique s'est envolé depuis la crise du Covid-19, passant de 8 jours par an à 14,5 jours en moyenne.

    Eugénie Bastié argue qu'il est nécessaire de réformer en profondeur le statut des fonctionnaires, notamment en ce qui concerne les retraites. Elle pointe du doigt le fait que l'État verse chaque année 80 milliards d'euros pour abonder les régimes des fonctionnaires et des régimes spéciaux, alors que les cotisations ne couvrent pas les pensions.

    La chroniqueuse invite à nuancer le débat, reconnaissant que de nombreux fonctionnaires, tels que les professeurs, les infirmières ou les policiers, sont dévoués à leur tâche. Cependant, elle estime qu'il faut réformer le statut des fonctionnaires superflus afin de mieux revaloriser les salaires de ceux qui sont indispensables.

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  • Podcast du vendredi 25 octobre 2024 : Faire payer l’entrée des cathédrales : bon sens ou trahison ? :

    Eugénie Bastié se penche sur la proposition controversée de Rachida Dati de rendre payante l'entrée de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Alors que beaucoup considèrent ce lieu emblématique comme un symbole de la gratuité et de l'accessibilité, cette idée soulève de nombreuses questions sur la préservation du patrimoine religieux en France.

    Eugénie Bastié explore les enjeux complexes de cette proposition, mettant en balance les impératifs financiers et la valeur symbolique de la cathédrale. Elle soulève des interrogations profondes sur la marchandisation croissante de nos espaces publics et la désacralisation de lieux autrefois considérés comme sacrés.

    Avec son analyse, elle nous invite à réfléchir sur les dilemmes auxquels sont confrontées les autorités dans leur volonté de préserver notre héritage culturel. Faut-il accepter la tarification de Notre-Dame pour financer la restauration d'autres édifices religieux en péril ? Ou devons-nous défendre coûte que coûte la gratuité d'accès, même au prix d'un déclin du patrimoine ?

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  • Podcast du mercredi 23 octobre 2024 : Les députés toxicos et la culture de l’excuse :

    Eugénie Bastié se penche sur le scandale entourant le député LFI Andy Kerbrat, pris en flagrant délit d'achat de drogue à Paris. Elle analyse la réaction de la gauche radicale face à cette affaire, soulignant leur tendance à minimiser la responsabilité personnelle des élus et à ne voir dans la consommation de drogue qu'un problème de santé publique nécessitant une approche uniquement sociale et sanitaire.

    La journaliste pointe du doigt l'hypocrisie de certains députés Insoumis, qui défendent la dépénalisation des drogues tout en réclamant parallèlement une prise en charge des soins par l'État. Elle met également en lumière le silence de la gauche face aux révélations de Mediapart sur les violences sexuelles au sein de leur groupe parlementaire, opposé à leur indignation lorsque c'est un média de droite qui dévoile les frasques d'un de leurs élus.

    Eugénie Bastié soulève ainsi la question de la responsabilité individuelle et du manque de cohérence de l'extrême-gauche sur ces sujets sensibles. Elle appelle à une prise de conscience de l'implication des consommateurs de drogue dans un système criminel, au-delà des seules considérations de santé publique.

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  • Podcast du mardi 22 octobre 2024 : «Muslim d’apparence» : ce que révèle la polémique :

    Eugénie Bastié revient sur la polémique entourant les récentes déclarations du maire de Saint-Ouen, Karim Bouamran, concernant l'importation du conflit israélo-palestinien en France à des fins électoralistes.

    Alors que Karim Bouamran souhaite incarner une gauche à la fois socialiste et non communautariste, il a été vertement critiqué par la France Insoumise et certains de ses alliés, accusé d'être un « traître à la cause ». Le chercheur Pascal Boniface l'a même qualifié de « muslim d'apparence qui ne critique pas Netanyahou », un commentaire teinté d'essentialisme et de complotisme.

    Eugénie Bastié analyse cette polémique comme révélatrice d'une tendance plus large au sein de la gauche française, où l'extrême-gauche semble exercer une influence prépondérante. Elle souligne notamment la tentative de justification de Karim Bouamran face aux attaques, illustrant l'ascendant de l'extrême-gauche sur la gauche dite modérée.

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  • Podcast du vendredi 18 octobre 2024 : Taxation de l’héritage : l’égalitarisme contre la transmission :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié nous plonge dans le débat éternel entre la droite et la gauche sur la taxation de l'héritage.

    Alors que la gauche voit dans l'héritage une forme d'inégalité qu'il faut combattre, la droite y voit la liberté ultime de transmettre son patrimoine à ses proches. Ce clivage fondateur oppose deux visions de la société : d'un côté, l'égalitarisme, de l'autre, la défense de la propriété privée.

    Eugénie Bastié analyse les différentes propositions avancées par les partis politiques sur ce sujet sensible. La gauche souhaite durcir la taxation des successions, tandis que la droite propose au contraire de favoriser les donations et les transmissions.

    Mais au-delà des positions idéologiques, Eugénie souligne également les évolutions sociodémographiques qui ont conduit à une concentration accrue des héritages en France ces dernières décennies. Elle plaide ainsi pour une réforme qui encouragerait la transmission des patrimoines avant le décès, afin de faciliter la circulation des richesses entre les générations.

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  • Podcast du mercredi 16 octobre 2024 : Le clientélisme racial de Kamala Harris :

    À l'approche de l'élection présidentielle américaine, la bataille fait rage entre Donald Trump et Kamala Harris. Dans cette course effrénée, un électorat apparaît particulièrement décisif : celui des hommes noirs. Alors que les femmes noires semblent acquises à la candidate démocrate, Trump a réussi à séduire une partie de ces hommes. Afin de les reconquérir, Kamala Harris a dévoilé un programme d'opportunité ciblé, véritable chef-d'œuvre de clientélisme électoral.

    Ce programme propose des mesures telles que la mise en place d'un pré-prêt à taux zéro réservé aux hommes noirs, la protection de leurs investissements en crypto-monnaie ou encore le développement d'un programme de santé spécifique. Eugénie Bastié n'hésite pas à qualifier ces mesures de « racisme inversé », dénonçant une forme de discrimination envers la population blanche. Elle s'indigne également de la proposition de légaliser la marijuana pour aider les minorités condamnées pour trafic, y voyant le « comble du racisme » en considérant que le destin des Noirs américains serait le « business de cannabis ».

    Au-delà des États-Unis, Eugénie Bastié fait un parallèle avec la France, rappelant que notre pays n'a rien à envier à la démocratie américaine en matière de racisme. Elle s'interroge même sur l'efficacité d'une telle politique identitaire, qui semble davantage relever de l'opportunisme politique que d'une véritable volonté de réduire les inégalités.

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  • Podcast du mardi 15 octobre 2024 : Les propriétaires de SUV sont-ils responsables des inondations ? :

    Eugénie Bastié nous livre son regard sans concession sur l'explosion du malus écologique pour les voitures neuves en France. Loin des discours convenus, elle s'interroge sur la cohérence des mesures mises en place, pointant un paradoxe vertigineux entre les efforts demandés aux consommateurs et l'impact réel sur le climat.

    Elle souligne que la France ne représente que 1% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, remettant ainsi en cause l'efficacité des politiques nationales.

    Mais au-delà de ce constat, la journaliste pousse plus loin sa réflexion, interrogeant la sincérité des motivations écologiques face aux impératifs budgétaires. Elle dénonce une écologie devenue un simple "prétexte pour combler les caisses d'un État en faillite", tout en dénonçant les contradictions d'un système qui demande de la "sobriété vertueuse" aux consommateurs tout en faisant de la consommation un objectif de politique publique.

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  • Podcast du vendredi 11 octobre 2024 : Garder «Emily in Paris» : La drôle de priorité d'Emmanuel Macron :

    Chaque vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du jeudi 10 octobre 2024 : Enseignement catholique : la chasse aux sorcières continue ! :

    Chaque jour dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mercredi 09 octobre 2024 : Sommes-nous à la hauteur du défi de l’IA ? :

    Eugénie Bastié nous invite à explorer les enjeux complexes et fascinants de l'intelligence artificielle, un sujet trop souvent relégué au second plan par nos dirigeants politiques, malgré son importance cruciale.

    Avec son regard aiguisé, elle nous plonge dans les réflexions de l'historien Yuval Harari, auteur du best-seller Sapiens, qui met en garde contre les bouleversements historiques et sociaux majeurs que pourrait engendrer le développement de l'IA. De la violence amplifiée par les algorithmes sur les réseaux sociaux, à la surveillance de masse par reconnaissance faciale, en passant par la menace d'une défiance numérique entre blocs géopolitiques, Eugénie Bastié nous fait prendre conscience des dangers potentiels de cette technologie.

    Pourtant, l'IA est l'un des trois grands défis de notre époque, avec l'immigration et l'écologie. Mais qui porte réellement ce sujet complexe et vertigineux ? Personne, car il semble difficile d'en saisir toute la portée.

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  • Podcast du mardi 08 octobre 2024 : Violences des antifas : pourquoi tant d’indulgence ? :

    Eugénie Bastié revient sur une information qui a malheureusement été trop peu médiatisée : l'arrestation, ce week-end à Paris, de 62 personnes cagoulées et armées de matraques télescopiques qui s'apprêtaient à s'en prendre à une dédicace d'auteurs jugés transphobes.

    Cette agression fait malheureusement partie d'une série d'incidents visant à perturber les conférences des auteures Marguerite Stern et Dora Moutot, auteures de l'essai "Transmania" qui dénonce les dérives du mouvement transgenre. Il y a 15 jours, l'école de Marion Maréchal Le Pen avait notamment été victime d'un sabotage par des militants antifascistes.

    Eugénie Bastié s'interroge sur la réaction politique face à ces actes de violence, soulignant que la condamnation est bien plus forte lorsqu'il s'agit de violences d'extrême-droite. Elle pointe du doigt le paradoxe selon lequel les militants qui se proclament "antifascistes" adoptent eux-mêmes des méthodes fascisantes pour faire taire l'opposition.

    Au-delà du cas spécifique de Marguerite Stern et Dora Moutot, Eugénie Bastié évoque également les persécutions subies par d'autres personnalités comme J.K. Rowling, simplement pour avoir exprimé des opinions divergentes sur la question du genre.

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  • Podcast du vendredi 04 octobre 2024 : Les gauchistes continuent à faire la loi à Science PO :

    Chaque vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mercredi 02 octobre 2024 : L’Etat de droit est-il sacré ? :

    Eugénie Bastié nous invite à réfléchir sur la notion d'État de droit, un concept central de nos démocraties modernes.

    Alors que les propos de Bruno Retailleau, sénateur LR, ont suscité une vive polémique en remettant en cause le caractère intangible de l'État de droit, Eugénie Bastié nous guide à travers les enjeux complexes qui se cachent derrière ce débat.

    Elle souligne que l'État de droit, s'il vise à protéger les individus contre l'arbitraire du pouvoir, ne doit pas non plus devenir un carcan qui empêche toute évolution démocratique. Un équilibre subtil à trouver, alors que la volonté populaire semble parfois bridée par un cadre juridique devenu trop rigide.

    À travers des exemples concrets, comme la censure par le Conseil constitutionnel de la loi immigration, Eugénie Bastié nous invite à réfléchir sur la nécessité de réformer l'État de droit pour mieux l'adapter aux réalités contemporaines.

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  • Podcast du mardi 01 octobre 2024 : La gauche française est la plus immigrationniste d'Europe :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié se penche sur la position de la gauche française concernant l'immigration. Alors que dans de nombreux pays européens, les partis de gauche ont adopté des positions plus restrictives sur ce sujet, la gauche française semble rester profondément pro-immigration.

    Eugénie explore les raisons historiques, sociologiques et politiques qui peuvent expliquer cette exception française. Elle revient notamment sur le tournant de 1983 sous Mitterrand, qui a marginalisé le débat sur l'immigration en l'associant à l'extrême droite. Elle souligne aussi le fossé grandissant entre la gauche française et les classes populaires, notamment dans les zones périphériques, un phénomène moins marqué dans d'autres pays européens.

    Enfin, Eugénie suggère que la gauche française a également fait de l'immigration un enjeu électoral, cherchant à mobiliser les jeunes et les quartiers populaires, au détriment d'une politique migratoire plus équilibrée. Un cercle vicieux qui l'éloigne un peu plus du pouvoir, malgré le soutien de 75% des Français aux mesures proposées par Bruno Retailleau.

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  • Podcast du vendredi 27 septembre 2024 : La mort de Philippine n’est pas un fait divers :

    Chaque vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mercredi 25 septembre 2024 : L’hypocrisie sans fin du Front Républicain :

    Eugénie Bastié revient sur les récentes déclarations du nouveau ministre de l'Économie, Antoine Armand, qui a suscité de vives réactions. Selon lui, le Rassemblement national n'appartiendrait pas à l'arc républicain, une affirmation qui illustre les contradictions de la classe politique française.

    Eugénie déconstruit avec précision ces contradictions, rappelant que certains responsables politiques ont tour à tour tenu des positions opposées, passant d'un discours conservateur à un discours progressiste, ou encore reprenant le vocabulaire du Rassemblement national tout en le qualifiant d'infréquentable. Cette hypocrisie, selon elle, mine profondément notre démocratie et dégoûte les Français de la vie politique.

    Elle interroge la notion même d'arc républicain, qui semble se tordre au gré des calculs politiciens. Doit-on considérer le Rassemblement national comme un parti d'extrême droite à interdire, ou comme une formation légale représentant une partie des Français, avec laquelle il faut composer ?

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  • Podcast du mardi 24 septembre 2024 : La France, un pays de vieux ? :

    Eugénie Bastié nous plonge dans un sujet sensible : les retraites. Alors que le nouveau gouvernement doit faire des choix budgétaires cruciaux pour contenir la dette publique, la journaliste soulève une question essentielle : pourquoi les retraites semblent-elles intouchables ?

    Au-delà des discours convenus sur l'injustice de toucher aux pensions des actifs ayant cotisé toute leur vie, Eugénie Bastié met en lumière un phénomène de fond : la France glisse doucement mais sûrement vers une forme de gérontocratie, où les intérêts des retraités priment sur ceux des générations plus jeunes.

    Avec son regard aiguisé, elle pointe du doigt les choix budgétaires révélateurs : tandis que la défense, la sécurité et l'écologie voient leurs enveloppes augmenter, les investissements d'avenir tels que le plan France 2030 sont en baisse. Un symbole fort de cette priorité accordée à la rente plutôt qu'au risque et à l'innovation.

    Au-delà des clivages générationnels, Eugénie Bastié nous invite à réfléchir sur les enjeux de long terme qui façonnent notre société. Un épisode essentiel pour comprendre les défis budgétaires et démographiques auxquels la France est confrontée.

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  • Podcast du vendredi 20 septembre 2024 : Les policiers qui ont arrêté Dominnique Pélicot sont aussi des hommes :

    Derrière les grands titres de l'affaire Pellicot, qui a bouleversé la France, se cachent des personnages discrets mais essentiels : les policiers qui ont permis l'arrestation de l'accusé.

    Eugénie Bastié vous plonge dans les coulisses de cette enquête hors norme, à la rencontre de ces fonctionnaires de police qui, malgré les obstacles et la lourdeur du système, ont fait preuve d'un courage et d'une détermination remarquables pour protéger une victime.

    Loin des clichés et des discours convenus, ce portrait sensible met en lumière le rôle crucial de la police dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Une leçon d'humilité et de nuance, à l'heure où certains remettent en question le travail des forces de l'ordre.

    Au-delà du scandale et de l'indignation, cette histoire montre que la virilité peut aussi se traduire par la protection des plus faibles. Un épisode essentiel pour comprendre les rouages de la justice et les défis auxquels sont confrontés les services de police au quotidien.

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  • Podcast du mercredi 18 septembre 2024 : #MeToo : le droit à la nuance :

    Eugénie Bastié se penche sur le livre de Caroline Fourest intitulé "Vertige MeToo". L'autrice, connue pour ses prises de position féministes et de gauche, analyse la libération de la parole des femmes victimes de violences sexuelles depuis l'affaire Weinstein en 2017.

    Caroline Fourest se réjouit des progrès accomplis, mais dénonce également les abus de ce mouvement. Elle pointe du doigt la fin de la présomption d'innocence, le tribunal médiatique où l'on condamne sans preuve, ainsi qu'un certain deux poids, deux mesures dans la condamnation de personnalités en fonction de leur appartenance politique ou sociale.

    L'autrice met aussi en avant des cas où MeToo a été instrumentalisé dans des luttes de pouvoir. Cependant, son livre a été très mal reçu par la gauche radicale, qui l'accuse d'être anti-féministe.

    Eugénie Bastié analyse ce débat, s'interrogeant sur la capacité de la nuance à encore être entendue dans une société où l'image a remplacé l'écrit et où la dictature des ressentis a pris le pas sur la conversation civique.

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  • Podcast du mardi 17 septembre 2024 : Un lycée catholique a-t-il le droit d'être catholique ? :

    Eugénie Bastié revient sur un fait d'actualité marquant : la suspension du directeur d'un prestigieux lycée privé catholique à Pau. Au-delà du cas particulier, elle décrypte les enjeux plus larges de cette affaire, qui soulève des questions fondamentales sur la place de l'enseignement privé dans la société française.

    Eugénie Bastié analyse les accusations portées contre cet établissement, accusé de dérive intégriste pour avoir notamment accueilli un évêque catholique. Elle y voit le symptôme d'une « laïcité aveugle » qui confond « la menace du séparatisme islamiste et un prétendu intégrisme catholique ». Au-delà, elle pointe du doigt un « ressentiment croissant envers le succès de l'école privée », perçue comme un « ghetto de riches ».

    Eugénie Bastié met en lumière les véritables enjeux de cette affaire : la transmission des valeurs, l'identité catholique de certaines écoles, mais aussi l'incapacité de l'État à assumer pleinement sa mission d'éducation.

    Au fil de l'épisode, l'auditeur est ainsi amené à s'interroger sur la liberté d'enseignement, la place du privé face au public, et plus largement sur les défis de l'école française aujourd'hui. Un éclairage nécessaire sur un sujet qui divise, mais qui mérite d'être abordé avec nuance et discernement.

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  • Podcast du vendredi 13 septembre 2024 : Ruffin/Mélenchon : gauche sociale contre gauche raciale :

    Dans cet épisode, Eugénie Bastié nous plonge au cœur du débat qui agite la gauche française. D'un côté, François Ruffin, député de la Somme, qui dénonce le "virage communautariste" pris par la gauche sous l'impulsion de Jean-Luc Mélenchon. De l'autre, la ligne politique de la France Insoumise, accusée de privilégier les questions identitaires aux dépens des enjeux sociaux traditionnels.

    Au fil de la discussion, on découvre les profondes fractures qui traversent la gauche hexagonale. Entre la gauche des champs et la gauche des villes, entre la gauche sociale et la gauche raciale, le fossé semble de plus en plus béant. Ruffin, figure populaire de Nuit debout, est désormais vilipendé par certains de ses anciens camarades pour avoir osé remettre en cause cette orientation jugée trop identitaire.

    Au-delà des joutes verbales, c'est toute la stratégie électorale de la gauche qui est en jeu. Comment reconquérir ces fameux "Français de la périphérie" qui ont glissé vers le Rassemblement national ? Faut-il renouer avec un discours plus universaliste ou au contraire assumer pleinement cette dimension communautaire ? Les réponses apportées par Eugénie Bastié et ses invités éclairent d'un jour nouveau les profondes divisions qui traversent aujourd'hui la gauche française.

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  • Podcast du mercredi 11 septembre 2024 : La droitisation de la France : mythe ou réalité ? :

    Chaque mardi et mercredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mardi 10 septembre 2024 : Piolle, le champion du déni :

    Cet épisode se penche sur le bilan en matière de sécurité de la ville de Grenoble, dirigée depuis 2014 par le maire Éric Piolle. Malgré une recrudescence des violences et fusillades dans la ville, M. Piolle refuse toujours d'armer la police municipale, allant à l'encontre des recommandations de nombreux élus.

    La description de ce drame par le maire, qualifiant la mort d'un jeune homme de « balle perdue », a suscité de vives réactions indignées. L'épisode revient sur cette polémique et la culture du déni qui semble s'être installée autour des problèmes de sécurité dans cette ville.

    Les chiffres sont alarmants : Grenoble figure en 6ème position des villes les plus dangereuses de France, selon un classement du ministère de l'Intérieur. La plupart des villes les plus touchées sont dirigées par des maires de gauche, remettant en cause l'efficacité de leurs politiques de sécurité.

    Notre équipe éditoriale a utilisé un outil d’Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

  • Podcast du vendredi 06 septembre 2024 : «Le Seigneur des anneaux» est-il une Å“uvre de droite ou de gauche ? :

    Alors que la série télévisée Les Anneaux de pouvoir, inspirée de l'univers du Seigneur des Anneaux, connaît un grand succès, la question de l'orientation politique de l'œuvre de Tolkien se pose. Certains responsables politiques de droite ou d'extrême droite se sont en effet approprié l'univers du Seigneur des Anneaux, y voyant un reflet de leurs propres valeurs. Pourtant, Eugénie Bastié déconstruit cette lecture politique de l'œuvre de Tolkien.

    Elle montre que l'auteur britannique, bien qu'ayant des convictions conservatrices, ne peut être simplement rangé dans un camp politique. Son œuvre développe en réalité une morale universelle, mêlant des influences aussi diverses que la philosophie grecque, le catholicisme ou l'anarchisme. Loin d'être un manifeste politique, le Seigneur des Anneaux prône des valeurs comme la persévérance dans l'adversité, le sacrifice ou la force dans la faiblesse, qui pourraient bénéficier à la politique d'aujourd'hui.

    Au-delà des récupérations politiques, Eugénie Bastié invite ainsi les auditeurs à redécouvrir la richesse et la complexité de l'œuvre de Tolkien, qui transcende les clivages partisans.

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  • Podcast du mercredi 04 septembre 2024 : Des keffiehs dans les cartables, Sciences Po fait sa rentrée :

    Alors que la rentrée universitaire bat son plein, Eugénie Bastié nous plonge dans les coulisses agitées de Sciences Po Paris. Cette prestigieuse école, connue pour former les futures élites politiques et administratives françaises, semble avoir été prise d'assaut par le militantisme ces derniers mois.

    Au printemps dernier, le campus était régulièrement le théâtre de blocages, d'occupations et de manifestations en faveur de la cause palestinienne.

    Depuis la démission du directeur, mis en cause pour violences conjugales, l'école peine à reprendre le contrôle de la situation. L'administrateur provisoire a beau proclamer son intransigeance face à l'antisémitisme, les étudiants militants restent maîtres du terrain.

    Alors que l'audition des candidats à la succession du directeur aura lieu prochainement, Eugénie Bastié s'interroge : faudra-t-il que Sciences Po renoue avec la neutralité, plutôt que l'engagement militant ? Comme certaines universités américaines, telles que Cornell et Harvard, qui ont récemment adopté une politique de neutralité institutionnelle face aux mouvements politiques sur leurs campus.

    Ce questionnement sur la place du militantisme à l'université est au cœur de cette analyse d'Eugénie Bastié. Entre enjeux de formation des élites et libertés académiques, ce nouvel épisode promet d'être riche en réflexions stimulantes.

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  • Podcast du mardi 03 septembre 2024 : La question migratoire, carburant de la politique contemporaine ? Retour sur la tribune d'Arturo Pérez-Reverte dans le Figaro :

    Chaque mardi et mercredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du vendredi 30 ao?t 2024 : Maïwenn et Maalouf à l’index : la guillotine s’emballe :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa «Revue de presse» hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du mercredi 28 ao?t 2024 : Réseaux sociaux : la liberté d’expression menacée ? :

    Chaque mardi et mercredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.

  • Podcast du mardi 27 ao?t 2024 : Aurélien Bellanger, un écrivain qui se gâche dans le militantisme :
  • Podcast du vendredi 12 juillet 2024 : Pour Médiapart, l'Assemblée nationale est trop blanche... :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa “Revue de presse” hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 05 juillet 2024 : Au Royaume Uni, la gauche l’emporte en faisant de l’anti-Mélenchon :
  • Podcast du vendredi 28 juin 2024 : Quand Rima Hassan propage une fake news antisémite :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa «Revue de presse» hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 21 juin 2024 : Pourquoi le vote RN se féminise :
  • Podcast du vendredi 14 juin 2024 : Union des droites et union des gauches : l’insupportable deux poids deux mesures :
  • Podcast du vendredi 07 juin 2024 : Européennes : les Verts, une espèce en voie de disparition :
  • Podcast du vendredi 31 mai 2024 : Défendre la famille, est-ce pétainiste ? :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa “Revue de presse” hebdomadaire et ses idées.O

  • Podcast du vendredi 24 mai 2024 : Audiovisuel public : le manque de pluralisme enfin démontré ! :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa “Revue de presse” hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 17 mai 2024 : Quand la gauche combat le remplacement des Kanaks :
  • Podcast du vendredi 03 mai 2024 : Sciences Po, Columbia, UCLA : la fièvre des campus est-elle vraiment nouvelle ? :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa «Revue de presse» hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 26 avril 2024 : La GPA impensable ou inéluctable ? :
  • Podcast du vendredi 19 avril 2024 : Zemmour / Mélenchon, transmania : semaine noire pour la liberté d’expression :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa “Revue de presse” hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 12 avril 2024 : Le coming-out identitaire de Mila… :
  • Podcast du vendredi 05 avril 2024 : La Loi peut-elle punir la haine ? :

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  • Podcast du vendredi 29 mars 2024 : Discrimination capillaire et congé menstruel : la surenchère sociétale :
  • Podcast du vendredi 22 mars 2024 : La France a besoin de héros à l’avant veille de l’anniversaire du décès d’Arnaud Beltrame :
  • Podcast du vendredi 15 mars 2024 : Sciences-Po, 15 ans de dérives… :

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  • Podcast du vendredi 08 mars 2024 : Cette gauche qui refuse le débat :

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  • Podcast du vendredi 01 mars 2024 : Les «trad wives» : une menace ou une contre-culture ? :
  • Podcast du vendredi 16 f?vrier 2024 : La menace, ce n’est pas CNEWS, ce sont les GAFAM ! :

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  • Podcast du vendredi 09 f?vrier 2024 : Le temps de la récession sexuelle est-il venu ? :
  • Podcast du vendredi 02 f?vrier 2024 : 20 ans de Facebook : de l’utopie de la connexion au cauchemar de l’archipélisation :

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  • Podcast du vendredi 26 janvier 2024 : Quand les écolos urbains fantasment le monde paysan :
  • Podcast du vendredi 19 janvier 2024 : La fertilité est-elle une affaire politique ? :
  • Podcast du vendredi 12 janvier 2024 : La France, un pays de vieux dirigé par des jeunes :
  • Podcast du vendredi 05 janvier 2024 : 2024, l'année de la fin du wokisme :

    Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa "Revue de presse" hebdomadaire et ses idées.

  • Podcast du vendredi 15 d?cembre 2023 : 2023 : année du choc des civilisations ? : Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa «Revue de presse» hebdomadaire et ses idées.
  • Podcast du vendredi 08 d?cembre 2023 : Pisa : Le risque pour l’idiocratie pour l’Occident ? :
  • Podcast du lundi 04 d?cembre 2023 : «50 ans après l’Archipel du Goulag, le cri de Soljenitsyne résonne toujours» : Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.
  • Podcast du vendredi 01 d?cembre 2023 : Kafka aux JO : un parfum de déconnexion : Chaque vendredi, Eugénie Bastié dévoile aux auditeurs sa «Revue de presse» hebdomadaire et ses idées.
  • Podcast du lundi 27 novembre 2023 : «L’étrange silence des féministes sur les viols du Hamas» : Ce lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Eugénie Bastié livre son regard sur l'actualité.
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