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L'édito éco

Agnès Verdier-Molinié et Olivier Babeau abordent les enjeux économiques majeurs de notre époque. Analyse des marchés financiers, des politiques économiques et des tendances émergentes : vous obtiendrez des clés de compréhension accessibles sur des sujets complexes. Écoutez ce podcast pour mieux comprendre les mécanismes économiques qui façonnent notre quotidien et découvrez des analyses concises et percutantes sur les questions essentielles.


Vous écoutez:

Choisissez un podcast dans la liste ci-dessous.

  • Podcast du jeudi 13 f?vrier 2025 : Texte 2025, pourquoi le législateur ne respecte pas la légalité ? :

    Agnès Verdier-Molinié analyse les enjeux fiscaux majeurs qui agitent l'actualité. Elle se penche sur les nouvelles taxes proposées dans le budget 2025, notamment la surtaxe sur les grandes entreprises et les hauts revenus, et s'interroge sur la conformité de ces mesures avec les principes constitutionnels d'égalité. Elle évoque également le rôle crucial du Conseil constitutionnel dans l'examen de ces dispositions fiscales. Une discussion passionnante qui éclaire les débats économiques et politiques en cours.

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  • Podcast du mercredi 12 f?vrier 2025 : DOGE français : chiches ? :

    Olivier Babeau analyse la méthode radicale d'Elon Musk pour assainir les finances de Twitter, et imagine son application aux dépenses publiques en France. Il explique comment une logique de justification des dépenses, une transparence totale et des coupes claires pourraient permettre de dégager des dizaines de milliards d'euros d'économies, malgré les résistances culturelles. Une réflexion stimulante sur la nécessaire réforme de l'appareil d'État.

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  • Podcast du mardi 11 f?vrier 2025 : Pour faire des économies, faisons des référendums ! :

    Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinier aborde la possibilité d'organiser des référendums sur des sujets économiques en France. Elle évoque plusieurs thèmes potentiels comme les retraites, le statut des agents publics ou l'équilibre des comptes sociaux. Bien que le chef de l'État puisse initier ce processus, la mise en place d'un référendum nécessite un alignement entre l'Élysée et Matignon. Les intervenants soulignent que cette option pourrait permettre d'impliquer davantage les citoyens dans les décisions économiques, tout en soulevant certains obstacles politiques.

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  • Podcast du lundi 10 f?vrier 2025 : Qui veut la peau des micro-entrepreneurs ? :

    Olivier Babeau analyse les évolutions du statut de micro-entrepreneur en France. Il explique comment, depuis son introduction en 2008, ce régime simplifié a connu un grand succès, permettant à de nombreuses personnes de tester un projet ou d'arrondir leurs fins de mois. Cependant, Olivier Babaud souligne que depuis 2011, de nouvelles contraintes ont été ajoutées, rendant ce statut de plus en plus complexe. Il évoque notamment le projet d'abaisser le seuil d'assujettissement à la TVA, ce qui pourrait nuire à la compétitivité des micro-entrepreneurs. L'expert s'interroge sur les raisons de cette hostilité persistante envers ce modèle, qui semble perçu comme une menace par l'administration plutôt qu'une opportunité d'émancipation économique.

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  • Podcast du jeudi 06 f?vrier 2025 : Le gouffre budgétaire de la fonction publique :

    Agnès Verdier-Molinier aborde la question épineuse des déficits des retraites publiques en France. Elle souligne que les syndicats et les partenaires sociaux refusent d'affronter ce sujet, préférant ignorer "l'éléphant dans la pièce". Elle évoque également la possibilité d'introduire davantage de capitalisation dans le système de retraite, en s'inspirant du modèle déjà en place pour les agents publics. Une analyse approfondie des enjeux économiques et sociaux liés à la réforme des retraites.

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  • Podcast du mercredi 05 f?vrier 2025 : Fiscalité comportementale : une obsession française ? :

    Olivier Babeau analyse la fiscalité comportementale en France. Il explique que malgré l'augmentation du prix de certains produits comme le tabac ou les sodas, les comportements de consommation n'ont que peu évolué. De plus, cette fiscalité touche davantage les classes populaires, creusant les inégalités. Babaud suggère d'explorer d'autres solutions comme l'éducation et la prévention pour faire évoluer les comportements de manière plus durable.

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  • Podcast du mardi 04 f?vrier 2025 : Économie budgétaire : les drôles de calculs de François Bayrou :

    Agnès Verdier-Molinier analyse en détail le budget de l'État pour 2025 qui a été adopté récemment. Elle souligne que malgré les annonces de 30 milliards d'euros d'économies, le Haut Conseil des Finances Publiques n'en a chiffré que 3 milliards, soit 0,1% du PIB potentiel. De plus, la dépense publique devrait continuer à augmenter, passant de 56,6% à 56,7% du PIB. Agnès Verdier-Molinier met également en garde contre les risques à moyen terme liés aux nouvelles taxes rétroactives qui pourraient être remises en cause par le Conseil constitutionnel, fragilisant ainsi l'équilibre budgétaire.

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  • Podcast du lundi 03 f?vrier 2025 : Quand les entrepreneurs feront la grève :

    Olivier Babeau revient sur les récentes prises de parole de chefs d'entreprise, comme Bernard Arnault, qui mettent en garde contre les difficultés du contexte économique français. Ils pointent notamment la hausse des impôts sur les entreprises et les risques de délocalisation. Leurs critiques soulèvent des réactions mitigées, entre compréhension des enjeux économiques et accusations de manque de patriotisme. Une analyse nuancée des défis auxquels font face les entreprises en France.

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  • Podcast du jeudi 30 janvier 2025 : Hausse du chômage : c’est la faute à Bercy :

    Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié analyse la situation économique française. Elle alerte sur la hausse inquiétante du chômage, liée notamment à la cascade de nouvelles taxes prévues sur les entreprises et les entrepreneurs. Selon elle, cette pression fiscale excessive risque de freiner les embauches et les investissements, et pourrait même pousser certaines entreprises à délocaliser. Elle appelle le gouvernement à revoir sa politique économique pour soutenir la création d'emplois et la compétitivité des entreprises françaises.

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  • Podcast du mercredi 29 janvier 2025 : Lombard / Menegaux : deux points de vue sur la France :

    Olivier Babeau confronte deux entretiens récents : celui d'Éric Lombard, le ministre de l'Économie, et celui de Florent Menegaux, le patron de Michelin. Le contraste est saisissant entre les deux visions économiques. D'un côté, Florent Menegaux dresse un réquisitoire implacable sur les problèmes de compétitivité de l'industrie française, avec des coûts de production deux fois plus élevés qu'en Asie. De l'autre, Éric Lombard semble vivre dans un autre monde, minimisant les difficultés et rejetant tout changement. Ce podcast offre un éclairage essentiel sur les enjeux économiques qui façonnent notre époque.

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  • Podcast du mardi 28 janvier 2025 : Le calcul tronqué des économies :

    Agnès Verdier-Molinier analyse les annonces d'économies budgétaires du gouvernement français. Elle explique comment ces économies sont calculées, en tenant compte de l'inflation et de la croissance économique, plutôt que d'être basées sur une réduction réelle des dépenses. Agnès Verdier-Molinier souligne le manque de transparence dans ces calculs et la nécessité d'avoir des règles plus justes pour évaluer les efforts d'économies. Une discussion éclairante sur les enjeux de la politique budgétaire en France.

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  • Podcast du lundi 27 janvier 2025 : Face à Maga, un méga européen : enfin le sursaut ? :

    Olivier Babeau, expert économique, analyse le plan de la Commission européenne visant à relancer l'économie du continent. Il détaille les trois axes principaux du plan : la simplification des réglementations, le soutien à l'innovation dans des secteurs stratégiques comme l'intelligence artificielle, et le renforcement de l'autonomie économique de l'Union européenne. Bien que ce plan soit ambitieux, son succès dépendra de la coopération des États membres et de sa mise en œuvre rapide et efficace, face à la menace du déclassement économique de l'Europe.

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  • Podcast du jeudi 23 janvier 2025 : Taxer les retraités plutôt que travailler plus : encore la facilité ! :

    Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié, experte économique, analyse en détail la situation fiscale des retraités en France. Elle revient sur les différents taux de CSG appliqués selon les niveaux de revenus, et questionne la pertinence d'une hausse du taux normal. Au-delà de cette mesure, elle souligne la nécessité de s'attaquer aux dépenses publiques et d'encourager le travail plutôt que de multiplier les prélèvements. Un éclairage nuancé sur un sujet économique sensible.

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  • Podcast du mercredi 22 janvier 2025 : Travailler pour la sécu, oui mais pas gratuitement :

    Olivier Babaud aborde la proposition du gouvernement visant à faire travailler les Français 7 heures de plus par an sans rémunération supplémentaire, afin de financer la Sécurité sociale. Il analyse les enjeux et les conséquences potentielles d'une telle mesure, tout en s'interrogeant sur les véritables problèmes du système économique français. Une discussion approfondie sur les défis du financement de la protection sociale dans un contexte de mutations du marché du travail.

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  • Podcast du mardi 21 janvier 2025 : Taxer les riches, cette obsession française :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié analyse les projets fiscaux du gouvernement et leurs impacts sur les ménages. Malgré les assurances, certains foyers, surtout les plus aisés, subiront des hausses, notamment via un « plancher Barnier » imposant un taux minimum de 20% sur les revenus supérieurs à 500 000 euros, contredisant la promesse de Macron en 2017. Avec les prélèvements sociaux, l’imposition des revenus du capital dépasserait 37%. Le gouvernement prévoit aussi une nouvelle taxe sur les patrimoines, soulevant des questions sur sa portée et ses effets potentiels.

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  • Podcast du lundi 20 janvier 2025 : Trumponomics : à quoi faut-il s'attendre avec Trump niveau économie ? :

    Dans cet épisode de L'édito éco, Olivier Babaud analyse les « Trumponomics », politiques économiques du président Donald Trump. Son programme mise sur des baisses d'impôts massives pour entreprises et ménages aisés, creusant le déficit américain. S'ajoute un protectionnisme marqué, avec des droits de douane accrus sur les produits chinois, favorisant le « Made in America » mais pénalisant le libre-échange. Ces choix suscitent des inquiétudes géopolitiques et climatiques, Trump soutenant l'industrie fossile. Une analyse des impacts mondiaux de ce virage économique.

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  • Podcast du jeudi 16 janvier 2025 : Débureaucratiser : cette éternelle promesse jamais tenue :

    Agnès Verdier-Molinier analyse la promesse du Premier ministre de réduire la bureaucratie en France. Alors que François Bayrou annonce un "mouvement de débureaucratisation", la complexité administrative coûte 4% du PIB (110 milliards d’euros par an), bien plus qu’en Europe (0,5%). Malgré la loi de simplification confiée au ministère de la Fonction Publique, les mesures semblent insuffisantes, comme "France Expérimentation", qui ne propose que des dérogations ponctuelles. Agnès Verdier-Molinier cite des exemples concrets, comme les démarches lourdes pour un permis de conduire, et souligne que seule une réforme radicale, supprimant des agences et administrations, pourrait simplifier durablement. Un changement de paradigme reste nécessaire pour alléger ce fardeau bureaucratique.

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  • Podcast du mercredi 15 janvier 2025 : Retraites : vérités flash ? :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco consacré aux retraites, on examine les suites du discours de politique générale du Premier ministre François Bayrou et la mission flash confiée à la Cour des comptes. Les chiffres sont alarmants : l'espérance de vie a augmenté (25 ans de retraite en moyenne pour les femmes, 22 pour les hommes), tandis que le ratio cotisants/retraités a chuté de 4 à 1,7. Les dépenses représentent désormais 15% de la richesse nationale, avec un déficit estimé à 68 milliards d'euros par an. Face à cette situation, trois options se profilent : hausse des cotisations, baisse des pensions ou allongement du temps de travail.

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  • Podcast du mardi 14 janvier 2025 : Retraites : suspendons la suspension ! :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinier nous plonge au cœur du débat brûlant de la réforme des retraites en France. Alors que le gouvernement souhaite repousser l'âge légal de départ à la retraite à 64 ans, les oppositions de gauche et les syndicats s'y opposent fermement.

    Agnès Verdier-Molinier analyse les enjeux économiques de cette réforme. Elle souligne que la France accuse un retard important en matière de taux d'emploi des seniors par rapport à ses voisins européens. En Allemagne, en Espagne ou encore en Italie, l'âge de départ à la retraite est déjà bien plus élevé qu'en France.

    Renoncer à cette réforme aurait des conséquences désastreuses sur les finances publiques, nous prévient Agnès Verdier-Molinier. Dès 2025, le coût potentiel serait de 3,4 milliards d'euros, pour atteindre 16 milliards en 2032. Un déficit des retraites de plus de 30 milliards d'euros est même envisagé à cette échéance.

    Face à ces chiffres alarmants, l'économiste pointe du doigt l'attitude irresponsable des politiques et des syndicats qui refusent d'affronter cette réalité. Elle souligne que d'autres pays, comme le Danemark ou les Pays-Bas, ont déjà mis en place des mécanismes d'ajustement automatique de l'âge de départ à la retraite en fonction de l'espérance de vie.

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  • Podcast du lundi 13 janvier 2025 : Retraites : ne touchons pas le fond :

    Dans cet épisode de L'Édito Éco, Olivier Babaud analyse la proposition du Parti Socialiste d’utiliser le fonds de réserve des retraites pour financer l’abrogation de la réforme des retraites, une mesure coûtant jusqu’à 16 milliards d’euros. Ce fonds, créé en 1999 pour anticiper le vieillissement, finance aujourd’hui des droits non contributifs comme les pensions liées au chômage ou à la maternité. Détourner ces ressources reviendrait à fragiliser le système, en privant les retraites de 6 milliards d’intérêts annuels. Les experts soulignent l’importance de renforcer ce fonds pour garantir l’équilibre à long terme, offrant une analyse claire des enjeux économiques.

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  • Podcast du jeudi 09 janvier 2025 : En attendant le budget, les taux de la dette s’envolent :

    Les finances publiques françaises sont sous tension : les taux d'emprunt à 10 ans dépassent ceux de pays très endettés comme la Grèce. Ce phénomène s'explique par l'arrêt des achats de dettes souveraines par la BCE, qui soutenait auparavant les taux. Les investisseurs doutent de la gestion de la dette française, et les taux approchent 3,50%. La France emprunte désormais plus cher que ses voisins, illustrant une perte de confiance. Faute d'un budget crédible pour 2025, la charge de la dette pourrait s'aggraver sans une stratégie ambitieuse pour stabiliser la situation économique.

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  • Podcast du mercredi 08 janvier 2025 : Budget : les dégâts de l’attente :

    Olivier Babeau analyse les conséquences désastreuses de l'attentisme budgétaire en France. Il démontre, via une expérience psychologique, que l'incertitude budgétaire paralyse les acteurs économiques, freinant investissements et croissance. Les participants à l'expérience ont majoritairement refusé de prendre des décisions financières face à l'incertitude, tout comme les entreprises et ménages français hésitent à s'engager dans de nouveaux projets. Cette attente bloque les investissements et empêche les acteurs de se projeter, créant un cercle vicieux qui rend l'équilibrage du budget encore plus difficile. Olivier Babeau souligne l'urgence pour la France de se doter d'un budget, même imparfait, pour mettre fin à cette paralysie. Chaque mois d'attentisme se traduit par une perte de croissance irrécupérable.

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  • Podcast du mardi 07 janvier 2025 : Croissance : ça commence mal :

    Agnès Verdier-Molinier analyse les perspectives économiques françaises pour 2025. Le nouveau gouvernement révise à la baisse les prévisions de croissance de 1,1% à 0,8%, soit une perte de 10 milliards d'euros de richesses nationales. Cette baisse, liée à la dissolution du gouvernement précédent, pourrait même être optimiste selon l'experte. Le déficit public risque de dépasser les 5,4%, malgré l'objectif du nouveau ministre de l'Économie, Éric Lombard, de réaliser 50 milliards d'euros d'économies. L'adoption du budget 2025 dans les délais sera cruciale.

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  • Podcast du lundi 06 janvier 2025 : Le RSA à l’action :

    La réforme du RSA entrée en vigueur en janvier 2023 impose aux bénéficiaires 15 à 20 heures hebdomadaires d'activités d'insertion (recherche d'emploi, formation, permis). Bien que critiquée, cette mesure vise à combattre le faible taux de sortie du dispositif (40% d'allocataires de longue durée). L'économiste Olivier Babaud défend cette approche, soulignant les premiers résultats encourageants avec 42% des participants ayant retrouvé un emploi durable. Il met en avant l'intérêt économique : création de valeur, cotisations supplémentaires et réduction des prestations sociales.

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  • Podcast du jeudi 02 janvier 2025 : DPE : Le bâton plutôt que la carotte :

    Agnès Verdier-Molinier nous éclaire sur les conséquences de l'interdiction de la mise en location des logements classés G au diagnostic de performance énergétique (DPE) en France métropolitaine.

    Avec 1,5 million de logements concernés, soit 6% du parc locatif, cette mesure vise à lutter contre les « passoires thermiques ». Cependant, Agnès Verdier-Molinier soulève plusieurs problèmes majeurs qui risquent de se retourner contre les propriétaires et les locataires.

    Tout d'abord, le financement des rénovations coûteuses nécessaires pour mettre ces logements aux normes pourrait pousser de nombreux propriétaires à les retirer du marché locatif. De plus, le renouvellement obligatoire des DPE, même pour les biens datant de moins de 4 ans, représente un coût supplémentaire non négligeable de 200 euros en moyenne.

    Pire encore, les méthodes d'évaluation du DPE pénalisent injustement certains logements, comme ceux chauffés à l'électricité ou les petites surfaces, pourtant très présentes dans le parc locatif.

    Face à ces contraintes bureaucratiques, Agnès Verdier-Molinier craint une diminution de l'offre de logements à louer, notamment dans les zones tendues, ainsi qu'une hausse des loyers. Elle préconise plutôt des mesures incitatives, comme des exonérations de taxes foncières, pour encourager les rénovations énergétiques.

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  • Podcast du mercredi 01 janvier 2025 : Les bonnes résolutions de la France pour 2025 :

    La France annonce ses résolutions pour 2025 : assainir ses finances publiques en réduisant les dépenses plutôt qu'en augmentant les impôts, adopter une approche pragmatique basée sur des études d'impact plutôt que sur l'idéologie, et devenir plus agile pour attirer et retenir les talents. Le pays souhaite également opérer un changement d'état d'esprit, en privilégiant la confiance en l'avenir plutôt que la nostalgie. Même si ces résolutions risquent d'être éphémères, elles témoignent d'une volonté de transformation positive.

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  • Podcast du mardi 31 d?cembre 2024 : ZFE : arrêtez cette ineptie ! :

    À partir de janvier 2025, les véhicules diesel d'avant 2011 et essence d'avant 2006 seront interdits dans les grandes villes de plus de 150 000 habitants, selon la loi Climat et Résilience de 2021. La mesure vise à améliorer la qualité de l'air mais suscite des controverses. À Paris, où 420 000 véhicules sont concernés, une dérogation d'un an et 24 jours de circulation annuelle seront accordés. Les artisans, particulièrement touchés, s'inquiètent pour leur activité. L'efficacité des Zones à Faibles Émissions est questionnée, notamment par une étude du Sénat, tandis que le soutien financier à la transition vers l'électrique s'avère limité.

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  • Podcast du lundi 30 d?cembre 2024 : Le courage de la tronçonneuse : Ce 30 décembre 2024 sur Europe 1, Olivier Babeau revient sur le budget voté dans la Loire.
  • Podcast du jeudi 26 d?cembre 2024 : Retour à la case restaurant pour les tickets restaurants : Ce jeudi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié revient sur les tickets restaurants.
  • Podcast du lundi 23 d?cembre 2024 : Pour Noël, l’Etat ne fait pas de cadeau : Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau revient sur l'État qui ne fait pas de cadeau pour Noël.
  • Podcast du jeudi 19 d?cembre 2024 : Lorsque l’instabilité politique ébranle la banque française :

    Agnès Verdier-Molinié décrypte les enjeux politiques et économiques autour de l'adoption d'une loi spéciale pour 2025, en l'absence d'une véritable loi de finances.

    Après la censure de Michel Barnier, les oppositions tentent de modifier le barème de l'impôt sur le revenu pour éviter d'augmenter la note d'impôt des contribuables. Cependant, ces amendements sont jugés irrecevables, poussant les oppositions à proposer un nouveau texte avec diverses dispositions économiques et sociales. Ce texte a peu de chances d'être adopté, car il vise à contourner la loi de finances.

    Agnès Verdier-Molinié s'inquiète de cette situation, soulignant que l'absence de loi de finances pourrait avoir de graves conséquences pour les finances publiques françaises, risquant un "open bar" qui ferait exploser la dette. Elle insiste sur l'urgence d'adopter un budget en bonne et due forme pour éviter une dérive financière.

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  • Podcast du mercredi 18 d?cembre 2024 : Dette : la France à une marche du précipice : Ce mercredi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse au danger de la dette qui menace de plus en plus la France.
  • Podcast du mardi 17 d?cembre 2024 : Bayrou à Matignon, l’occasion de supprimer le Commissariat au Plan :

    Agnès Verdier-Molinié questionne l’utilité du Haut-Commissariat au plan, réactivé récemment mais jugé peu efficace. Avec un budget de 1,9 million d’euros pour 14 employés et 18 rapports depuis 2020, son rôle apparaît redondant face à des organismes similaires comme France Stratégie.

    Agnès Verdier-Molinié propose une réforme radicale : supprimer ces instances coûteuses (23 millions d’euros par an) pour économiser près de 30 millions d’euros. Une partie des fonds irait au désendettement, l’autre à un organe d’évaluation rattaché au Parlement, comblant ses lacunes en matière d’audit.

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  • Podcast du lundi 16 d?cembre 2024 : Vive la capitalisation ! :

    Olivier Babaud explore l'avenir du système de retraite, comparant la retraite par répartition et par capitalisation. Il met en lumière les faiblesses du système actuel, où le nombre de cotisants ne suit pas celui des retraités, et souligne les avantages de la capitalisation pour préserver le niveau de vie des futurs pensionnés.

    Olivier Babaud déconstruit les préjugés entourant la capitalisation, souvent vue comme une menace pour la solidarité, et démontre que les deux systèmes peuvent coexister et se compléter. Cet épisode offre une analyse nuancée et perspicace du débat sur les retraites, invitant les auditeurs à se forger leur propre opinion sur cette question cruciale. Que vous soyez passionné d'économie ou simplement curieux des enjeux de société, cette discussion éclairante est à ne pas manquer.

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  • Podcast du jeudi 12 d?cembre 2024 : Économie : la nouvelle onde de choc de la dissolution :

    Agnès Verdier-Molinié analyse les répercussions économiques de l'instabilité politique en France. Le CAC 40 souffre, les investissements stagnent et la consommation baisse, alimentant les risques de récession. Les querelles politiques fragilisent l'économie, avec des entreprises réticentes à investir et des ménages plus enclins à épargner. L'experte alerte sur les graves conséquences possibles : chômage, déficit accru et fermetures d'usines, soulignant l'urgence de stabiliser la situation.

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  • Podcast du mercredi 11 d?cembre 2024 : Demandez le programme :

    Olivier Babaud propose des réformes économiques pour la France. Il vise à réduire les déficits publics, moderniser la fonction publique et maîtriser les dépenses sociales. Parmi ses propositions : limiter le statut de fonctionnaire aux fonctions régaliennes, introduire l'intelligence artificielle, supprimer un échelon territorial, simplifier l'administration, et rééquilibrer le financement de la protection sociale. Pour la santé, il suggère une carte vitale biométrique et une franchise proportionnelle aux revenus. Pour les retraites, il préconise l'augmentation du taux d'activité et une dose de capitalisation. Babaud défend une approche rigoureuse, basée sur l'évaluation objective des politiques publiques, et un rapprochement entre la Cour des comptes et le Parlement.

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  • Podcast du mardi 10 d?cembre 2024 : Non au tripatouillage du barème de l'impôt sur le revenu : Ce mardi 10 décembre 2024, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse au tripatouillage du barème de l'Impôt sur le revenu.
  • Podcast du lundi 09 d?cembre 2024 : Vivement la crise de la dette ! :

    Olivier Babaud nous pousse à reconsidérer notre position sur la dette publique française. Contre toute attente, il estime que la France devrait souhaiter une crise de sa dette publique, car cela serait en réalité le meilleur moyen de forcer des réformes profondes et nécessaires.

    Selon Olivier Babaud, l'histoire montre que les réformes les plus importantes ne se font que lors de périodes de crise. Or, la France semble incapable de les mettre en place de façon volontaire, que ce soit à cause d'œillères idéologiques, de déficiences cognitives ou d'un jeu politique trop absorbant.

    Plus nous attendrons, plus la crise sera douloureuse lorsqu'elle arrivera. Comme dans la vie, plus on remet à plus tard la décision de changer un mode de vie qui dérape, plus cette décision sera difficile à prendre. Il faut donc, selon lui, que la France soit plongée dans l'eau bouillante d'une crise de la dette pour enfin procéder à la grande remise à plat de son système économique et institutionnel.

    Olivier Babaud pointe du doigt les travers de la classe politique française et met en garde contre les dangers d'un immobilisme qui coûterait cher à long terme.

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  • Podcast du jeudi 05 d?cembre 2024 : Censure : il ne manquait que cela pour aggraver le déficit :

    Agnès Verdier-Molinié analyse l'impact potentiel d'une motion de censure sur les finances publiques françaises. Les conséquences seraient graves : augmentation du déficit au-delà de 5,5%, possible hausse jusqu'à 6% en 2025, affaiblissement de la capacité d'emprunt de l'État, et risque pour la solvabilité publique. Ces perspectives soulèvent des questions sur la soutenabilité des finances françaises et les répercussions pour les citoyens (impôts, prestations sociales).

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  • Podcast du mercredi 04 d?cembre 2024 : Changer de président, pour quoi faire ? :

    Olivier Babaud analyse la situation économique et politique de la France. Il soutient qu'une nouvelle élection présidentielle ne résoudrait pas la crise, le problème étant plutôt un deuil collectif de la France prospère d'antan. Selon lui, nous avons vécu au-dessus de nos moyens sans réformes nécessaires. Babaud met en garde contre l'illusion d'un président providentiel et appelle à accepter la réalité actuelle pour adopter des solutions indispensables, comme la réforme de l'État et du système de protection sociale. Cet épisode invite à réfléchir sur les causes de la crise et les véritables solutions à envisager, offrant une analyse clairvoyante des défis économiques et sociaux du pays.

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  • Podcast du mardi 03 d?cembre 2024 : Le budget impossible :

    Agnès Verdier-Molinié analyse l'impact de la crise politique française sur la dette publique. Elle souligne que les déficits chroniques alimentent l'instabilité politique, et non l'inverse. Agnès avertit que la France risque une dégradation par les agences de notation, compromettant sa capacité à financer les 300 milliards d'euros nécessaires en 2025. L'épisode explore les liens entre politique et finances publiques, et interroge les opposants sur leurs solutions pour l'avenir.

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  • Podcast du lundi 02 d?cembre 2024 : Budget : anatomie d’un désastre :

    Olivier Babaud analyse sans concession la situation budgétaire de la France, pointant deux décisions majeures à l'origine de la crise : le passage de l'âge de la retraite de 65 à 60 ans en 1983 et l'instauration des 35 heures. Ces mesures ont déséquilibré le système de retraite et alourdi le coût du travail. Babaud critique la lâcheté des responsables politiques qui ont évité les réformes nécessaires, préférant acheter la paix sociale. Il conclut sur une note d'inquiétude, évoquant un possible "trou noir" budgétaire. Un épisode essentiel pour comprendre les enjeux de la crise budgétaire française.

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  • Podcast du jeudi 28 novembre 2024 : Budget : le piège de la censure :

    Agnès Verdier-Molinier discute des conséquences d'une chute du gouvernement Barnier, évoquant deux options pour assurer la continuité des dépenses : ordonnances ou loi spéciale. Le principal risque est l'opposition refusant d'approuver ces mesures, menaçant la stabilité financière. Verdier-Molinier examine les impacts potentiels sur les marchés et la dette, et évoque un possible recours à l'article 16 de la Constitution. Une analyse captivante des défis budgétaires qui pourraient suivre une crise politique majeure.

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  • Podcast du mercredi 27 novembre 2024 : Argentine : un 1er anniversaire à la tronçonneuse :

    Dans cet épisode de L'Édito Éco, découvrez les bouleversements économiques en Argentine sous la gouvernance de Javier Milei. 🇦🇷

    Élu il y a un an, Milei, figure du libéralisme, a engagé une révolution audacieuse pour sortir son pays d'une crise économique profonde. Face à une inflation galopante, un déficit massif et une dette colossale, il a choisi d’agir sans concession, réduisant l’État providence et s'attaquant aux privilèges des élites.

    Qu'en est-il des premiers résultats ? Si les réformes sont douloureuses, avec une hausse de la pauvreté, des signes encourageants apparaissent : rééquilibrage budgétaire, baisse de l’inflation et retour des investissements étrangers.

    Nos experts, Olivier Babaud et Dimitri Pavlenko, analysent cette politique de rupture et ses enseignements pour la France et l’Europe. La 'voie Milei' pourrait-elle inspirer de nouvelles réformes ? Explorez cette expérience unique et les pistes qu’elle ouvre. 🇫🇷

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  • Podcast du mardi 26 novembre 2024 : Trop de normes tue la norme :

    Agnès Verdier-Molinier explore le défi de la simplification des normes en France. Malgré des années de promesses pour alléger la bureaucratie, le pays compte 69 codes totalisant 32 000 pages de réglementations, freinant l'activité économique. Chaque nouvelle loi semble aggraver cette complexité. Agnès propose une révision profonde des normes adoptées depuis 2017, en ne conservant que celles ayant un impact économique avéré. Elle suggère aussi d'instaurer un organisme de surveillance des normes, comme le font d'autres pays. Une réflexion essentielle pour libérer l'économie française. 🔍

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  • Podcast du lundi 25 novembre 2024 : Le Bitcoin : mais jusqu'ou ira-t-il ? :

    Le Bitcoin, souvent surnommé « l’or numérique du XXIe siècle », suscite débat et fascination. Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babaud explique ses principes novateurs, tels que la blockchain et sa rareté programmée, qui le distinguent des monnaies classiques. Alors que certains le considèrent comme une réserve de valeur face à l’hyperinflation, ses détracteurs critiquent son impact écologique et ses usages illicites. La question demeure : bulle spéculative ou monnaie mondiale de demain ?

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  • Podcast du jeudi 21 novembre 2024 : Immobilier / Droits de mutation : encore une mauvaise nouvelle :

    Dans cet édito, Agnès Verdier-Molinier analyse la décision du gouvernement d'augmenter les droits de mutation à titre onéreux (DMTO), autrement appelés "frais de notaire". Cette mesure survient dans un contexte déjà difficile pour le marché immobilier, avec une baisse des transactions.

    Les recettes de DMTO, qui étaient de 21 milliards d'euros en 2022, devraient tomber à 15 milliards en 2024, soit une baisse de 30%. Cela s'explique par la diminution des transactions, qui pourrait dépasser 10% cette année.

    Agnès Verdier-Molinier souligne que la France a déjà des frais de notaire élevés, représentant entre 7 et 8% du prix d'un logement ancien. Avec cette hausse, un ménage achetant un bien de 250 000 euros devra payer 1 250 euros de plus.

    Les départements, ayant obtenu une hausse de leur part dans les DMTO, risquent de fragiliser encore plus le marché immobilier. Les experts estiment que cette mesure pourrait annuler une partie de l'effet positif de la baisse des taux d'intérêt observée depuis septembre.

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  • Podcast du mercredi 20 novembre 2024 : Viva el Mercosur ! :

    Olivier Babaud soutient l'accord de libre-échange entre l'Union Européenne et le Mercosur, malgré les critiques.

    Il s'attaque aux idées reçues sur les dangers de cet accord. Il balaie les craintes sur l'importation de viande bovine traitée aux hormones, rappelant que les normes européennes l'interdisent. Il souligne que les quotas d'importation sont limités et que l'accord respecte l'Accord de Paris sur le climat.

    Olivier Babaud voit cet accord comme une opportunité pour développer les exportations dans des secteurs clés (vins, spiritueux, produits laitiers, automobile, chimie). Il rappelle que la France a déjà une balance commerciale excédentaire avec le Mercosur.

    Pour lui, rejeter cet accord serait un signe de déclin et de repli sur soi. Il plaide pour une posture offensive, pour éviter de perdre des parts de marché face à la concurrence, notamment chinoise, en Amérique du Sud.

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  • Podcast du mardi 19 novembre 2024 : Déficit public : Les JO n’y sont pas pour rien… :

    Ce mardi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à au dépassement du déficit public à hauteur de 50 milliards d'euros.

  • Podcast du lundi 18 novembre 2024 : Immobilier : faut-il acheter ou louer ? :

    Olivier Babeau se penche sur un dilemme auquel sont confrontés de nombreux Français : acheter ou louer son logement ?

    Alors que les droits de mutation vont augmenter, rendant l'achat encore plus onéreux, Olivier Babeau analyse les avantages et les inconvénients de chaque option. Il révèle notamment que dans les grandes villes comme Paris, l'achat n'est rentable qu'au bout de 29 ans !

    En parallèle, l'offre locative s'est considérablement réduite, notamment à cause de la faible rentabilité pour les investisseurs. Les ménages aisés peinent à trouver un juste équilibre entre leurs moyens et leurs aspirations.

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  • Podcast du jeudi 14 novembre 2024 : Revoilà les grèves et l'égoïsme syndical public :

    Agnès Verdier-Molinié aborde les économies budgétaires annoncées dans la fonction publique. Le syndicat UFSE-CGT a déposé un préavis de grève pour protester contre ces mesures, qui visent à supprimer les 3 jours de carence et à baisser l'indemnisation des premiers mois de maladie.

    Elle souligne que ces mesures existent déjà dans le secteur privé et permettraient de réduire une facture de 15 milliards d'euros liée aux absences maladie. Les agents publics bénéficient d'avantages en termes de statut, salaires et temps de travail par rapport au privé.

    Verdier-Molinié craint que ces mobilisations n'entraînent une dérive budgétaire et une aggravation de la dette publique.

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  • Podcast du mercredi 13 novembre 2024 : Moins de dépense vaut mieux que trop d'impôts ! :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babaud se penche sur les enjeux de la politique de l'offre mise en place par le gouvernement depuis 2017.

    Bien que cette approche visant à dynamiser l'activité économique en allégeant la fiscalité des entreprises n'ait pas permis de résoudre tous les problèmes, comme l'atteste la crise actuelle, Olivier Babaud défend l'idée qu'elle reste une piste intéressante, à condition d'être complétée par une baisse substantielle des dépenses publiques.

    Notre expert examine les résultats des politiques d'austérité menées dans différents pays, montrant que les plans fondés sur une réduction des dépenses publiques sont plus efficaces pour réduire le déficit et la dette que ceux misant sur une hausse des impôts. Il explique en effet que cette dernière option a un impact plus négatif sur l'activité économique, les agents économiques anticipant un retour de bâton fiscal.

    Loin de rejeter en bloc la politique de l'offre, Olivier Babaud plaide pour son renforcement, en y ajoutant un volet de maîtrise des dépenses publiques, afin de donner toutes ses chances à cette approche visant à stimuler la compétitivité des entreprises et la création d'emplois. Une analyse nuancée et pragmatique des enjeux économiques actuels.

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  • Podcast du mardi 12 novembre 2024 : Réforme du RSA : acceptons qu’ils soient de vrais demandeurs d’emplois :

    Agnès Verdier-Molinié examine en détail les implications de la réforme du RSA qui entrera en vigueur au 1er janvier 2025.

    Avec cette loi, tous les bénéficiaires du RSA devront désormais s'inscrire auprès de France Travail, l'agence qui a remplacé Pôle Emploi. Une mesure qui pourrait faire bondir le nombre de demandeurs d'emploi inscrits, faisant passer le taux de chômage officiel au-delà des 8 %.

    Cependant, le gouvernement semble vouloir éviter cette hausse statistique en créant deux nouvelles catégories de chômeurs - la catégorie F pour les allocataires orientés vers un parcours social, et la catégorie G pour ceux en attente d'orientation. Ces personnes seraient alors exemptées de l'obligation de recherche d'emploi et ne seraient donc pas comptabilisées dans les statistiques du chômage.

    L'experte décrypte les enjeux de cette réforme et s'interroge sur la sincérité des chiffres du chômage qui en résulteront. Elle analyse également les différences avec les pratiques des pays du Nord de l'Europe, où le lien entre perception d'aides et recherche active d'emploi est plus étroit.

    Cet épisode offre un éclairage essentiel sur les coulisses de la mesure phare de la loi Pleine Emploi, et invite à s'interroger sur la volonté réelle de refléter fidèlement la situation de l'emploi en France.

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  • Podcast du lundi 11 novembre 2024 : Europe carnivore : chiche ? :

    Dans cet épisode, Olivier Babeau examine l'appel du président français Emmanuel Macron à une Europe plus ambitieuse et conquérante sur la scène internationale. Il décrypte les enjeux d'une telle transformation, des politiques de concurrence européennes à la nécessité de construire de véritables champions industriels capables de rivaliser avec les géants américains et asiatiques.

    Il revient notamment sur le contraste saisissant entre la dynamique entrepreneuriale et l'innovation technologique outre-Atlantique, et le manque de leadership économique de l'Europe, coincée dans une logique de protection du consommateur au détriment de la compétitivité de ses entreprises.

    L'expert propose des pistes concrètes pour permettre à l'Europe de devenir une puissance économique à part entière, en réformant sa politique de concurrence, en orientant davantage l'épargne des ménages vers l'investissement productif, ou encore en misant sur des filières stratégiques d'avenir plutôt que sur des « canards boiteux ».

    Un éclairage essentiel sur les enjeux d'une Europe plus ambitieuse et conquérante face à la montée en puissance des États-Unis et de la Chine dans la course à l'innovation et à la croissance.

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  • Podcast du jeudi 07 novembre 2024 : Il faut sauver la voiture française ! :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié examine les défis auxquels fait face la filière automobile européenne. Elle aborde les nouvelles réglementations européennes sur les émissions de CO₂ et l'objectif de 100 % de véhicules neufs électriques d'ici 2035, qui mettent les constructeurs automobiles sous pression.

    Alors que les constructeurs européens peinent à s'adapter, les véhicules électriques chinois, moins chers, gagnent du terrain sur le marché européen. Leur part pourrait atteindre jusqu'à 12 % des ventes en 2030, ce qui inquiète fortement la filière.

    Cette situation menace des milliers d'emplois dans l'industrie automobile, tant chez les constructeurs que chez les équipementiers et sous-traitants. Agnès Verdier-Molinié appelle à un sursaut de l'Europe, qui doit revoir ses réglementations pour éviter l'effondrement de ce secteur stratégique.

    Au-delà des enjeux économiques, cet épisode apporte un éclairage sur les défis de la transition écologique dans l'automobile et la nécessité de trouver un équilibre entre ambition environnementale et préservation de l'industrie et de l'emploi.

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  • Podcast du mercredi 06 novembre 2024 : Faites des bébés ! :

    Olivier Babeau plonge au cœur d'un défi majeur : le recul du taux de natalité en France. Alors que le pays enregistrait 832 000 naissances en 2010, ce chiffre n'est plus que de 680 000 en 2023, avec un taux de fécondité passé de 1,79 à 1,68 enfant par femme.

    Cette baisse de la natalité soulève de nombreuses interrogations et met en péril la soutenabilité de notre système social, en déséquilibrant les rapports entre actifs et inactifs. Quels sont les facteurs complexes qui influencent ce phénomène ? Urbanisation, niveau de vie, accès à l'emploi des femmes, sécularisation... Autant d'éléments qui semblent jouer en défaveur d'une relance de la natalité.

    Cependant, les pouvoirs publics disposent de leviers pour tenter d'inverser la tendance, à travers des politiques familiales généreuses, un meilleur accès à la garde d'enfants, ou encore en diffusant une perspective plus optimiste sur l'avenir.

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  • Podcast du mardi 05 novembre 2024 : Dette : les Américains c’est moins bien mais en fait c’est mieux :

    Bien que la dette américaine dépasse les 35 000 milliards de dollars, soit 125% de leur richesse nationale, le sujet n'a finalement pas été beaucoup abordé lors de la dernière campagne présidentielle. Pourtant, les chiffres sont alarmants : le seul remboursement des intérêts de cette dette atteint 1000 milliards de dollars par an, et le déficit public américain devrait atteindre 6,2% du PIB en 2024, soit un niveau similaire à celui de la France.

    Malgré ces indicateurs préoccupants, les États-Unis bénéficient encore de la confiance des marchés, grâce notamment à leur position de monnaie de réserve mondiale et à leurs taux de croissance élevés, favorisés par une innovation technologique financée par des fonds de pension en capitalisation et une fiscalité plus attractive pour les entreprises.

    Cependant, Agnès Verdier-Molinié nous met en garde : la France, avec une dette détenue à moins de 50% par des résidents français et des recettes fiscales représentant plus de 51% du PIB, pourrait bien devenir la nouvelle cible des inquiétudes concernant la soutenabilité de la dette publique dans les années à venir. 🤔

    Cet épisode de l'Édito Éco nous invite à porter un regard avisé sur la situation économique des États-Unis et à réfléchir aux défis que la France devra relever pour assainir ses finances publiques tout en préservant sa compétitivité.

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  • Podcast du lundi 04 novembre 2024 : Une encourageante réduction des émissions de CO2 en Europe :

    Olivier Babeau nous apporte une excellente nouvelle : l'Union européenne a réussi à réduire ses émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023, soit la plus forte baisse annuelle depuis des décennies. 🌍

    Cette performance remarquable s'inscrit dans un phénomène essentiel, le découplage, qui prouve qu'il est possible de découpler la croissance économique de l'empreinte environnementale. En effet, les émissions nettes de l'UE sont désormais inférieures de 37% au niveau de 1990, tandis que son PIB a augmenté de près de 70% sur la même période.

    Loin de se reposer sur ces lauriers, Olivier Babeau souligne que cette réussite doit servir d'exemple à l'approche de la COP29 à Bakou. L'Europe, qui a longtemps été un acteur majeur de la pollution, a aujourd'hui l'opportunité de montrer la voie à suivre pour concilier progrès économique et protection de l'environnement.

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  • Podcast du jeudi 31 octobre 2024 : Le délire des opérateurs de l’État :

    Dans cet épisode, Agnès Verdier-Molinié aborde la question épineuse du coût des agences de l'État et des possibilités de réaliser des économies substantielles. Malgré une baisse du nombre d'agences ces dernières années, leurs dépenses et leurs effectifs n'ont cessé d'augmenter, atteignant désormais près de 500 000 agents et un budget de 77 milliards d'euros pour 2025.

    Agnès Verdier-Molinié souligne que si les dépenses des agences avaient évolué au même rythme que l'inflation, on aurait pu économiser 18 milliards d'euros par an. Elle recommande une rationalisation ambitieuse, comme la fusion de certaines agences faisant doublon avec les ministères ou les directions régionales.

    L'exemple de l'ADEME, avec ses 1 000 employés et 1 milliard d'euros de crédits annuels, illustre le potentiel d'économies. Selon Agnès Verdier-Molinié, viser 7 à 10 milliards d'euros d'économies sur l'ensemble des agences de l'État n'est pas irréaliste.

    Cet épisode plonge au cœur des enjeux budgétaires et organisationnels de l'État, offrant des pistes concrètes pour réduire les coûts tout en préservant l'efficacité des services publics.

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  • Podcast du mercredi 30 octobre 2024 : Immobilier / notaires : Arrêtez les frais ! :

    Olivier Babeau revient sur la possibilité d'une hausse des frais de notaire, également appelés droits de mutation à titre onéreux (DMTO). Il explique que cette mesure, loin d'être la solution, risquerait d'aggraver les difficultés du marché immobilier et des collectivités locales.

    Tout d'abord, Olivier Babeau rappelle que les frais de notaire sont en réalité perçus par l'État et non par les notaires eux-mêmes. Dans un contexte de baisse des transactions immobilières, les départements en difficulté réclament une hausse ou une compensation de ces DMTO pour combler leur manque à gagner. Cependant, Olivier Babeau juge que cette décision serait contreproductive.

    En effet, la France est déjà l'un des pays européens où les taxes sur l'immobilier sont les plus élevées, de la construction à la vente. Une augmentation des DMTO aurait trois effets néfastes : elle entraverait l'accession à la propriété, en particulier chez les jeunes, limiterait la mobilité résidentielle et donc le marché du travail, et découragerait les transactions, réduisant ainsi les rentrées fiscales des collectivités locales.

    Pendant des décennies, ces dernières se sont habituées à une "drogue dure" : des prix immobiliers en constante augmentation, générant des recettes fiscales toujours plus importantes. Mais avec le retournement du marché, cette dépendance s'avère désormais suicidaire. Olivier Babeau estime qu'il est temps de remettre entièrement à plat la fiscalité de l'immobilier, afin de limiter les effets pervers et les intérêts mal alignés.

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  • Podcast du mardi 29 octobre 2024 : Lutte contre l'absentéisme dans le public : une priorité :

    Cet épisode de l'Édito Éco met en lumière un enjeu majeur auquel le gouvernement doit faire face : l'absentéisme dans la fonction publique. Agnès Verdier-Molinié décrit un problème alarmant qui pèse lourdement sur les finances publiques.

    En effet, le coût annuel de l'absentéisme dans le secteur public s'élève à 15 milliards d'euros, soit presque autant que dans le privé, alors que les employés publics ne représentent que 20% de la population active. Ce constat choquant pousse le gouvernement à prendre des mesures pour endiguer ce phénomène.

    Les deux principales réformes annoncées sont le passage de 1 à 3 jours de carence, comme dans le privé, ainsi qu'une baisse du remboursement des arrêts maladie dans la fonction publique, de 100% à 90% du salaire pendant les 3 premiers mois. Ces changements permettraient d'économiser 1,2 milliard d'euros par an, même si certains syndicats s'y opposent.

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  • Podcast du lundi 28 octobre 2024 : Impôts de production : l’inquiétante rechute :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babeau se penche sur la décision controversée de l'Assemblée nationale de rétablir la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE), un impôt de production considéré comme particulièrement néfaste pour la compétitivité des entreprises françaises.

    Il explique en détail les raisons pour lesquelles la CVAE est un « impôt bête », pénalisant les activités à forte intensité capitalistique et aux marges faibles. Cet impôt renchérit les exportations françaises tout en épargnant les importations, offrant ainsi un avantage concurrentiel à nos voisins.

    Malgré les nombreux rapports soulignant les effets désastreux de cette taxe sur la désindustrialisation du pays, les élus semblent s'entêter dans cette voie, animés par une vision à courte vue qui considère les entreprises comme une simple variable d'ajustement budgétaire.

    Olivier Babeau déconstruit cette logique perverse, montrant comment ce cercle vicieux conduit inexorablement à une aggravation du déficit commercial et à de nouvelles vagues de délocalisations, nécessitant encore davantage de prélèvements sur l'industrie restante.

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  • Podcast du jeudi 24 octobre 2024 : Abrogation de la réforme des retraites : halte aux mensonges ! :

    Agnès Verdier-Molinié discute de la réforme des retraites, éclairant les débats houleux et les contre-vérités qui circulent en rappelant les réalités économiques auxquelles la France fait face.

    L'éditorialiste met en garde contre un retour à l'âge de départ à 60 ou 62 ans, qui coûterait des dizaines de milliards d'euros par an. Elle rappelle également que le report de l'indexation des pensions sur l'inflation est nécessaire pour limiter le déficit de la branche vieillesse.

    Agnès Verdier-Molinié plaide pour un alignement progressif de l'âge de départ à la retraite à 66 ans d'ici 2035, comme dans la plupart des pays européens, et pour une réforme des coûteux régimes spéciaux de la fonction publique.

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  • Podcast du mercredi 23 octobre 2024 : Grâce aux impôts, la richesse ruisselle :

    Dans cet épisode, Olivier Babaud nous invite à revoir notre vision de la théorie du ruissellement, souvent raillée en France. Contrairement aux idées reçues, les plus aisés contribuent de manière significative au financement des services publics et de la solidarité nationale.

    Grâce à un système fiscal progressif, la richesse des plus fortunés "ruisselle" vers le reste de la société, permettant de réduire considérablement les inégalités de niveau de vie. Cependant, la France peine à trouver le juste équilibre entre taxation des hauts revenus et attractivité du territoire pour les contribuables les plus aisés.

    Olivier Babaud souligne ainsi les risques de "l'assèchement" de ces recettes fiscales stratégiques en cas de départ des plus riches, à l'image de ce qui s'est produit en Norvège. Il appelle à une réflexion plus nuancée sur le rôle économique des premiers de cordée, au-delà des discours moralisateurs.

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  • Podcast du mardi 22 octobre 2024 : Participations de l’État : vendez ! :

    Alors que le débat sur le Doliprane fait couler beaucoup d'encre, le ministre des Comptes publics, Laurent Saint-Martin, s'est dit ouvert à l'idée de céder une partie des participations de l'État dans certaines entreprises. Cette proposition, appuyée par plusieurs députés Renaissance, pourrait en effet permettre de faire baisser la dette publique de manière significative.

    En effet, l'État détient environ 180 milliards d'euros de participations, principalement dans des entreprises cotées. Une cession de 10% de ces parts permettrait de dégager 26 milliards d'euros, sans pour autant que l'État perde son influence sur ces entreprises. Une mesure qui pourrait s'avérer particulièrement pertinente dans un contexte où la charge de la dette risque de devenir de plus en plus lourde dans les années à venir.

    Bien que cette décision puisse entraîner une baisse des dividendes perçus par l'État (environ 374 millions d'euros par an pour une cession de 10%), les bénéfices en termes de réduction de la dette semblent largement compenser cet impact.

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  • Podcast du lundi 21 octobre 2024 : Le concours Lépine de la fiscalité :

    Olivier Babeau nous éclaire sur les débats houleux autour du budget 2023 à l'Assemblée nationale. Alors que le gouvernement examine le projet de loi de finances, la commission des finances a proposé des hausses d'impôts controversées, suscitant l'inquiétude des contribuables.

    De l'abolition de l'avantage fiscal sur l'assurance-vie à une taxe kilométrique sur les produits importés, en passant par des taxes alourdies sur les successions, les propositions ont fait craindre le pire pour le portefeuille des Français. Heureusement, le Premier ministre et certains députés ont rappelé l'importance de préserver l'activité économique plutôt que d'alourdir la pression fiscale.

    Olivier Babeau livre une analyse sans concession de cette scène « cauchemardesque » et propose des pistes pour une gestion plus responsable des finances publiques.

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  • Podcast du jeudi 17 octobre 2024 : Déficits et dérapages : il faut demander des comptes ! :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié analyse le dérapage des comptes publics en France. Le problème n'est pas un manque de recettes fiscales, mais plutôt une hausse incontrôlée des dépenses de l'État, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales.

    Elle souligne que la classe politique propose toujours plus de dépenses sans voter les lois financières nécessaires, et que les services de Bercy pourraient sous-estimer les recettes pour justifier ces hausses.

    À retenir :

    1. Le problème vient de la hausse des dépenses publiques, pas des recettes fiscales.
    2. D'autres pays européens ont réussi à réduire leur déficit en maîtrisant leurs dépenses, prouvant que des solutions existent.

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  • Podcast du mercredi 16 octobre 2024 : Doliprane : ça ne fait pas mal là où on pense :

    Au-delà du psychodrame autour de la vente du Doliprane par Sanofi, Olivier Babeau nous invite à nous interroger sur les véritables enjeux de souveraineté économique qui se jouent pour la France et l'Europe.

    Loin de se focaliser sur un simple produit pharmaceutique, notre expert économique souligne que les signaux du déclin sont ailleurs. Il pointe du doigt les difficultés croissantes de production sur le sol français, confrontées à des coûts élevés et à un manque de maîtrise des prix.

    Mais le véritable défi se situe dans la capacité à contrôler les technologies et produits de demain, essentiels pour assurer notre indépendance économique. Car la France a raté de nombreux tournants technologiques majeurs ces dernières années, du numérique à l'intelligence artificielle.

    Olivier Babeau nous alerte ainsi sur l'urgence de relever ces défis de souveraineté, au-delà des effets d'annonce et des réflexes protectionnistes. Une analyse lucide et sans concession pour mieux saisir les enjeux économiques cruciaux de notre époque.

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  • Podcast du mardi 15 octobre 2024 : Dépenses publiques : les collectivités dans le déni ? :

    Les collectivités locales françaises, qui regroupent près de 35 000 entités comme les villes, départements et régions, sont sous le feu des critiques ces derniers jours. Représentant 18% de la dépense publique totale avec 289 milliards d'euros de budget en 2023, ces collectivités refusent de participer à l'effort d'économies demandé par l'État.

    Pourtant, les chiffres sont là : un déficit prévu de 20 milliards d'euros en 2025 pour ces collectivités, avec une augmentation de 18% de leurs dépenses de masse salariale depuis 2020. Des marges d'économies existent, à commencer par le contrôle de l'absentéisme de leurs agents ou le gel des augmentations de salaires.

    Au-delà, la réduction du mille-feuille administratif local, avec ses multiples strates (communes, intercommunalités, métropoles, départements, régions...) qui se font concurrence, pourrait permettre de réaliser des économies substantielles.

    Le temps du déni semble révolu : les collectivités locales devront bien participer à l'effort global de maîtrise des dépenses publiques. Mais comment s'y prendre sans pénaliser les services rendus aux citoyens ? C'est tout l'enjeu de cette réforme à venir.

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  • Podcast du lundi 14 octobre 2024 : Si la France était une entreprise :

    Dans cet épisode, nous explorons les difficultés d'une entreprise monopolistique, appelée ici Hexagone, qui accumule des pertes malgré une position dominante et des ventes annuelles de 100 millions d'euros.

    Pourquoi Hexagone est-elle en crise ? La gestion de l'entreprise est chaotique, avec une direction instable qui empêche toute stratégie cohérente. Résultat : Hexagone accumule les dettes et doit emprunter pour combler l'écart entre ses ventes et ses coûts.

    Ces coûts sont excessivement élevés. Malgré une clientèle captive, Hexagone ne parvient pas à contrôler ses dépenses. Sa gestion des ressources humaines est désorganisée et ses processus sont trop complexes. De plus, recruter devient de plus en plus difficile à cause du manque d'attractivité de l'entreprise.

    La direction, plutôt que de s'attaquer aux problèmes de fond, préfère augmenter les prix, faisant ainsi peser la charge sur les consommateurs. Mais cette stratégie risque de provoquer leur mécontentement.

    Hexagone doit-elle se réorganiser pour réduire ses coûts et améliorer ses services ? Ou continuera-t-elle à faire payer ses clients, risquant de nuire à leur pouvoir d'achat ? Le futur de l'entreprise en dépend.

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  • Podcast du jeudi 10 octobre 2024 : Bientôt une allocation sociale unique ? :

    Aujourd'hui dans l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié nous éclaire sur la proposition de Michel Barnier de créer une allocation sociale unique en France. Avec près de 60 aides sociales différentes, chacune avec ses propres critères et modes de calcul, le système actuel est extrêmement complexe et coûteux à gérer.

    Selon Agnès Verdier-Molinié, cette complexité favorise également la fraude, estimée à 1 euro sur 6 pour le seul RSA. L'objectif d'une allocation sociale unique serait donc de simplifier le système, de réduire les coûts de gestion et de mieux lutter contre les abus. Agnès suggère même d'aller plus loin que Michel Barnier en fixant le plafond de cette allocation à 90% du SMIC, soit environ 1 260 euros par mois, ce qui permettrait selon elle de réaliser 5 milliards d'euros d'économies annuelles.

    Au-delà des aspects financiers, cette réforme viserait également à harmoniser les conditions d'attribution des aides, s'inspirant des modèles nordiques où le versement d'un minimum social est conditionné à une recherche active d'emploi. L'objectif serait ainsi de favoriser le retour à l'emploi et l'autonomie des bénéficiaires.

    Que vous soyez concernés par ces aides ou simplement intéressés par les enjeux économiques et sociaux, cet épisode de l'Édito Éco vous aidera à mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette proposition de réforme ambitieuse. N'hésitez pas à l'écouter pour découvrir tous les détails !

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  • Podcast du mercredi 09 octobre 2024 : Ne faisons pas l’économie de l’apprentissage :

    Dans cet épisode, Olivier Babeau explore les enjeux cruciaux du financement de l'apprentissage en France. Alors que le gouvernement envisage des coupes massives dans les dispositifs d'aide, dans le cadre du projet de loi de finances 2025, notre expert économique analyse les répercussions potentielles de cette décision.

    Sous la présidence Macron, l'apprentissage a connu un essor remarquable, avec un triplement du nombre d'apprentis depuis 2017. Cependant, cette croissance s'est accompagnée d'un triplement du coût pour les finances publiques. Face à la volonté de Bercy de réaliser des économies immédiates, Olivier Babeau met en garde contre la suppression de mesures efficaces sous prétexte qu'elles sont onéreuses.

    Selon une étude du Syntec, le financement de l'apprentissage génère en réalité 18 milliards d'euros de retombées positives pour 16 milliards d'euros de dépenses. Ces bénéfices se traduisent par une meilleure insertion professionnelle des jeunes : 70 % des alternants titulaires d'un Bac +3 et au-delà trouvent un emploi en CDI dans l'année suivant leur formation, contre seulement 47 % pour les étudiants classiques.

    Olivier Babeau souligne également que l'apprentissage a permis à des étudiants issus de milieux moins favorisés d'accéder à des études longues, grâce à la possibilité de percevoir un salaire tout en se formant. Il avertit du risque de voir cette opportunité disparaître si les coupes dans le financement de l'apprentissage se concrétisent.

    Cet épisode offre un éclairage pertinent sur les enjeux économiques et sociaux liés au financement de l'apprentissage, invitant les auditeurs à réfléchir sur la pertinence des décisions budgétaires à venir dans ce domaine essentiel pour l'avenir de nos jeunes.

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  • Podcast du mardi 08 octobre 2024 : Budget : les économies fantômes du gouvernement :

    Dans cet épisode, les experts économiques Agnès Verdier-Molinié analyse de près les annonces du gouvernement concernant le prochain budget. Alors que le ministre du Budget, Michel Barnier, promet des efforts conséquents pour réduire le déficit public, elle remet en question la sincérité des chiffres avancés.

    Agnès Verdier-Molinié souligne en effet que malgré les 60 milliards d'euros d'efforts annoncés, dont 20 milliards d'augmentation d'impôts et 40 milliards de baisse de dépenses, les dépenses publiques continueront d'augmenter de 2,1% en 2025, soit l'équivalent du budget de l'enseignement supérieur. Autrement dit, la fameuse règle du « deux tiers de baisse de dépenses, un tiers de hausse d'impôts » ne sera pas respectée.

    Agnès Verdier-Molinié déconstruit ainsi les "effets d'annonce" du gouvernement, expliquant que les véritables économies ne s'élèveraient en réalité qu'à 15 milliards d'euros au lieu des 40 milliards affichés. Elle dénonce une forme de manipulation des chiffres, pointant du doigt le fait que le déficit public restera au même niveau en 2025 malgré ces efforts.

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  • Podcast du lundi 07 octobre 2024 : Gare aux hausses d’impôts pour tous :

    Alors que le gouvernement prétend cibler uniquement les super-profits des grandes entreprises, la réalité s'avère bien plus nuancée.

    Derrière les annonces de hausse d'impôts pour les plus aisés, il apparaît que l'ensemble des Français sera touché, à travers des mécanismes subtils comme l'incidence fiscale. En effet, les entreprises répercuteront leurs charges supplémentaires sur les consommateurs et les salariés, tandis que les propriétaires baissseront les loyers de leurs locataires.

    Olivier Babeau décrypte ces mécanismes économiques pour mieux comprendre comment la pression fiscale se diffuse dans toute la société, au-delà des catégories sociales visées initialement. Ils mettent également en lumière les défis budgétaires auxquels le gouvernement est confronté pour financer ses priorités, obligé de trouver près de 40 milliards d'économies.

    Une analyse nuancée et éclairante des enjeux fiscaux, qui montre que la réalité est souvent plus complexe que les effets d'annonce.

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  • Podcast du jeudi 03 octobre 2024 : Non à la taxe spéciale sur les entrepreneurs :

    Agnès Verdier-Molinié se penche sur les récentes annonces du Premier ministre concernant les mesures fiscales à venir. Elle analyse en détail les projets d'augmentation de la taxation sur les hauts revenus, en particulier pour les entrepreneurs.

    Tout d'abord, elle souligne que ces nouvelles taxes, présentées comme touchant uniquement les plus aisés, vont en réalité principalement impacter les chefs d'entreprise et les investisseurs, qui sont souvent rémunérés sous forme de dividendes. Agnès Verdier-Molinié met en garde contre les conséquences potentiellement néfastes de ces mesures, qui risquent de décourager l'entrepreneuriat et l'investissement en France.

    Elle s'interroge également sur le ciblage de ces nouvelles taxes, qui concerneraient environ 400 000 foyers fiscaux, soit les 1% les plus riches. Elle souligne que cette concentration de l'impôt pourrait fragiliser l'attractivité de la France pour ces entrepreneurs et investisseurs, alors même que le pays en a le plus besoin pour créer de la richesse et de l'emploi.

    Au fil de la discussion, Agnès Verdier-Molinié apporte un éclairage nuancé et approfondi sur ces enjeux fiscaux, invitant les auditeurs à réfléchir aux impacts potentiels de ces mesures sur l'économie française.

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  • Podcast du mercredi 02 octobre 2024 : Cette bureaucratisation qui nous tue :

    Olivier Babeau se penche sur deux défis économiques cruciaux de notre époque : l'inflation et la bureaucratie.

    Tout d'abord, il examine l'impact de l'inflation sur le pouvoir d'achat des ménages. Avec la flambée des prix, de nombreux Français voient leur budget serré, ce qui fragilise la reprise économique. Notre expert analyse les causes de cette inflation persistante et les moyens d'y faire face.

    Mais le véritable cheval de bataille, selon Olivier Babeau, est la lutte contre la bureaucratie et la complexité administrative. Malgré les annonces du Premier ministre, la France reste malheureusement championne en la matière, avec des coûts estimés à 4% du PIB.

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  • Podcast du mardi 01 octobre 2024 : Pas de budget : on fait quoi ? :

    Que se passerait-il si la France n'arrivait pas à voter son budget pour 2025 ?

    Agnès Verdier-Molinié explore les différents scénarios possibles dans l'hypothèse où aucun accord budgétaire ne serait trouvé d'ici la fin de l'année. Des conséquences sur le paiement des salaires des fonctionnaires et des pensions aux risques pour le financement de la dette publique, en passant par les possibilités offertes par la Constitution, les invités dressent un tableau détaillé des enjeux et des défis qui se présenteraient alors.

    Cet épisode offre un éclairage précieux sur le fonctionnement des institutions et les mécanismes budgétaires, permettant de mieux comprendre les rouages de la prise de décision politique en matière économique. Une analyse fine et engagée qui saura captiver tous les auditeurs, qu'ils soient passionnés d'économie ou simplement curieux de découvrir les coulisses du pouvoir.

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  • Podcast du lundi 30 septembre 2024 : Dette : la France au bord de la rupture de confiance :

    Dans cet épisode, Olivier Babeau se penche sur la dégradation de la signature française sur les marchés financiers. Alors que la France affiche un déficit budgétaire persistant, malgré les promesses d'assainissement, la confiance des investisseurs s'effrite.

    Le spread de taux entre la France et l'Allemagne s'est creusé ces derniers temps, plaçant même la France derrière l'Espagne et le Portugal en termes de notation. Cette situation inquiétante illustre la détérioration de la qualité de la signature française, pourtant longtemps mieux notée que ses voisins.

    Que signifie cette baisse de la confiance dans la signature française ? Quelles en sont les causes ? Quelles réformes sont attendues pour redresser la barre et regagner la confiance des marchés ? Notre expert économique passe en revue les enjeux et les défis auxquels la France est confrontée dans un contexte budgétaire tendu.

    Il souligne l'urgence pour le pays de s'attaquer aux réformes structurelles et de tenir ses engagements de réduction du déficit, sous peine de voir sa crédibilité définitivement entachée aux yeux des investisseurs internationaux. Un épisode incontournable pour comprendre les enjeux économiques qui pèsent sur la France aujourd'hui.

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  • Podcast du vendredi 27 septembre 2024 : Qui veut la peau de la bagnole française ? :

    Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce vendredi, il s'intéresse aux conséquences du Green Deal de la Commission européenne sur l'industrie automobile française.

  • Podcast du jeudi 26 septembre 2024 : Hausses d'impôts pour les entreprises : les patrons doivent exiger des contreparties :

    Dans cet épisode de "L'Édito Éco", Agnès Verdier-Molinié examine la situation économique délicate dans laquelle se trouve la France. Alors que le déficit budgétaire est estimé à 6% pour cette année, le gouvernement envisage d'augmenter les impôts des entreprises afin de combler les déficits.

    Cependant, le MEDEF, qui représente les entreprises, semble cette fois-ci peu enclin à accepter ces hausses d'impôts sans contrepartie. Ils exigent en effet de connaître précisément les économies qui seront réalisées par l'État, la Sécurité sociale et les collectivités locales avant de donner leur accord.

    Agnès Verdier-Molinié s'interroge sur la capacité du gouvernement à imposer ces hausses d'impôts aux entreprises. Ils soulignent que lors du précédent quinquennat, sous la présidence de François Hollande, les entreprises avaient spontanément gelé leurs embauches et leurs investissements face à la hausse de la pression fiscale.

    Aujourd'hui, les experts économiques appellent à une forme de "grève patronale", où les entreprises refuseraient tout engagement économique tant que les économies promises par l'État ne seront pas chiffrées et détaillées. Un bras de fer s'annonce entre le gouvernement et le monde de l'entreprise sur ce sujet sensible.

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  • Podcast du mercredi 25 septembre 2024 : Service public : ce ne sont pas les moyens qui manquent :

    Malgré un budget important et des prélèvements obligatoires proches des sommets historiques, la qualité des services publics semble se dégrader. Olivier Babeau explore ce paradoxe français.

    Pourquoi a-t-on l'impression que les services publics se délitent alors que les chiffres du budget de l'État ne montrent pas d'abandon ? Olivier Babeau analyse cette contradiction apparente et met en lumière les problèmes d'allocation des ressources de l'État.

    Au-delà du simple manque de moyens, c'est la façon dont ils sont utilisés qui pose problème. L'État serait trop présent dans certains domaines peu essentiels, au détriment de ses missions régaliennes comme la justice et la sécurité. De plus, les réformes administratives successives ont parfois engendré des coûts importants sans générer les économies espérées.

    Ce n'est donc pas une question de budget, mais plutôt de courage politique pour s'attaquer à ces gaspillages. Olivier Babeau nous invite à regarder en face ces dysfonctionnements afin de redonner toute leur efficacité aux services publics.

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  • Podcast du mardi 24 septembre 2024 : Augmentation de l’impôt : qui va trinquer ? :

    Alors que le gouvernement envisage de geler les tranches de l'impôt sur le revenu pour faire face à l'inflation, Agnès Verdier-Molinié, experte économique, décrypte les enjeux et les conséquences potentielles de cette mesure.

    Quelles seraient les tranches de revenus concernées par ce gel ? Combien cela rapporterait-il à l'État ? Serait-ce vraiment une solution pour résorber le déficit public ? Autant de questions abordées dans cet épisode.

    Agnès Verdier-Molinié analyse finement les différents scénarios envisagés par Bercy, du gel uniquement pour les plus hauts revenus à un gel à partir de la tranche à 30%. Elle évalue les montants potentiellement récoltés et met en garde contre les risques d'inconstitutionnalité d'une telle mesure.

    Au-delà des chiffres, elle interroge l'équité d'un gel sélectif du barème fiscal qui toucherait en réalité une part importante de la population, au-delà des hauts revenus. Un éclairage essentiel pour comprendre les enjeux économiques et politiques de cette piste de réforme.

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  • Podcast du lundi 23 septembre 2024 : Les impôts, c’est l’inverse de l’amour :

    Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse à l'hypothèse d'une hausse des impôts qui semble se dessiner. 

  • Podcast du jeudi 19 septembre 2024 : Déficit, économie : qui a des idées ? :

    Agnès Verdier-Molinié aborde un sujet brûlant d'actualité : la capacité de la France à réaliser des économies budgétaires.

    Malgré les appels répétés à la maîtrise des dépenses publiques, la France semble rencontrer des difficultés à s'engager dans une véritable démarche d'optimisation de ses coûts. Agnès Verdier-Molinié examine les raisons de cette incapacité apparente, remettant en question les idées reçues sur le sujet.

    Elle analyse des exemples de pays européens qui ont réussi à mettre en place des politiques d'austérité budgétaire, tout en mettant en lumière les pistes concrètes d'économies identifiées pour la France. Salaires, retraites, aides sociales... Les leviers existent, mais le manque de volonté politique semble être le principal obstacle.

    Au-delà des chiffres, ce débat soulève des questions fondamentales sur la capacité de réforme de notre modèle économique et social. Agnès Verdier-Molinié nous guide avec précision à travers ces enjeux cruciaux pour l'avenir de notre pays.

    La France est-elle condamnée à toujours dépenser plus ? Ou peut-elle enfin emprunter la voie des économies ?

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  • Podcast du mercredi 18 septembre 2024 : Hausse des impôts et âge de la retraite à 70 ans : le ballon d'essai de Michel Barnier :

    Alors que de nombreux pays européens comme le Portugal, le Royaume-Uni ou l'Allemagne ont déjà relevé ou prévoient de relever l'âge légal de départ à la retraite jusqu'à 67 ans, voire au-delà, la France semble toujours réticente à emprunter cette voie. Pourtant, les enjeux démographiques et financiers du système des retraites sont bien réels et appellent des décisions courageuses.

    Olivier Babeau, économiste et coanimateur de l'Édito Éco, revient sur les défis auxquels sont confrontés les systèmes de retraite en Europe. Il explique pourquoi un relèvement de l'âge légal de départ, jusqu'à atteindre les 70 ans dans certains pays, devient inévitable pour assurer la pérennité des régimes de retraite.

    Cependant, cette évolution ne doit pas se faire sans accompagnement : Olivier Babeau souligne la nécessité d'investir massivement dans la formation continue, la reconversion professionnelle et l'inclusion des seniors sur le marché du travail. Seule une approche globale et équilibrée permettra de relever ce défi majeur du vieillissement de la population tout en préservant le niveau de vie des futurs retraités.

    Au fil de cet épisode, les auditeurs pourront mieux comprendre les enjeux à long terme du financement des retraites en Europe 🇪🇺 et les pistes de réforme envisagées pour y faire face.

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  • Podcast du mardi 17 septembre 2024 : Ne touchez pas à la Flat Tax ! :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Agnès Verdier-Molinié se penche sur un sujet brûlant d'actualité : la flat tax sur les revenus du capital. Alors que certains évoquent l'idée d'augmenter ce prélèvement forfaitaire, notre experte économique analyse les impacts d'une telle mesure.

    Agnès Verdier-Molinié revient d'abord sur l'historique de cette flat tax, mise en place en 2018 pour remplacer l'ancien régime de taxation des revenus du capital. Loin d'avoir fait baisser les recettes fiscales, la flat tax s'est au contraire révélée être un succès, avec une augmentation significative des rentrées d'argent pour l'État.

    Agnès Verdier-Molinié explique ensuite que la France se distingue déjà par une taxation particulièrement élevée des revenus du capital, bien au-dessus de la moyenne de la zone euro. Dès lors, faut-il vraiment envisager d'accentuer cette pression fiscale ?

    Cet épisode de l'Édito Éco vous permettra de mieux comprendre les enjeux liés à la taxation des revenus du capital, un sujet au cœur des débats économiques actuels.

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  • Podcast du lundi 16 septembre 2024 : Départ de Bruno Le Maire : Bercy patron ! :

    Après 7 ans passés à la tête du ministère de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire a tiré sa révérence. Cette transition marque la fin d'une ère à Bercy, ponctuée de succès et d'échecs.

    Dans cet épisode, nous analysons en détail le bilan de Bruno Le Maire, un ministre aux multiples facettes. D'un côté, il a su redresser l'économie française et améliorer la compétitivité du pays. Mais de l'autre, il a également contribué à creuser la dette publique, atteignant des sommets historiques.

    Nous interrogeons également les ambitions futures de l'ancien locataire de Bercy, qui s'apprête à se lancer dans l'enseignement. Sera-t-il un pédagogue aussi influent qu'il a pu l'être dans ses fonctions gouvernementales ?

    Rejoignez-nous pour une rétrospective captivante sur ce personnage clé de la politique économique française des dernières années. Vous y découvrirez les coulisses d'un mandat riche en rebondissements.

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  • Podcast du jeudi 12 septembre 2024 : Classement des Français les plus riches : arrêtons de dire n’importe quoi ! :

    Dans cet épisode, nous examinons de près la question des inégalités de richesse en France. Alors qu'Éric Coquerel, président de la Commission des finances à l'Assemblée nationale, a souligné que le patrimoine des 500 plus grandes fortunes françaises représentait 42% du PIB du pays, Agnès Verdier-Molinié, notre experte économique, déconstruit cette comparaison abusive.

    En effet, la fortune des riches n'est pas comparable à la richesse nationale, qui est une production annuelle. De plus, une large part de l'activité des grandes entreprises françaises se fait à l'étranger. Ainsi, le patrimoine total des ménages français s'élève à plus de 14 000 milliards d'euros, soit bien plus que les 1 200 milliards détenus par les 500 plus grandes fortunes.

    Agnès Verdier-Molinié met également en garde contre une approche populiste qui consisterait à vouloir taxer massivement les milliardaires pour combler les déficits publics. Une telle politique risquerait en réalité de faire fuir les entrepreneurs hors de France, aggravant ainsi les problèmes économiques du pays.

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  • Podcast du mercredi 11 septembre 2024 : Europe, le grand décrochage :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, nous nous penchons sur les conclusions alarmantes du rapport commandé par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, à l'ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi.

    Ce rapport pointe du doigt un décrochage préoccupant de l'Europe par rapport aux États-Unis et à la Chine, notamment sur le plan du revenu disponible réel par habitant. Olivier Babeau, notre expert économique, nous éclaire sur les causes de cette tendance inquiétante : le vieillissement démographique, l'incapacité à faire émerger des entreprises européennes de taille mondiale, ainsi qu'une réglementation trop rigide qui entrave l'innovation.

    Mario Draghi n'y va pas par quatre chemins dans ses recommandations : il appelle l'Europe à revoir en profondeur ses politiques pour regagner en compétitivité et ne pas sombrer dans une « lente agonie ». Faut-il assouplir la réglementation, miser davantage sur l'entrepreneuriat et l'innovation ? Quelles sont les pistes à explorer pour relever ce défi existentiel ? Plongez dans cet épisode pour découvrir les clés de compréhension de cette problématique essentielle pour l'avenir économique du continent européen. 🇪🇺

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  • Podcast du mardi 10 septembre 2024 : Ne touchez pas aux aides aux entreprises ! :

    Agnès Verdier-Molinié se penche sur un sujet souvent débattu : les subventions accordées aux entreprises. Alors que le discours public met régulièrement en avant le soutien financier apporté au monde de l'entreprise, notre experte économique démonte ce mythe et révèle une tout autre réalité.

    Elle commence par chiffrer les différentes mesures d'allégement fiscal et de baisse de cotisations sociales dont bénéficient les entreprises. Bien que ces montants soient conséquents, Agnès Verdier-Molinié souligne que la France reste l'un des pays les plus taxés au monde pour les entreprises.

    Elle analyse ensuite un récent rapport de l'Inspection Générale des Finances sur les aides versées aux entreprises. Surprise : seule une petite partie de ces "aides" correspond à des subventions directes. La majorité est en fait constituée de baisses d'impôts ou de subventions de l'État à lui-même, notamment dans le secteur agricole.

    Ce constat amène à dénoncer un certain "tour de passe-passe" sémantique. Parler de "dépenses" publiques pour évoquer des allégements fiscaux, c'est selon Agnès Verdier-Molinié une manière détournée d'augmenter la pression fiscale, sans l'afficher clairement.

    Au-delà des chiffres, cet épisode offre un éclairage passionnant sur la réalité des aides publiques aux entreprises, loin des idées reçues. Une analyse économique fine et nuancée à ne pas manquer !

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  • Podcast du lundi 09 septembre 2024 : Impôts : des hausses impossibles mais indispensables :

    Olivier Babeau nous plonge au cœur du débat sur la hausse d'impôts en France. Alors que le besoin de nouvelles recettes fiscales est criant, il souligne les défis auxquels le gouvernement est confronté pour y répondre.

    Ensemble, nous explorons les principales sources de revenus de l'État - la TVA, l'impôt sur le revenu et l'impôt sur les sociétés - et constatons qu'il n'y a guère de marge de manœuvre, ces impôts étant déjà parmi les plus élevés d'Europe. Même les pistes alternatives comme la taxation du capital ou des successions se révèlent peu prometteuses.

    Olivier Barbeau met ainsi en lumière le dilemme auquel est confronté le pouvoir politique : comment dégager les 110 milliards d'euros nécessaires en 7 ans sans alourdir davantage la charge fiscale des Français ? Il souligne également que le véritable tabou réside dans la réduction des dépenses publiques, un sujet tout aussi sensible.

    Cet épisode offre un éclairage sans concession sur les enjeux économiques et budgétaires auxquels la France est confrontée. Une analyse fine et pragmatique qui vous permettra de mieux comprendre les défis auxquels sont confrontés les décideurs politiques. 🤔

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  • Podcast du jeudi 05 septembre 2024 : Alerte sur les finances publiques ! :

    Agnès Verdier-Molinié se penche sur la situation préoccupante des finances publiques en France. Alors que le gouvernement aurait dissimulé des informations aux parlementaires concernant une dégradation du déficit budgétaire, les experts s'interrogent sur les moyens de prévenir une potentielle crise de la dette publique.

    Il y'a urgence d'agir pour réaliser les 30 milliards d'euros d'économies nécessaires d'ici 2025 et éviter que la France ne passe par la case du Fonds monétaire international, comme ce fut le cas pour la Grèce. Cela impliquerait alors des mesures douloureuses telles que des baisses de salaires et de pensions dans la fonction publique.

    Agnès Verdier-Molinié examine également les enjeux liés à l'absence de vote du budget 2024, qui pourrait paradoxalement permettre de geler certaines dépenses, à condition que tous les acteurs publics, de l'État aux collectivités locales, jouent le jeu. Un défi de taille dans un contexte économique tendu.

    Cet épisode offre un éclairage essentiel sur les défis budgétaires auxquels la France est confrontée et les choix difficiles qui s'annoncent pour assainir les finances publiques et éviter une crise majeure. Ne manquez pas cette analyse économique décisive pour comprendre les enjeux de l'heure.

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  • Podcast du mercredi 04 septembre 2024 : Matignon : on se se trompe de job :

    Dans cet épisode de l'Édito Éco, Olivier Babeau souligne que la France a davantage besoin d'un gestionnaire de crise que d'un médiateur familial à la tête du gouvernement. Alors que la nomination d'un nouveau Premier ministre est attendue, l'analyste économique estime qu'il faut plutôt nommer quelqu'un capable de prendre des décisions courageuses pour redresser la situation économique et budgétaire du pays.

    En effet, les derniers chiffres du déficit public prévu pour 2024 sont alarmants, avec un risque d'atteindre 6,2% du PIB. Cette dérive budgétaire s'explique notamment par des recettes fiscales moindres que prévu et par la hausse des dépenses des collectivités locales, elle-même liée à l'inflation et à la revalorisation du point d'indice des fonctionnaires.

    Au-delà du déficit, le système dans son ensemble montre des signes de fragilité, avec des déficits sociaux importants qui nécessiteraient également une attention particulière. Plutôt que de se focaliser sur la nomination d'un rassembleur, Nicolas Bouzou estime que la priorité doit être de nommer un véritable gestionnaire de crise capable de prendre les décisions difficiles pour redresser la situation économique et financière du pays.

    Cet épisode offre donc un éclairage pertinent sur les enjeux économiques et budgétaires auxquels la France est confrontée, invitant à une réflexion approfondie sur le profil du prochain Premier ministre. 🤔

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  • Podcast du mardi 03 septembre 2024 : Taxe foncière : une hausse record des taux à Paris :

    Ce mardi 3 septembre 2024 sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à la hausse record des taxes foncières à Paris.

  • Podcast du lundi 02 septembre 2024 : Le grand moment de politique Shadok de Lucie Castets :

    Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse à Lucie Castets, candidate à Matignon pour le Nouveau Front populaire. 

  • Podcast du jeudi 29 ao?t 2024 : Agnès Verdier-Molinié a fait un rêve : un gouvernement d’entrepreneurs :

    Ce jeudi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à l'intérêt de former un gouvernement d’entrepreneurs. 

  • Podcast du mercredi 28 ao?t 2024 : Déficits : La France au pied du mur :

    Ce mercredi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse au déficit de la France. Selon lui, le pays est au pied du mur. 

  • Podcast du mardi 27 ao?t 2024 : Hausses d’impôts souhaitées par la gauche : «impossible, ça ne se fera jamais !» :

    Ce mardi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse aux hausses d'impôts souhaitées par la gauche. Selon elle, c'est impossible que ça se fasse.

  • Podcast du lundi 26 ao?t 2024 : La France paradoxale qui encense les athlètes mais nie le mérite dans la société :

    Ce lundi, sur Europe 1, Olivier Babeau s'intéresse au mérite qui n'est pas reconnu dans la société française.

  • Podcast du jeudi 11 juillet 2024 : Bilan de santé de l'économie française : le pouvoir d'achat remonte ! :

    Ce jeudi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à la nouvelle note de conjoncture de l'INSEE.

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