Nova Hors-Série

À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Marion Rampal se prête au jeu et vous dévoile le livre qui lui donne envie de parcourir le monde.

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger.

Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr ! 

  À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Marion Rampal se prête au jeu et vous dévoile le livre qui la prend aux tripes. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger.

Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Delphine Jugman se prête au jeu et vous dévoile le livre qui lui donne envie de parcourir le monde. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Chloé Cruchaudet se prête au jeu et vous dévoile le livre qui la prend aux tripes. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Chloé Cruchaudet se prête au jeu et vous dévoile le livre qui lui donne envie de parcourir le monde.

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, David Wahl se prête au jeu et vous dévoile le livre qui la prend aux tripes. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, David Wahl se prête au jeu et vous dévoile le livre qui lui donne envie de parcourir le monde.

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr !

À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Lisette Lombé se prête au jeu et vous dévoile le livre qui la prend aux tripes. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr ! 

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps.

Dans cet épisode, Lisette Lombé se prête au jeu et vous dévoile le livre qui lui donne envie de parcourir le monde.

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr ! 

 À l’occasion des Nuits de la lecture qui se déroulent du 18 au 21 janvier 2024, Radio Nova et le Centre national du livre invitent des artistes de choix à dévoiler des lectures qui les touchent en plein corps. 

Dans cet épisode, Delphine Jungman se prête au jeu et vous dévoile le livre qui la prend aux tripes. 

Au programme des Nuits de la lecture 2024 : bibliothèques, librairies, écoles, universités, théâtres et musées… proposent près de 8 000 évènements en France et à l’étranger. Le programme complet à retrouver sur nuitsdelalecture.fr ! 

Vous écoutiez peut-être Radio Nova le 31 ? À partir de 23h, c'était le MYD NIGHT MIX de Myd... On a fait le compte à rebours pour entrer dans cette année comme il se doit. Pour celles et ceux qui ont loupé ça, ou qui voudraient faire une partie 2, ne vous inquiétez plus. Le voici, le voilà. Il est toujours aussi efficace en 2024.

Que se passe-t-il dans les couloirs du deuxième étage du service de psychiatrie de l’IMM ?

Dans ce cinquième épisode, les patients de l’Institut Mutualiste Montsouris nous racontent leur quotidien, nous partagent leur sélection musicale et nous offrent une pause poétique. Au programme également : un reportage sur l'île d’Oléron et une rencontre avec Barbara, art-thérapeute.

Une émission coordonnée par Sylvie Arditi, Sophie Marchand et réalisée par Malo Williams.

Dans cette deuxième partie d'émission, Tatiana Peyroux recevait à son micro Yousra et Brice, membres fondateurs du groupe Bab L'Bluz, juste avant leur concert majestueux et enivrant. Ce groupe franco-marocain a enchanté le public du Théâtre de la Croix Rousse avec leur rock, blues psychédélique porté par la transe du guembri, cet instrument traditionnel gnawa.

Toujours dans le Super Nova, en direct du TXR, le mouvement HF, porteur d'action pour l'égalité femmes-hommes dans les arts et la cultures, était le grand invité et partenaire du Festiv·iel pour la troisième année consécutive. On a pu discuter avec eux des diverses tables-rondes et conférences qui ont pris place pendant toute cette semaine de festival.

Le metteur en scène Etienne Gaudillère était également à l'antenne pour nous parler d'un des plus gros succès de cette semaine, la pièce "Faut-il séparer l'homme de l'artiste" avec Giulia Foïs, il nous partageait ses recherches, le processus de création d'une pièce importante.

Une soirée toujours musicale, impertinente et libre à l'image de Radio Nova.

Vendredi 10 novembre, l'équipe de Nova Lyon était en direct du Théâtre de la Croix Rousse à l'occasion de la clôture du festival Festiv·iel.

Festival dédié au féminisme inter-sectionnel mais aussi aux questions de genre et de sexualité, Radio Nova s'est immiscée dans la programmation pour une soirée Carte Blanche festive et engagée, portée par le concert de Bab L'Bluz et l'after DJ sets riche d'énergies de DJ Alé et Mimi Géniale.

Le Super Nova s'était donc installé dans le hall du théâtre pour animer cet événement unique. Dans cette première partie d'émission, retrouvez les interviews de Courtney Geraghty, directrice du TXR qui nous a parlé de la programmation du festival et des enjeux du théâtre contemporain. Mais aussi Thomas Pons qui n'a pas manqué le rendez-vous pour nous rappeler qu'il y a parfois des coïncidences heureuses et aussi des coïncidences malheureuses.

L'occasion de vivre ou revivre ce moment avec nous, dans l'ambiance et l'effervescence.

Depuis 67 ans, le salon d’art contemporain de Montrouge s’est donné pour objectif de mettre en lumière, d’encourager et d’accompagner la jeune scène artistique à travers une exposition commune, des partenariats, des accompagnements professionnels et cette année encore, l’exposition témoigne d’une scène émergente artistique qui déborde d’idées, de formes, de couleurs, de volumes, d’horizons possibles, d’engagements à la vie à la mort, de visions paranormales, de réalité augmentée d’une touche de sacré, d’inspirations, de dénonciations, de partis pris… Qui déborde des cadres aussi, pour colorier jusqu’à plus soif nos réalités, et nous envoyer, comme autant de pièces d’un même puzzle, une image de nous-mêmes et de notre monde. 

Il y a des grands et des petits formats, des couleurs et du noir et blanc, des disciplines et des œuvres qui se croisent et se répondent, il y a pléthore de propos et de propositions présentés dans une scénographie ouverte, aérée, épurée, ou les œuvres ne sont regroupées ni par auteur ni par thème, mais par affinités, pour la façon dont elles correspondent entre elles et avec nous, une petite révolution scénographie parmi tant d’autres initiées par le commissariat de Work Method. 

Durant deux heures, faisons un tour radiophonique de cette jeune garde artistique, que le Salon a choisi de mettre en lumière cette année, en partant à la rencontre de la commissaire d’exposition Coline Davenne, de quelques-uns des artistes exposés parmi lesquels Amine Habki, Clara Cimelli, Joris Valenzuela, Mounir Gouri ou encore Laure Togola & Ines Geoffroy du Collectif 93, mais aussi du Maire de Montrouge, Etienne Lengereau, qui nous éclairera sur la relation toute particulière que la ville entretient avec l’art contemporain.

Amateurs ET néophytes, le 67ᵉ salon d’art contemporain vous attend depuis le 4 et jusqu’au 29 octobre, pour prendre le pouls d’une génération, d’une époque, la nôtre !

L’entrée est libre tous les jours de midi à 19h. Le programme propose des nocturnes, des visites guidées, des ateliers… et c’est par ici

Comment la culture ou l’art peuvent-ils agir sur le militantisme ou la société ? L’art a toujours eu un lien avec la politique mais… en 2023, qu’apporte-t-il ? Et comment le faire ? Quel sens a la Fête de l’Humanité aujourd’hui dans un pays qui s’étiole, dans une gauche disparate, “critiquable”, diront certains ?

Nous sommes ravis d’aborder avec vous ces questions passionnantes durant deux heures sur Nova avec de nombreux invité.e.s : l’historienne Mathilde Larrère, historienne, la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet, mais aussi des artistes : Jeanne Added, Medine, Acid Arab ou les Vulves Assassines. Avec Thibaut Weiss, aussi, directeur de cette grande Fête qu’on a vécu intensément durant trois jours.

Une épopée musicale de deux heures dans l’univers de l’ex-kamikaze de Taxi Girl. Les Inrocks Radio vous a compilé 120 minutes de fulgurances "dark" éparpillées en bande ou en solitaire, dans la lumière ou la marge, par cet archéologue du désespoir urbain qui aura toujours montré plus d’attirance pour les ruines que pour les carrières.

Une mixtape imaginée et réalisée par Nicolas Pradeau, programmateur à Radio Nova Bordeaux et Les Inrocks Radio.

Crédits photo : Daniel Darc © JEFF PACHOUD / AFP

Un voyage musical de quatre heures dans l’univers du parrain de la pop française — celui dont Lou Reed disait qu’il avait « une voix de coucher de soleil et de champagne » — à travers des tubes incontournables, des duos mémorables, des morceaux oubliés, des reprises, des raretés et des extraits d’interviews d'Étienne Daho. 

Une mixtape imaginée et réalisée par Nicolas Pradeau, programmateur à Radio Nova Bordeaux et Les Inrocks Radio.

Crédits photo : © PIERRE ANGE CARLOTTI

Le génial paysan stakhanoviste de la chanson française Jean-Louis Murat, nous a quittés le 25 mai dernier à l'âge de 71 ans. Il avait sorti une vingtaine d'albums depuis son premier 45 tours en 1981. Les Inrocks Radio vous embarque dans un vaisseau spatial pour un voyage musical de trois heures dans le répertoire de l'artiste. 180 minutes de ballades intemporelles, de duos parfois inattendus, d'inédits rares, des reprises inspirées... 180 minutes ou le temps de vous proposer une belle parenthèse réflexive.

Une mixtape imaginée et réalisée par Nicolas Pradeau, programmateur à Radio Nova Bordeaux et Les Inrocks Radio.

Crédits photo : Jean-Louis Murat © JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / AFP

Que se passe-t-il dans les couloirs du deuxième étage du service de psychiatrie de l’Institut Mutualiste Montsouris ? 

Dans ce quatrième épisode, les patients de l'I.M.M nous racontent leur quotidien, nous présentent leurs soignants, leurs jeux phares et ... "le petit lait". Au programme également : un concert surprise de Pomme et une sortie dans le Morvan. 

Une émission coordonnée par Sylvie Arditi, Sophie Marchand et réalisée par Malo Williams.

Alors que les trois premiers épisodes de cette série de reportages (ici, ici et ici) s’attachaient à présenter la Kibbutz Dance Company, notre journaliste Isadora Dartial nous embarque une dernière fois dans ses valises pour nous inviter à découvrir de nouvelles compagnies de danse. 

À Jérusalem, la Compagnie Catamon investit différents lieux de la ville, notamment le grand marché de Mahane Yehuda qui fêtait récemment ses 100 ans. Mais, dans la Ville Sainte, se trouve également les bureaux d’une autre compagnie historique : la Vertigo Dance Compagny. Tout comme la Kibbutz Contemporary Dance Compagny, les danseurs et chorégraphes vivent en communauté dans un kibboutz devenu village artistique et écologique.  Noa Wertheim, chorégraphe et directrice artistique de la compagnie, était au micro d’Isadora Dartial pour nous la présenter plus en détails. Cela fait 16 ans que le village artistique et écologique de la Vertigo Company a été créé par la chorégraphe, ses quatre sœurs et son mari. 

“Ma philosophie en ce qui concerne l’art et qui m’a porté à créer ce lieu, c'est l’idée de séparation et d’unité. Comment nous pouvons nous sentir uni alors que nous nous sentons de plus en plus séparés et différents ? Et, qu'en plus, tout pousse à avoir une peur immense de l’autre” 

Artiste engagée, Noa Wertheim pousse à la réflexion, et interroge sur ce besoin que nous avons, nous humains, d’être défini par la religion. Elle l’explique alors : “Même si je suis super juive, je crois profondément qu’il faut casser tous ces mécanismes”. 

La Vertigo Dance Company, un souffle créatif salutaire pour briser les barrières identitaires par le geste, la danse et le mouvement.

Après avoir suivi les pas de l’une des danseuses de la Kibbutz Contemporary Dance Company (KCDC) Léa Bessoudou (qui nous faisait visiter le kibboutz de Ga'aton), et après avoir découvert le spectacle Asylum (qui se produira 12 au 15 juillet prochain au lycée Jacques Decour dans le cadre du Festival Paris l’été) à travers les mots de son directeur artistique Rami Be'er, Isadora Dartial nous embarque cette fois-ci découvrir l’aspect sonore de la compagnie israélienne.

Si les créations de la KCDC bénéficient d’un travail de lumière notable, leur traitement du son est tout autant exceptionnel. Eyal Dadon, sound designer, mais aussi danseur et chorégraphe, nous raconte la signature sonore de la compagnie, de la collecte de sample au travail conduisant à la création d’un monde sonore. C’est aussi sur le kibboutz de Gaa'ton qu'Eyal Dadon s'est confié, un lieu unique où règne une atmosphère de liberté et qui fait toute la singularité de la compagnie de danse.

Isadora Dartial continue de r-nous faire découvrir la compagnie de danse historique d’Israël, la Kibbutz Dance Company. Car si la Bastheva est déjà réputée en France avec son actuel directeur Ohan Naharin qui a créé la gaga dance (ce style basé sur le mouvement permanent), on connait moins cette compagnie historique créée au début des années 70. 

Le premier épisode de cette série suivait les pas de l’une des danseuses de la compagnie, Léa Bessoudou, qui nous faisait visiter le kibboutz de Ga'aton. Ce second épisode nous fait partir à la rencontre de l’actuel directeur artistique de la Kibbutz Contemporary Dance Company, le chorégraphe Rami Be’er. 

On a discuté de son parcours, de création, et plus spécifiquement de la symbolique et du message que tant à transmettre son spectacle “Asylum” qui se produira 12 au 15 juillet prochain au lycée Jacques Decour dans le cadre du Festival Paris l’été. 

"Pour moi, la danse, le mouvement, la musique et sa représentation sont des moyens de créer de la communication, un dialogue sans trop de mots entre des personnes aux origines, aux cultures et aux religions différentes"

Rami Be’er, directeur artistique et chorégraphe de la Kibbutz Contemporary Dance Company

Dans “Asylum”, il est question d’identité, d’appartenance, d’étrangeté, de discrimination et d’oppression. Il l’explique, “On parle de réfugié, mais aussi de liberté, de patrie et d’appartenance à un endroit que l’on peut appeler chez soi. C’est un message contre le racisme, c’est un appel à l’harmonie”. Avec la Kibbutz Contemporary Dance Company, la danse et le geste deviennent des porteurs de voix israéliennes. Des voix en provenance de cette région du monde qui diffèrent de celles que l’on a l’habitude d’entendre ici en France.

Cette semaine, Isadora Dartial suit les pas de compagnies de danse israéliennes à l’occasion de la représentation de la Kibbutz Contemporary Dance Company au Festival Paris L’été. L’opportunité de mettre en lumière les talents du pays et d’en savoir un peu plus sur l’organisation de cette compagnie de danse.

La Kibbutz Contemporary Dance Company a été fondée en 1971 dans le kibboutz de Gaa’ton dans le nord du pays, à la frontière du Liban. Isadora Dartial y était pour découvrir en avant-première “Asylum”, la création présentée du 12 au 15 juillet prochain au lycée Jacques Decour à Paris. Dans ce premier épisode, Lea Bessoudo, danseuse et chorégraphe de la compagnie, nous offre une déambulation dans ce lieu unique.

Elle nous présentait le kibboutz de Gaa’ton, « un village de danse qui accueille toujours beaucoup de danseurs de l’étranger et qui forme une grande communauté de danse ». Selon elle toujours, la compagnie, c’est « une force de groupe qui laisse la place à chacun de s’exprimer ».

Pour en savoir plus, écoutez donc ce Nova Hors-Série qui n’attend que vos belles esgourdes.

La Kibbutz Contemporary Dance Company produira son spectacle “Asylum” du 12 au 15 juillet prochain au lycée Jacques Decour dans le cadre du Festival Paris L’été.

Une émission lors de laquelle on a pu discuter avec Eloi, Theodora, Le rat Luciano, UNIIQU3, ascendant vierge, Meryl, Lazuli, Romane Santarelli… Mais aussi la maîtresse de cérémonie, Béatrice Desgranges, directrice de Marsatac depuis ses débuts. 

Cette édition marquait aussi le retour du rat Luciano, qui vient de sortir un single, et qui s’est produit pour la toute première fois en solo sur la scène du château. Historique. 

Mais on pouvait aussi y entendre Hamza, Gazo, Aya Nakamura, ou encore Ascendant Vierge…. Une 25ème édition qui a comblé toutes nos attentes. À l’année prochaine, on a déjà hâte. 

L’aventure se clôture pour Marie Joseph-Rose. Entre les quelques interviews qu’elle a pu mener, c’est avec David Fontaine, adjoint de direction et programmateur, que se termine son périple. Entre les groupes de musique et les salles souvent remplies du Transbordeur, se cache une programmation pointue et une organisation travaillée des mois à l’avance. 

L’aventure se poursuit ! La journaliste, Marie Joseph-Rose, a pu rencontrer de nouveaux artistes, et ainsi continuer son immersion au Transbordeur. Quelques minutes avant leur concert, et juste après avoir fini leur balances, les membres du groupe Argentique se sont livrés. Ce trio lyonnais de chanson électro-pop aux influences multiples, laisse place à une énergie débordante sur scène. Derrière les murs et les salles encore éteintes du Transbordeur, découvrez avant tout un groupe d’amis, qui ont décidé de se lancer dans une aventure musicale inattendue. 

Parmi les vieux arbres, les pâquerettes et les 2500 oeuvres de ce musée de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), Jeanne Lacaille et Reza Pounewatchy ont installé leur plateau radio pour des interviews entre les concerts, avec les talentueux artistes invités à jouer à l'occasion de cette soirée spéciale. 

Après une présentation des collections du musée par Joana Idieder, la responsable de la communication du lieu, c’est Sheldon qui a ouvert le bal sur la scène de l’open air Nova au MAC VAL. Co-fondateur et rappeur emblématique de la 75e session, Sheldon a présenté son nouvel EP « Îlot » sorti en avril devant un public transi, qui comme de vrais fans qui se respectent, connaissaient déjà tous les morceaux par coeur.

Le duo explosif Uzi Freyja lui a emboité le pas. Composé de Stuntman5 aux productions et Kelly Rose au micro, qui crache un flow venimeux, revendicatif et galvanisant, cette créature rap-hardcore-punk-féministe a transformé tout le monde en « bad bitches ». 

Miel de Montagne (alias du talentueux Milan Kanche), sa robe à fleur et sa pop fraîche, colorée et groovy ont clôturé avec douceur cette belle soirée. Entendu pendant longtemps sur Nova avec son morceau "Trop Vite" et vu il y a un an dans la Chambre Noire, le musicien a prouvé que lorsque l'ordi fait des siennes en plein concert, rien de mieux qu'une bonne jam session pour mettre tout le monde d'accord !

À l’échelle mondiale, la faim et la sous-nutrition n’ont cessé d’augmenter depuis 2015 : elles touchent désormais plus de 250 millions de personnes. L’objectif d’éliminer la faim d'ici à 2030 n’est pas en bonne voie.

Action contre la faim a publié hier un nouveau rapport qui documente comment les conflits ont un impact sur la sécurité alimentaire. Dans son rapport, ACF rappelle qu’en vertu du Droit Humanitaire International, les parties à tout conflit armé doivent activement éviter de cibler des civils et des biens de caractère civil indispensables à la survie des populations (tels que les denrées alimentaires, les récoltes ou encore les infrastructures d’eau).

Au cours des cinq dernières années, le nombre de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire n’a cessé d’augmenter : aujourd’hui c’est une personne sur 23 dans le monde.

Le rapport Peu Importe Qui se Bat, la Faim gagne toujours est à lire en ligne sur le site d’Action contre la Faim.

À l’occasion d’une carte blanche que nous lui accordions, le collectif qui se cache derrière le podcast Cherchez la femme, mené par Flore Benguigui (du groupe L’Impératrice, entre autres), a concocté une émission spéciale, avec un casting 100% féminin composé d’artistes, d’activistes, de journalistes et surtout de féministes (!) : Clair, Lisa de Ibeyi, Teri Moïse, Julie London, Julia Jean-Baptiste, Aldous Harding, Lalla Rami, Mélissa Laveaux, Rose Lamy, Lili’uokalani, Mel Bonis, Saya Gray, Yasmine Baïou, Mélissende, Aliette de Laleu, Kanis and Lou, Sabrina Erin Gin et Mathilde Guillemain ou encore Kharboucha pour n’en citer qu’une partie. 

Au programme : des blinds tests, des femmages (oui, c'est comme ça qu’on dit), des quizz, des chroniques, des lives et plein d’autres folies !

Pour en apprendre plus sur l’histoire de la musique et comment elle se conjugue au féminin, pour découvrir des artistes femmes trop peu connues, inconnues, ou connaître des choses inconnues sur des femmes connues, c’est par ici.

La 18ème édition du festival du Reperkusound s’achève. A cette occasion, notre journaliste Marie Joseph-Rose a eu la chance d’interviewer le leader du groupe Hilight Tribe, Ludo, grand habitué du fameux festival. Une discussion aux allures spirituelle, imprégnée de ses nombreux voyages, pour finalement aborder la question du développement durable que le groupe aborde beaucoup dans ses morceaux.

Pop, techno, soul, world music, classique... Difficile de résumer la carrière de Ryūichi Sakamoto tant elle a été longue et fructueuse. Entre ses compositions au sein du groupe synthpop Yellow Magic Orchestra fondé en 1978 aux côtés Haruomi Hosono et Yukihiro Takahashi, et sa longue carrière solo, rares sont les genres musicaux avec lesquels Sakamoto n’a pas expérimenté. 

À l’occasion de la sortie de son album 1996, l’artiste était reçu dans l’émission Néo Géo pour parler notamment de son album éponyme, et de sa conception de cette “Nouvelle Géographie” : 

"J'ai réalisé que nous avons tous une carte, une certaine géographie dans notre esprit, qui peut changer à tout instant. Pour ma carte, Bali est à côté de New York, et est beaucoup plus grande que ce qu'elle est, le Japon également. Cette carte est fondée sur l'importance culturelle de ce qui nous intéresse. C'est ça Neo Geo, la nouvelle géographie.” 

Cet interview présentée par Bintou Simporé fut aussi l’occasion pour Jean-François Bizot et Rémy Kolpa Kopoul de l’interroger sur sa collaboration avec Youssou N’Dour, sa première expérience au cinéma ou encore ses artistes préférés. Un riche entretien que nous vous proposons de réécouter. 

Disparu à 71 ans, Ryūichi Sakamoto, membre fondateur du mythique groupe de synthpop japonais Yellow Magic Orchestra et figure majeure de la musique expérimentale et électronique, laisse derrière lui une discographie immense. Parmi son œuvre titanesque, plusieurs compositions pour le cinéma, dont la bande originale du film Furyo de Nagisa Ōshima avec David Bowie, composée en 1983. 

En 1990, il se confiait au micro de Thierry Planelle sur ce rapport particulier qu’il entretenait avec le cinéma, et le métier d'acteur : 

“On m'a demandé de jouer dans plusieurs films avant mais j’ai toujours refusé. Si j’ai travaillé avec Bertolucci et Ōshima c’est parce que j’étais un grand fan. Je n’aime pas jouer et je n’aime pas ma façon de jouer.”

Dans cet entretien ponctué de ses compositions hypnotiques, Ryūichi Sakamoto partage ses influences et ses inspirations, de son amour des métropoles à l’importance qu’il accorde aux sons acoustiques. Une interview à réécouter ici. 

C'est le 30ème anniversaire de BD à Bastia. Changement de formule, exit le Nova Club en direct, cette fois ci, Nova Y Va. Dans cet épisode, on vous raconte le prix lycéen de la BD, et les ateliers avec les 3 auteur.ices en lice pour ce prix. Valentine Cuny-le-Callet, Cécile Dupuis et Alexandre Clérisse nous racontent leurs rencontres avec les élèves. On écoute aussi Fontaines D.C. en visitant la galerie Noir et Blanc.

Visuel : Cécile Dupuis à la retraite.

Tout, tout, tout, vous saurez sur les toutous. Car Bertrand Belin, l’auteur de Que dalle tout, voit les chiens comme un « royaume parallèle au nôtre » ou « le cheval de Monsieur et Madame Tout-le-monde ». « Le chien est un animal-totem pour moi : dans tous mes disques, un chien pointe son museau. » Constat qui entraîna, pile au milieu de sa tournée pour l’album Tambour Vision, cette émission truffée de musiques de niche, de lectures racées et d’invité·e·s au poil soyeux, à écouter assis, debout, couché. En voiture les voyageurs, le chenil part toujours à l’heure.

Une émission imaginée et présentée par Bertrand Belin & Richard Gaitet, réalisée par Mathieu Boudon. Avec la participation de Rodolphe Burger, Sofiane Saidi, Barbara Carlotti, Thibault Frisoni, Sylvain Joasson, Labrador Dali, Alice Moitié, Joseph Schiano di Lombo, Mark « Shez » Sheridan et La Féline. Vidéo : Sébastien Carriau, avec l’aide de Charles-Yvan Nagy. Réalisation live : Alexandre Eck. Production : Reza Pounewatchy & Esteli Hernandez Ortiz, avec l’aide de Nonna Gomila et Agathe Fratacci. Dessins, réseaux : Math de Capèle. Remerciements : Chet Samoy et toute l’équipe de Cinq7.

Pour ce dernier opus de Nova Y Va, on refait le monde en compagnie du groupe Da Break à l'occasion de la Release Party de leur album "Da Best Riddim Eternal Action Krew". Les deux fondateurs, la chanteuse et emcee, Hawa, accompagnée du batteur Rémy Kaprielan, reviennent sur l'histoire de cette formation qui ravive l'âge d'or du Hip Hop de la fin des eighties.

Nouvelle opus dans les coulisses du Transbordeur. Nous sommes allés à la rencontre du rappeur et chanteur Franglish juste avant son concert.

Surnommé le "Chris Brown" français, l'artiste francophone au flow comparable à celui des MCs américains s'est confié sur son parcours et ses nouveaux projets.

On continue notre immersion dans cette mythique salle lyonnaise aux côté de son dirlo, Cyrille Bonin.

Une salle qui ressemble peu aux autres du fait de son A.D.N particulier et de son histoire incomparable.

Le Transbordeur c'est une programmation éclectique, on peut passer du rock à la techno en une soirée, avec de nombreuses activités.

Cyrille nous embarque dans les souvenirs de ce lieu qui existe depuis 34 ans.

Lieu incontournable de Lyon et sa Métropole, le Transbordeur.

Pour ce premier épisode au sein de cette salle emblématique, nous sommes allés à la rencontres de son tenancier, Cyrille Bonin.

Activiste, fan de musique et de culture au sens large, il raconte sa jeunesse, son Lyon et son arrivée au Transbo' en tant que directeur.

L’Entourloop ne fait jamais rien comme les autres. Sinon, ce ne serait pas L’Entourloop. Le mystérieux et charismatique collectif reggae & hip hop, par les sémillants vétérans du sound King James et Sir Johnny, se sont emparés de l’antenne de Nova jeudi 9 mars sur un live de trois heures Non-Stop.

Au menu de ce piratage aussi clair que confus, les auditrices et les auditeurs du grand mix ont eu le droit à des interviews, des sélections musicales, des débats animés, des invités spéciaux, freestyles et autres DJ sets exclusifs.

Un événement radiophonique également retransmis en direct sur la chaîne YouTube de Nova.

Avis aux amateurs de vielles galettes et de cinéma d’époque ! C’est dans les vieux bacs que L’Entourloop vous prépare ses meilleures potions.

Bienvenue dans le monde incroyable des royaumes minuscules. Pour la sortie de son splendide nouvel opus, le chanteur et musicien Voyou a conçu avec Nova une pièce théâtrale chantée digne de Brode-ouais ! (un Broadway sauce Paris 18e).

Accompagné des amies rayonnantes November Ultra et Pi Ja Ma, d'Arthur Navellou et d'Emmaï Dee, sous les décors cartonesques de la sémillante artiste Tamaya Sapey-Triomphe, Voyou nous emmène vers une aventure chaude en nostalgie et en féerie...

En ce doux matin du 21 février, le chanteur et musicien Voyou a dû se lever bien tôt pour venir nous voir. Vengeur, il a pris les rênes de la radio… 

Une interview brossage de dents comme jamais entendu auparavant, une superbe playlist perso, un invité exceptionnel (coucou Albin de la Simone), du café qui coule à flots et pleins d’autres folies sont à retrouver dans ce podcast. 

L’album de Voyou “Les Royaumes Minuscules” chez votre disquaire dès le 24 février !  

Que se passe-t-il dans les couloirs du deuxième étage du service de psychiatrie de l’Institut Mutualiste Montsouris ? 

Dans ce troisième épisode, immersion dans une journée à l'IMM. Les patients nous emmènent dans leur quotidien, du petit dej' au retour dans le monde des rêves, Nova fait un tour de cadran avec eux. Des chroniques, des interviews, leurs musiques, leurs expressions... Ils vous racontent.

Une émission coordonnée par Sophie Marchand et réalisée par Malo Williams.

La Maison des artistes est une bâtisse des années 1920, dans laquelle a vécu l'alpiniste et le maire de Chamonix, Herzog. Aujourd'hui, c'est un studio d'enregistrement, une résidence artistique et un bar.

La Matinale de Radio Nova y était le vendredi 17 février pour une émission spéciale montagne.

Notre première invité était Charles Vetter, directeur artistique de la maison des artistes et du festival Cosmojazz. Il nous fait visiter les studios de la maison des artistes et nous offre un reportage de la collection de "vieux synthés" qu'elle abrite.

Ensuite, François Damilano était au micro de Sarah-Lou et d'Armel pour nous parler de cinéma et d'alpinisme. François Damilano est guide de haute montagne et réalisateur, tout en gravissant l'Everest ou le K2 il réalise des films.

Notre troisième invité était Aurélien Ducroz, skieur freeride, navigateur mais aussi créateur d'une marque de ski recyclables et reconditionnables.

Pour finir cette émission spéciale montagne, Charles Vetter est de nouveau au micro de la Matinale en compagnie de Morgane Raylat pour nous faire découvrir le Cosmojazz festival et le Chamonix film festival. 

Que se passe-t-il dans les couloirs du deuxième étage du service de psychiatrie de l’IMM ? 

Pour le savoir, voici une émission conçue par les patients de l’IMM pour vous raconter les musiques qu’ils écoutent, vous parler du cinéma qu’ils aiment, interroger ceux qui les aident au quotidien et plus simplement vous plonger dans leur vie au 2ᵉ étage de l’Institut Mutualiste Montsouris. Une première qui a été pensée avec l’aide de Radio Nova.

Intitulées Les Voix de la Vallée, ces rencontres prennent la forme d’un dialogue entre deux experts en leur domaine, comme par exemple une sportive et un philosophe, ou une écrivaine et un ingénieur forestier - qui vont réfléchir à deux voix autour des hypothèses artistiques proposées par Fabrice Hyber dans ses œuvres. 

Enregistrées in situ à la Fondation Cartier et réalisée en collaboration avec Duuu Radio, ces atypiques cours du soir deviennent des podcasts à réécouter sur le bien nommé cHyber espace...

https://duuuradio.fr/

https://www.fondationcartier.com/voix-de-la-vallee

Photo de Une : Ariel Kyrou, Fabrice Hyber et Olivier Schwartz à la Fondation Cartier à Paris © Raphaëlle Pluskwa

Quel drôle de cadeau. En 2012, Russell Banks, 72 ans, de passage à Paris pour la sortie de Lointain souvenir de la peau (Actes Sud), nous fait suivre un CD gravé, sur lequel figurent deux dossiers. 

Dans le premier : des lectures enregistrées par l'auteur de Sous le règne de Bone depuis son domicile new-yorkais, tirées de ses propres ouvrages (Le Livre de la Jamaïque, Pourfendeur de nuages) ou de romans adorés (Claudine à Paris de Colette, La Chambre de Giovanni de James Baldwin), en VO, que nous n'avons pas traduites, pour le plaisir du grain de voix rugueux de cet infatigable progressiste, membre de l’Académie américaine des arts et des lettres et longtemps professeur de creative writing à Princeton (New Jersey). 

Dans le second : une compil' de ses morceaux favoris de Toots & The Maytals, Anthrax, Black Uhuru, Jimmy Cliff, Megadeth, Metallica, Nirvana, Pearl Jam, Dennis Brown, Bob Marley ou encore... House of Pain... dont il aimait très fort Back from the dead. Onze ans plus tard, à l'heure de son décès, ressuscitons cette archive (réduite à l'essentiel), tout en méditant sur cette confession formulée au journal Le Monde en 2016 : « Si j’avais 20 ans aujourd’hui, je ne suis pas sûr que je deviendrais romancier. C’est très archaïque ! Je crois que je serais réalisateur pour Internet car c’est la forme dominante pour raconter des histoires. Et c'est ce que je fais avant tout. »

Une émission imaginée et présentée par Richard Gaitet, réalisée par Mathieu Boudon. 

Image : De beaux lendemains mis en scène d'Atom Egoyan (1997), d'après le roman de Russell Banks (1991). 

Cette année, pour son plus grand plaisir, la matinale de Radio Nova, s’est déplacée en beau pays d’Auvergne, afin d’assister à la 45ᵉ édition du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand. 

355 courts métrages qui attendent les festivaliers, tous genres et toutes nationalités confondus, du 27 janvier au 4 février 2023, exclusivement dans les salles de cinéma. 

Une programmation de films en réalité virtuelle, des expositions, des rencontres et des moments festifs viendront compléter le tableau pour ces neuf journées de festivités. Le 2 et 3 février, deux matinales étaient entièrement consacrées à l’évènement. 

En ce deuxième jour, divers réalisateurs et réalisatrices concourant au festival étaient invités au micro d’Armel Hemme, Sarah-Lou Bakouche et David Bola, pour livrer les dessous de leur tournage. Mais, puisque au festival de Clermont, on ne regarde pas seulement des films et que l’on peut aussi les juger, la matinale a également invité Claude le Pape, scénariste et membre du jury.

C’est aussi une super chronique vous faisant voyager jusqu’à Taïwan et divers secrets très bien gardés de Clermont-Ferrand que vous pourrez découvrir ou redécouvrir dans ce podcast. 

Premier invité : Vincent René-Lortie TBC, réalisateur du court métrage “Invincible” 

Synopsis

Inspiré d’une histoire vraie, “Invincible” revient sur les dernières 48 heures de la vie de Marc-Antoine Bernier, un jeune garçon de 14 ans qui se retrouve confronté à son besoin criant de liberté.

Deuxième invité : Arthur Thomas-Pavlowsky, réalisateur du film court “La lutte est une fin” 

Synopsis

À Marseille, Le collectif boxe Massilia enseigne la boxe anglaise dans la bourse du travail. Un lien a été créé avec le comité''chômeurs et précaires'' de la CGT. Dans ce lieu, lutte sociale et lutte physique entrent en résonance.

En parallèle, un tournoi de gala en soutien à une lutte syndicale se prépare.

Troisième invitée : L’artiste-chercheuse et réalisatrice de “La mécanique des fluides”, Gala Hernández

Synopsis : 

En 2018, un incel (soit un célibataire involontaire) publie une lettre de suicide sur la plateforme Reddit titrée « L’Amérique est responsable de ma mort ». La Mécanique des fluides est une tentative de trouver des réponses à ses mots. Une dérive virtuelle sur Internet à la recherche de ses traces numériques qui finit par être un voyage intérieur entre deux solitudes connectées.

Quatrième invitée : La scénariste et membre du jury du festival, Claude le Pape

 La chronique de Blot spéciale Taïwan à Clermont

Cette année, pour son plus grand plaisir, la matinale de Radio Nova, s’est déplacée en beau pays d’Auvergne, afin d’assister à la 45ᵉ édition du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand. Deux matinales, du 2 et 3 février, sont entièrement consacrées à l’évènement. 

En ce premier jour, divers réalisateurs et réalisatrices concourant au festival étaient invités au micro d’Armel Hemme, Sarah-Lou Bakouche et David Bola, pour livrer les dessous de leur tournage.

Mais, puisque au festival de Clermont, on ne regarde pas seulement des films et que l’on peut aussi apprendre à en faire, la matinale a également invité Jacques Pouillet, coordinateur de l’Atelier, une école de cinéma éphémère ouverte au public durant cinq jours.

C’est aussi une chronique vous faisant voyager jusqu’à Taïwan et divers secrets très bien gardés de Clermont-Ferrand que vous pourrez découvrir ou redécouvrir dans ce podcast. 

Premier Invité : Manoël Dupont, réalisateur du court métrage “Oil Oil Oil” 

Synopsis : Entre poussière, sueur et bidons d'huile, Mara et Baptiste vivent une parenthèse amoureuse. Une histoire au milieu de nulle part, qui ne va nulle part.

Deuxième invitée : Laura Thomassaint, réalisatrice de “S’il-vous-plaît arrêtez tous de disparaître” 

Synopsis : Des années après le décès prématuré de Victor, son frère Ferdinand rencontre un jeune garçon sur internet, Elliot. Tous les deux se mettent d’accord, ils se téléphoneront de temps en temps et Elliot se fera passer pour le frère mort.

Troisième invité :  Zoel Aeschbacher, réalisatrice de “Fairplay”

Synopsis : Un adolescent en quête de reconnaissance, un ouvrier prêt à tout pour décrocher le jackpot, un cadre supérieur en fin de carrière qui veut (se) prouver qu’il tient encore la route. Trois personnages en perte de vitesse sur l’autoroute de la compétition.

Quatrième invité : Jacques Pouillet, coordinateur de l’Atelier, école éphémère du cinéma 

L’Atelier est une production de “l’ENS d’architecture de Clermont-Ferrand”, du “Centre Camille-Claudel”, du “Conservatoire Emmanuel-Chabrier de Clermont-Ferrand” et de “Sauve qui Peut le Court Métrage”.

La chronique de Blot spéciale Taïwan à Clermont : “Textual Way of Contemporary Dialogue” un court métrage taïwanais à Clermont-Ferrand

David Bola présente et analyse (sans spoil évidemment) ce court métrage de la réalisatrice Ting Chi When. Le film propose une nouvelle manière de représenter quelque chose que l’on vit tous les jours, mais que l’on a du mal  à mettre à l’image dynamiquement au cinéma : les conversations par texto. 

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Il Est Vilaine, Judah Warsky, Gystère, Jospeph Schinano Di Lombo, Cannibale, Safia Bahmed-Schwart 

et Irène Drésel se prêtent au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

Ce jeudi 26 janvier dans les locaux de Radio Nova, OBF crew a pris le contrôle de la radio pendant quatre heures ! Au programme de la session : des invités d’exception (les DJs et producteurs Von D, Stepart, Sanga Mama Africa ou les mc’s Charlie P, Junior Boy, Daddy Mory), des interviews, mais surtout du live mix avec de la grosse basse !

Quatre heures de soundsystem dub dans la Lava Room !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Il est Vilaine se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Irène Drésel se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Safia Bahmed-Schwartz se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

Le Centre Culturel Suisse de Paris, qui s'applique à faire rayonner la culture suisse en France, est en travaux jusqu'en 2024. Alors, depuis septembre, il est aussi en tournée et organise, partout en France, des petits festivals remplis d'artistes suisses.

A l'occasion de son passage à Lyon entre le 10 et 21 janvier, l'équipe lyonnaise de Radio Nova s'est rendue à cinq évènements pour vous les faire (re)vivre, en podcast.

Dans ce troisième épisode, Mathieu Girod et Enzo Martinez vous embarquent au sein d'une performance un peu particulière : L'Âge d'Or d'Igor Cardellini & Tomas Gonzalez, co-programmée par les Subs, non pas dans un lieu d'art ou de spectacle mais au coeur... du Centre Commercial Confluence. Un lieu très inattendu, mais certainement pas choisi au hasard.

Le Centre Culturel Suisse de Paris, qui s’applique à faire rayonner la culture suisse en France, est en travaux jusqu’en 2024. Alors, depuis septembre, il est aussi en tournée et organise, partout en France, des petits festivals remplis d’artistes suisses.

À l’occasion de son passage à Lyon entre le 10 et 21 janvier, l’équipe lyonnaise de Radio Nova s’est rendue à cinq événements pour vous les faire (re)vivre, en podcast.

Le 12 janvier 2023, Mathieu Girod s'est rendu au Théâtre des Clochards Célestes, mythique lieu situé dans les pentes de la Croix-Rousse. À l'occasion du "On Tour" du centre hélvète, la scène accueille le spectacle OPA de Mélina Martin. La danseuse comédienne lausannoise incarne l'antique Hélène de Troie, la plus belle femme du monde, qui déclencha foudres et passions.

La performeuse ravive cette histoire légendaire dans un présent troublant où la réalité et le mythe fusionnent. En mêlant le grec et le français, la danse et le théâtre,  avec pour seuls accessoires deux chaises, une robe de mariée et un micro, Mélina Martin raconte le parcours d'une femme enferrée dans le carcan d’une vision patriarcale dans une pièce captivante et délicate.

Au programme, des interviews, des échanges sur les musiques et les identités orientales, un débat sur la place du rai dans nos sociétés… le tout agrémenté de mixes et de lives inédits. Un savant cocktail concocté depuis les studios de Nova, transformés pour l’occasion en cabaret raï made in DZ.

Les membres du collectif, pionnier de l’électro oriental touch, seront accompagnés d’invités de marque de chaque côté de la Méditerranée : Sofiane Saidi, Loik Dury, Cheb Gero, Faiza Lelou, Hadj Sameer et plein d’autres surprises…

Du 10 au 21 janvier, le Centre Culturel Suisse a investi la capitale des Gaules pour faire découvrir au public la crème des artistes helvètes. C’est d’ailleurs la mission qu’il occupe depuis 1985, depuis ses locaux nichés à Paris.

Mais cette année, travaux oblige, le Centre a décidé de partir « On Tour » dans toute la France, et Lyon est sa deuxième escale !

Mardi dernier, nos journalistes Mathieu Girod et Enzo Martinez se sont rendus au Périscope, salle emblématique de la ville, pour assister au concert du duo Cyril Cyril, qui a envoûté le public pendant plus d’une heure avec leur musique hybride, fusion de sonorités orientales et de ses riffs puissants.

Quelques minutes avant de monter sur scène, nous avons pu poser quelques questions à Cyril Bondi, le batteur, et Cyril Yeterian, le guitariste/chanteur, que l’on connaît bien chez Nova pour être la tête pensante du label Bongo Joe Records.

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Cannibale se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Gystère se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Judah Warsky se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

À l’occasion des Nuits de la lecture 2023 (19 au 22 janvier) sur le thème de la peur, Radio Nova éteint les lumières et invite des artistes de choix à partager les extraits d’œuvres qui les ont effrayés, et les effraient encore…

Joseph Schiano di Lombo se prête au jeu de la terreur littéraire pour de l'antenne qui frissonne.

Au programme des Nuits de la lecture 2023 : bibliothèques, librairies, écoles, universités et musées proposeront des milliers d’événements entre contes et albums pour enfants aux histoires fantastiques, sagas de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains.

Les Nuits de la lecture seront l’occasion de partager le frisson de la lecture !

Le Centre Culturel Suisse de Paris, qui s'applique à faire rayonner la culture suisse en France, est en travaux jusqu'en 2024. Alors, depuis septembre, il est aussi en tournée et organise, partout en France, des petits festivals remplis d'artistes suisses.

A l'occasion de son passage à Lyon entre le 10 et 21 janvier, l'équipe lyonnaise de Radio Nova s'est rendue à cinq évènements pour vous les faire (re)vivre, en podcast.

Et on commence avec le spectacle Phèdre ! de l'auteur et metteur en scène suisse François Gremaud, en représentation du 10 au 14 janvier au Théâtre de la Croix-Rousse. Une fausse conférence tordante et délicieusement didactique sur le chef-d'oeuvre éponyme de Jean Racine. Notre journaliste Antoine Boj y était, et en a profité pour poser quelques questions à Romain Daroles, le comédien qui porte magistralement ce seul en scène, ainsi qu'à Mathias Brossard, assistant metteur en scène.

Ils discutent de son dernier roman, Sous le règne de Bone, de l’espoir dans la société contemporaine étasunienne, du statut de l’écrivain…

“Ariel Wizman : Nous sommes à la fin de la Grosse Boule quotidienne, moins 5 émissions, et aujourd’hui il reste encore deux invités, heureusement nous avons la chance d’avoir avec nous Russell Banks. Edouard Baer a lu son roman ce week-end et il a dit qu'il a passé un week-end très triste.”

Les Chaillot Expériences proposent une expérience immersive dans l’univers d’un artiste associé au théâtre pour la saison 2022-2023, cette fois-ci, Kery James. 

L’univers de Kery James c’est son œuvre musicale, poétique et cinématographique, et aussi les artistes et collectifs qui représentent les combats qu’il mène dans son art et qu’il a invité à sa Carte Blanche. Il y avait par exemple de la boxe, de la batucada, du slam, du krump, le tournage d’un remake de son clip Banlieusards… Une programmation éclectique autour des cultures urbaines. 

Kery James est la figure de proue du rap politique en France. Cette carte blanche a mis son engagement à l'honneur, avec notamment les paroles de son morceau Amal qui étaient affichées dans l’expo photo. Ce titre raconte la vie d’Amal Bentounsi, qui a fondé le collectif Urgence-notre-police-assassine suite à la mort de son frère Amine, victime de violences policières. Raphaëlle Pluskwa a rencontré Jade, une jeune collégienne qui a été profondément bouleversée par ce morceau. 

Les temps forts de cette carte blanche, c'étaient bien sûr les deux concerts acoustiques de Kery James dans la grande salle Jean Vilar du Théâtre Chaillot. Depuis quelques années, l’artiste propose des spectacles à la croisée entre concert de rap et déclamation de poésie. Ses textes font d’ailleurs aujourd’hui partie du cropus poétique contemporain : il a publié ses plus grands classiques dans un recueil Le Poète Noir aux éditions Actes Sud. Il revient sur son parcours au micro de Raphaëlle Pluskwa.

Les Chaillot Expériences proposent une expérience immersive dans l’univers d’un artiste associé au théâtre pour la saison 2022-2023, cette fois-ci, Kery James. 

L’univers de Kery James c’est son œuvre musicale, poétique et cinématographique, et aussi les artistes et collectifs qui représentent les combats qu’il mène dans son art et qu’il a invité à sa Carte Blanche. Il y avait par exemple de la boxe, de la batucada, du slam, du krump, le tournage d’un remake de son clip Banlieusards… Une programmation éclectique autour des cultures urbaines. 

Rachid Ouramdane, le directeur du Théâtre Chaillot, est au micro de Raphaëlle Pluskwa. Il nous raconte l’histoire de ce lieu, son implication dans l’histoire de la danse et ses engagements contemporains. 

Le danseur et chorégraphe Wolf animait un atelier d’initiation au krump dans le hall du théâtre Chaillot. Il nous raconte l’histoire de cette danse puissante et cathartique née dans les ghettos de Los Angeles au début des années 2000.

Pour clôturer ce premier épisode, Raphaëlle Pluskwa a croisé la vice championne d’Europe et du monde, Sthélyne Grosy, qui a rejoint l’équipe de France en 2017. Elle se prépare pour les Jeux Olympiques 2024, mais en attendant elle est venue partager sa passion à Chaillot. 

Parce qu’un bon livre, ouvert à n’importe quelle page, doit pouvoir amuser, intriguer, instruire, choquer, blesser ou tourmenter son lecteur ou sa lectrice, et parce qu’à la page 111 de la pièce de théâtre Rhinocéros d’Eugène Ionesco, on trouve ces deux mots magiques : « pourquoi pas ? », un jury impartial, méthodique et porté sur un certain fétichisme numérologique a créé en 2012 sur Radio Nova le désormais célèbre Prix de la Page 111.

Principe fondateur : il s’agit d’examiner attentivement toutes les pages 111 de tous les romans écrits en langue française et publiés dans notre beau pays entre la fin du mois d’août et début octobre, en considérant cette page 111 comme une œuvre d’art à part entière, du premier au dernier mot, du premier au dernier signe de ponctuation, comme si l’auteur ou l’autrice n’avait rien écrit d’autre ; en analysant cette page avec des techniques de pointe, en évaluant le style, le vocabulaire, la psychologie des personnages, la qualité des dialogues… de manière à la fois objective et forcément très subjective, pour tenter de répondre à ces questions : est-ce que la partie vaut pour le tout ? Est-ce que l’art de l’écrivain·e, sa maîtrise de la langue, des caractères et des situations, peut aussi se lire dans les détails, sur un fragment, sur une seule page ?

Au cœur de la Goutte d’Or, devant les rideaux lynchiens du 360 Paris Music Factory (32 rue Myrha, Paris 18e), 6 pages 111 finalistes furent lues et débattues avec rage ou ferveur, tirées de :

Rodez-Mexico, de Julien Villa (éditions Rue de l’Échiquier).

Fantaisies guérillères, de Guillaume Lebrun (éditions Christian Bourgois)

Ludwig dans le living, de Théo Bourgeron (éditions Gallimard / Sygne) 

Deux secondes d’air qui brûle, de Diaty Diallo (éditions Le Seuil)

Zizi Cabane, de Bérengère Cournut (éditions Le Tripode)

Le Colonel ne dort pas, d’Émilienne Malfatto (éditions du Sous-sol) 

Qui l’a emporté ? Pour le savoir, 1 seule solution : écoutez cette d/émission de radio !

Une cérémonie spectaculaire imaginée et présentée par Richard Gaitet, avec la complicité du jury 2022 : Marguerite Demoëte, Bertrand Guillot, Guillaume Jan, François Perrin, Victor Pouchet, Maria Pourchet, Claire Richard, Charles Recoursé et Aude Samarut. Big up éternel au Grand Chambellan Jean-Yves Lemesle. 

Comédien·ne·s extraordinaires : Céline Espérin, Angeli Hucher de Barros,  HYPERLINK "https://www.facebook.com/jgoetzfr"Julien Goetz,  HYPERLINK "https://www.facebook.com/sophiegarric"Odile Lavie, Judith Margolin, Luca Stefanini, Xavier Valoteau.

Réalisation : Melvin Schlemer, assisté de Céleste Métais-Grollier. Comité du fun : Théo Sebald, assisté de Rose Sfintescu.

Photographies : Math de Capèle, Jen Gé, Aysegul Sert.

Remerciements chaleureux à toute l’équipe du 360 Paris Music Factory pour leur accueil : Saïd, Julie, Carla, et Tom pour le son et les lumières.

Dernière soirée pour l'équipe de Nova dans les rues de Rennes animées au son des Bars en Trans ! 

Les Bars en Trans, c'est un festival qui investi le centre-ville de Rennes et propose aux fêtards de déambuler de bars en bars, de concerts en concerts, une galette saucisse en main.

Au programme de cette journée, spécialités locales, fête foraine et rencontres avec Hyperactive Leslie et les copains de Walter Astral.

L'équipe de Nova continue son week-end dans la capitale bretonne pour les Bars en Trans ! 

Les Bars en Trans, c'est un festival qui investi le centre-ville de Rennes et propose aux fêtards de déambuler de bars en bars, de concerts en concerts, une galette saucisse en main.

Au programme de cette deuxième soirée, mise en avant de la scène québécoise avec Bon Enfant et Les Shirley.

L'équipe de Nova est bien arrivée dans la capitale bretonne pour passer le week-end aux Bars en Trans !

Les Bars en Trans, c'est un festival qui investi le centre-ville de Rennes et propose aux fêtards de déambuler de bars en bars, de concerts en concerts, une galette saucisse en main.

Au programme de cette première soirée, rencontre avec les Vulves Assassines et le programmateur du festival Philippe Le Breton.

Bien sûr, on a ensuite retrouvé aux platines de l’Été Indien nos Djs du Nova Soundsystem...

Tracklist :

Weyes Blood - Twin Flame

Janel NGonda - Just Like You Used To

Marcos Valle - Parabéns

Boldy James, Futurewave - Could Be Worse

Yoa - chanson triste 

Grand Popo Football Club - La Nuit Est Là

Sami Malka Chante Yedidi

Ramones - Rock'n'Roll High School

Wael Alkak & Acid Arab - Ya Malha

Justice - Stress

Telex - Moskow Diskow

Manu Dibango - Reggae Makossa 

Derrick May - String of Life

Gesaffelstein - Glass

Childish Gambino - Me And Your Mama 

Doc Scott - The Message

La Nova Team (Smaël Bouaici, Tristan Guérin et David Bola) était à Saint Etienne où se tenait du 8 au 13 novembre le festival Positive Education qu’on vous fait vivre par procuration avec ce Nova y va !

Pour les nouveaux, Positive Education, le PEF pour les intimes, est devenu en six ans le meilleur argument marketing de l’office de tourisme de Saint-Etienne avec des fans de musique électronique qui accourent de toute la France et de toute l’Europe pour assister à un des festivals les plus défricheurs du moment. Entre techno, dubstep, grime, expérimental et même hip-hop, avec des artistes comme The Bug et Flowdan, Belaria, Caïn & Muchi, Simo Cell, Mimi, Iceboy Violet ou le duo Lisa & Roni. 

Quatre jours de claques sonores résumés en quatre podcasts.

La Nova Team (Smaël Bouaici, Tristan Guérin et David Bola) était à Saint Etienne où se tenait du 8 au 13 novembre le festival Positive Education qu’on vous fait vivre par procuration avec ce Nova y va !

Pour les nouveaux, Positive Education, le PEF pour les intimes, est devenu en six ans le meilleur argument marketing de l’office de tourisme de Saint-Etienne avec des fans de musique électronique qui accourent de toute la France et de toute l’Europe pour assister à un des festivals les plus défricheurs du moment. Entre techno, dubstep, grime, expérimental et même hip-hop, avec des artistes comme The Bug et Flowdan, Belaria, Caïn & Muchi, Simo Cell, Mimi, Iceboy Violet ou le duo Lisa & Roni. 

Quatre jours de claques sonores résumés en quatre podcasts.

Pendant 3 jours, Nova a pu arpenter les recoins de l’île intense, le micro tendu vers celles et ceux qui font bouger l’île, à la découverte des événements qui font la une des journaux locaux et des histoires qui peuplent la mémoire de ses habitants. 

3 journées où nous avons pu rencontrer des artistes issus de La Réunion, celles et ceux qui façonnent la continuation d’un héritage immatérielle riche et qui en développe les futures incarnations. C’est avec les oreilles affutées, l’estomac bien remplis et un point de vue élargit que l’on revient de ce voyage, on se devait donc  de vous partager les temps forts de ce trip.

Le 1er novembre à minuit, c'est la fête des morts et pour conjurer le sort, on a décidé de vous faire vivre une grande fête.  Fête triste forcément — comme disait Trisomie 21 — mais sacrée célébration de Mansfield.TYA.

Rebeka Warrior, Carla Pallone : 20 ans de carrière, de disques, de tournées, d'amitiés, de slam. Des textes d'une poésie à faire pleurer les pierres, des cordes d'une beauté à faire valser les larmes. Vingt ans de rituels et de fêtes joyeuses.

Ce 1er novembre, donc, c'était la dernière danse. Le reste, ce seront des souvenirs follement vivants.

Le dernier concert de Mansfield.TYA, à l'Olympia à Paris, c'était aussi jusqu'à la dernière note, la dernière goutte de sueur, le dernier mot, à vivre en direct sur Radio Nova.

Merci pour tout Mansfield. T(wenty) Y(ears) A(fter).

Vous avez sûrement déjà entendu parler de la Foire d'Art Contemporain. Un environnement très opaque, qui dépasse un peu, où l’art se mêle aux jeux d’argent et de pouvoir. Pourtant, y mettre les pieds, s’est bien se rendre compte qu’une fois devant les oeuvres, tout ça n’existe plus. Il n’y a qu’elles, notre regard et nos sensations.

Cette année, la FIAC est remplacée par Paris + par Art Basel. Un événement d’envergure international où curieux comme collectionneurs viennent aiguiser leur regard aux oeuvres des plus grands artistes du genre comme les plus émergents.

Au programme, Anna Flori-Lamour a échangé avec les commissaires de l’exposition, Guillaume Désanges et Coline Davenne, les artistes Juliette Green, Leila Pile, Valentin Noujaïm, Kevin Blinderman, Carla Adra, Camille Sart, Dach et Zéphir, Roy Köhnke, Laurie Charles et le maire de Montrouge Étienne Lengereau.

Rendez-vous incontournable de l’art contemporain, la 66e édition du Salon de Montrouge est à retrouver jusqu'au 1er novembre au beffroi de Montrouge !

C'était les 10 ans d'ARTE Mix ø Trabendo ! Et forcément, on y a fait un petit tour...

Au programme, on a échangé avec le MC et DJ de cette soirée Mo Laudi, figure emblématique de l'afro-house et avec le duo influent de French Touch Braxe X Falcon. On a également passé une oreille du côté du duo barcelonais O'o...

Bravo à Annie Ernaux, première française à recevoir le Prix Nobel de littérature. En 2018, une Nova Book Box lui était consacrée :

« Dissoudre une vie dans l’écriture. C’est à peu près ainsi que je peux définir mon idéal », expliquait en décembre dernier Annie Ernaux, 77 ans, lauréate du prix Marguerite Yourcenar pour l’ensemble de son œuvre.

Dissoudre une vie : des Armoires vides (1974) à Mémoire de fille (2016), du récit d’un avortement contraint à celui d’un dépucelage tissé de « honte » et de « folles espérances », en passant par des portraits minutieux de ses parents (La Place, La Femme), son expérience complexe de la condition féminine (La Femme gelée, L’Événement) ou du passage du temps (Les Années), Annie Ernaux creuse et démultiplie le geste autobiographique en artisan du souvenir, par l’usage de ce qu’elle nomme la « littérature plate » – « une écriture du constat, soigneusement débarrassée de jugements de valeurs, une écriture au plus près de la réalité, dépouillée d’affects » et sans « dérision jubilante », comme le rappelle Le Vrai lieu, série d’entretiens avec Michelle Porte qui vient d’être rééditée (Folio / Gallimard).

Prétexte pour traverser, une heure durant, le fleuve Ernaux. « Écrire, je le vois comme sortir des pierres du fond d’une rivière », dit celle qui sut examiner les mécanismes de domination socioculturelle à l’œuvre dans le langage, preuve douloureuse d’une séparation entre son milieu

d’origine – le café-épicerie de ses parents, dans une petite ville rurale de Normandie – et celui qu’elle a su conquérir grâce au savoir – via l’enseignement des lettres, accédant en parallèle à la petite-bourgeoisie.

Parmi divers extraits qui seront ce soir lus à voix haute, vous entendrez le musicien Michel Cloup (Diabologum, Expérience), qui depuis Toulouse nous a envoyé une « lettre à Annie Ernaux, en lui volant ses mots », ainsi qu’une harmonie de passage entonnée par le collectif Catastrophe, à partir d’un fragment des Années.

“C’est Pas du Luxe !” met au cœur de son projet des personnes en situation de grande précarité. 

Au programme : bal chorégraphié, ateliers (sérigraphies, musique, arts plastiques), pièces de théâtre, fabrique poétique, visites contées… Les activités ne manquent pas et, chose on ne peut plus pratique, tout ou presque se passe dans le centre-ville, et est accessible à pied. 

Patrick Chassignet, responsable du secteur de la rue au logement à la Fondation Abbé Pierre, est venu nous parler de ce festival unique dans nos studios. 

"Il s’agit de mettre en valeur des œuvres, toutes disciplines artistiques confondues, qui ont la particularité d’être co-construites avec des artistes professionnels et des personnes en situation de grande précarité ”, Patrick Chassignet.

“À travers la pratique de l’art, l’objectif est de changer le quotidien des personnes en grande précarité, qui est souvent rude, et leur permettre de se projeter ailleurs”, Patrick Chassignet

Informations pratiques

• Quand ? Du 23 au 25 septembre 2022
• Où ? Centre-Ville d'Avignon, divers lieux
• Combien ? Un bracelet en vente à prix libre est disponible à l’accueil du festival permet l’accès à l’ensemble de la programmation.

Le Peacock Society a fait son retour en s’émancipant des warehouses pour s’installer en pleine nature dans le parc de Choisy.

Déjà maitre de la nuit, il étend maintenant son royaume à la journée pour toujours plus de fête. Au programme, on a eu le droit à un savant mélange entre artistes et collectifs de tout horizon. 

Dans ce deuxième épisode, David Bola discute drague avec Clarence Edgard-Rosa, fondatrice du magazine Gaze, puis entre deux caissons de basse ira échanger avec le Dj et producteur néerlandais FS Green.

On a décidé de combattre le spleen de septembre en allant avec Radio Nova saluer les paons le temps d’un week-end festif.

Le Peacock était déjà maitre de la nuit, il étend maintenant son royaume à la journée pour toujours plus de fête. Au programme, on a eu le droit à un savant mélange entre artistes et collectifs de tout horizon.

Dans ce premier épisode, David Bola nous emmène à la rencontre de la DJ australienne Logic 1000, se laisse relooker à la mode années 2000 dans le Britney Market et échange avec le co-programmateur du festival Clément Meyer.

Si vous n’êtes jamais venus à la fête de l'Huma, sachez que c’est grand, et très vivant. Rempli, bruyant, coloré. Il y a des stands pour tous les goûts et surtout pour toutes les éducations politiques. Celle que l’on se fait en débattant avec des aînés un poil têtus des stands du PCF d’Indre Loire ou d’Ivry sur Seine. Il y a l’éducation à la politique étrangère qu’on découvre par celles et ceux qui rappellent comment les luttes se croisent à l’international. 

Il y a les grands débats éternels de l’agora sur le travail, la gauche, le monde. Et puis il y a tout le reste : les 50 manières de prouver que la politique prend aux tripes, au cœur et au ventre.

Ici on boit, on danse, on mange, on joue, on gueule et on reboit. Avec des collectifs, un public, des artistes, des personnalités venues du monde entier. Les avenues ici s'appellent Olympe de Gouges, Gisèle Halimi, Elsa Triolet ou Marcel Cachin. 

Bref : on a passé le week-end à la Fête de l’Humanité - 87e édition -

"Ce pudding est aussi fait avec n'importe quoi. Avec les expériences, avec la vie."

"Mais est-ce que les gens parlent autrement que de n'importe quoi ?"

Discussion avec William Klein dans une émission du Pudding de 2006, animée par Nicolas Errera et Jean Croc.

Nova a posé ses valises au cœur du festival du Cabaret Vert (qui se déroulait du 17 au 21 août), pour deux heures d’émission ! Au programme : interviews du groupe Yard Act, de Marc Rebillet, du californien Ty Segall et de la Dj suédoise La Fleur ! 

Nova vous fait aussi revivre leurs lives, comme ceux de Wet Leg et de Central See !

“Going back to my roots”, “All cried out”, “Trying to hold on to my woman”… Autant de titres iconiques de Lamont Dozier, chanteur d’exception, bien que principalement connu pour ses succès en tant que producteur. Il réussit à propulser au sommet le label Motown, fondé par Berry Gordy Jr. au début des années 1960, au sein du légendaire trio qu’il formait avec les frères Holland.

En 2004, PérégriNova déroulait le tapis rouge à Lamont Dozier, qui est d’abord revenu sur le processus de création artistique à la Motown. 

Il évoquait ensuite les relations qu’il entretenait avec le florilège d’artistes produits par le label : The Supremes, Marvin Gaye, The Four Tops…

La Motown, telle que dirigée par Berry Gordy, le premier afro-américain à la tête d’un label indépendant, fonctionnait alors comme une véritable usine dont le but était de populariser la musique afro-américaine, nous confiait Lamont Dozier. Le triptyque pression-compétition-création y régnait en maître, mais dans ce contexte très nouveau, pas de règles sinon celles qui se mettaient en place au fur et à mesure... Une aventure passionnante à découvrir en exclusivité dans cette interview inédite.

Une émission diffusée le dimanche 7 mars 2004, présentée par Rémy Kolpa Kopoul et Benjamin Blanpain. 

Zone à défendre ou némésis, lieu d’auto-censure, vecteur d’émancipation fem’ & queer, argument marketing, corps de son ou corps de lutte… Quelles relations les musiciennes Flavia Coelho, Lucie Antunes, Léonie Pernet et Nidia entretiennent-elles avec leur corps ? Comment le mettent-elles en jeu dans l’espace performatif et à quelles fins ?

La Voix des Femmes, le forum qui donne la parole aux artistes féminines, des conversations animées par Jeanne Lacaille, enregistrées au Metronum à Toulouse dans le cadre du Festival Rio Loco. Podcasts réalisés par Melvin Schlemer. 

Alliée intime des révolutions moléculaires ou porte-voix des luttes à l’échelle planétaire, responsabilité du geste littéraire ou pur plaisir esthétique… À l’heure du logos tout-puissant et du commentaire permanent, quelles relations Emel Mathlouthi, Laura Cahen et Nina Goern (de Cats On Trees) entretiennent-elles avec la langue, les mots et leur travail poétique ? Quelle fonction leur prêtent-elles ?

Des conversations animées par Jeanne Lacaille, enregistrées au Metronum à Toulouse dans le cadre du Festival Rio Loco. Podcasts réalisés par Melvin Schlemer. 

Radio Nova a posé ses affaires à Dour, à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au milieu des éoliennes pour 3 jours de fêtes, de musiques et de rencontres. Après deux ans d'attente, les festivaliers des quatre coins du monde ont pu retrouver ce rendez-vous un peu à part qui réunit sur 8 scènes plus de 250 artistes. Avec cette année une petite spécificité, des concerts qui démarrent 3 jours plus tôt que les années précédentes avec le CampFest. 

On a commencé par discuter avec Jako Maron, producteur réunionnais qui nous parle des kabar, des fêtes traditionnelles réunionnaises qui réunissent les meilleurs musiciens de maloya. Des évènements à mi-chemin entre le bal populaire et cérémonies religieuses. 

Avant de rejoindre la DJ de Genève Audrey Danza qui nous a parlé de la scène électronique Suisse, de ses futurs projets et du Panorama Bar, célèbre club Berlinois qui a changé sa vie. 

Gary Gritness, artiste originaire de Nancy et qui participe grandement au renouveau de l’éléctro-funk, un style dont il nous a retracé l’histoire. On a même eu le droit à des démonstrations de beatbox en direct. 

Radio Nova a posé ses affaires à Dour, à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au milieu des éoliennes pour 3 jours de fêtes, de musiques et de rencontres. Après deux ans d'attente, les festivaliers des quatre coins du monde ont pu retrouver ce rendez-vous un peu à part qui réunit sur 8 scènes plus de 250 artistes. Avec cette année une petite spécificité, des concerts qui démarrent 3 jours plus tôt que les années précédentes avec le CampFest. 

Pour ce quatrième épisode, on est allé faire un tour dans le dédale des différents espaces du camping des festivaliers. Mais Dour n’est pas vraiment indiqué pour le repos et la tranquillité, la preuve avec les Sœurs Malsaines, collectif de DJ parisien qui s’était installé à Dour durant le CampFest. 

Loin de nos studios du 18ème on a eu l’honneur de croiser l'un des senseïs du hip hop de cet arrondissement. Une interview exclusive d’un artiste qui nous a plutôt habitué à se tenir éloigné des micros, et bonne nouvelle, il nous a confié travailler sur un nouveau projet à venir. 

Radio Nova a posé ses affaires à Dour, à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au milieu des éoliennes pour 3 jours de fêtes, de musiques et de rencontres. Après deux ans d'attente, les festivaliers des quatre coins du monde ont pu retrouver ce rendez-vous un peu à part qui réunit sur 8 scènes plus de 250 artistes. Avec cette année une petite spécificité, des concerts qui démarrent 3 jours plus tôt que les années précédentes avec le CampFest. 

Pour ce troisième épisode, on a rencontré l’un des phénomènes culturels du moment en Afrique de l’Ouest : l’orchestre béninois féminin Star Feminine Band. Et elles nous ont expliqué à quel point leur projet est porteur d’espoir pour les jeunes femmes du continent. 

Mais on a aussi discuté avec Luc, le directeur technique de Dour pour en savoir un peu plus sur les perspectives techniques de ce festival provisoire et ses huit scènes sorties de terre en quelques mois à peine. 

Pour clore ce troisième épisode, on vous propose une interview de De Schuurman, un Dj néérlandais adepte du Bubbling. Un style frénétique à l’énergie irrésistible dans lequel De Schuurman s’est spécialisé. 

Radio Nova a posé ses affaires à Dour, à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au milieu des éoliennes pour 3 jours de fêtes, de musiques et de rencontres. Après deux ans d'attente, les festivaliers des quatre coins du monde ont pu retrouver ce rendez-vous un peu à part qui réunit sur 8 scènes plus de 250 artistes. Avec cette année une petite spécificité, des concerts qui démarrent 3 jours plus tôt que les années précédentes avec le CampFest. 

Pour ce deuxième épisode, on a demandé à nos confrères de Radio 7000 de nous donner son top trois des artistes belges émergents à ne pas rater pendant ce Dour Festival 2022. 

On a aussi rencontré The Bug, une des figures de la scène grime dubstep noise anglaise récemment installé à Bruxelles et qui nous a raconté comment la montée de l’extrême droite a influencé “Fire” son dernier album. Et on a la chance de le voir en live depuis la petite maison dans la praire, une des scènes du festival qui rassemble des artistes, qui ne font rien comme les autres.

Radio Nova a posé ses affaires à Dour, à quelques kilomètres de la frontière franco-belge, au milieu des éoliennes pour 3 jours de fêtes, de musiques et de rencontres. Après deux ans d'attente, les festivaliers des quatre coins du monde ont pu retrouver ce rendez-vous un peu à part qui réunit sur 8 scènes plus de 250 artistes. Avec cette année une petite spécificité, des concerts qui démarrent 3 jours plus tôt que les années précédentes avec le CampFest. 

Pour ce premier épisode, on parle avec les programmateurs des spécificités de l’édition de cette année et du line up hallucinant qu’ils nous ont préparé. On écoute évidemment du bon son avec le live du collectif londonien Nine8 qui nous a balancé sa pop alternative radicale à la gueule, et du Carl Cox qu’on ne présente plus avec notamment ce son qu’on adore “Open Your Eyes”. Mais on enquête aussi sur la programmation culinaire du festival à la recherche du secret de la fricadelle, mystérieux fleuron de la gastronomie belge.

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27eme édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back.

Pour ce sixième et dernier épisode, on vous fait revivre le set de Batenko, coup de cœur de cette soirée de samedi au Manoir de Keroual.  

Focus aussi sur la scène locale brestoise, avec la Dj et productrice Swooh, et son set entre electro, house, ghetto, UK garage et techno.

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27eme édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back. 

Deuxième jour et cinquième épisode de ce Nova y Va à Brest, exit le centre-ville et direction le Manoir de Keroual, où se déroule la traditionnelle (grosse) fête du samedi soir. Un endroit fou, bâtisse du XVe siècle au milieu des bois, avec quatre scènes et des milliers de festivaliers. Mais nous, on a préféré aller vers la grande roue installée sur place, dans laquelle on a embarqué la Dj et productrice La Fraicheur (et notre réalisateur Trsitan avec un léger vertige…).

Après le tour de grande roue, direction la scène La Cour, pour le mix Dj barré Mézigue. Le Dj parisien a mis tout le monde avec un set acid, deep et lo fi, dont on vous passe un extrait.

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27ᵉ édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back.

Pour ce deuxième jour, et ce quatrième épisode, on vous emmène en plein après-midi, à Beau Rivage, face à la Mer. Rencontre avec la bénévole Célia, de l’association Consentis, qui promeut le consentement, et lutte contre les violences sexistes et sexuelles en milieu festif. 

On s’est aussi entretenu avec la Dj et productrice parisienne Belaria, propulsée sous le feu des projecteurs à l’été 2021 avec son premier single “Morning Disco Tonic Bongo”. Elle propose des sets italo disco et vient de sortir son premier EP “Boost & Doubts”.

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27eme édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back. 

Pour ce troisième épisode, retour sur le set très attendu des Néerlandais de Identified Patient (Rotterdam), et de Inerstellar Funk ! lls étaient ensemble sur la scène du Cabaret Sonic au Vauban, de 00h à 5h. Nova était là pour capturer un bout de ce set, qui a ravit la foule.

On vous partage aussi la découverte du duo rennais de Neowise qui, sur scène, navigue entre italo disco, indie dance et EBM-techno. Extrait de leur set dans ce Nova Y Va.

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27ᵉ édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back.

Pour ce deuxième épisode, on poursuit notre aventure avec la Dj Saint Misère, qui faisait sa première au festival. Née au Cameroun, la strasbourgeoise d’adoption se fait connaître en 2018, avec le collectif MAL.E.S. Elle y propose des sets décomplexés, alliant drill, électro, trap ou acid. Elle milite aussi pour faire émerger au quotidien, pour faire émerger un dancefloor déconstruit et inclusif, avec le collectif “Tu mixes bien… pour une fille”. 

Rencontre aussi avec les Dj néerlandais Identified Patient (Rotterdam), et de Inerstellar Funk ! lls étaient ensemble sur la scène du Cabaret Sonic au Vauban, de 00h à 5h. 

Nova vous fait vivre le festival Astropolis, à Brest. L’un des plus anciens festivals électroniques en France, auquel Nova vous emmène pour la 27ᵉ édition. Avec, encore une fois, beaucoup de beau monde : Laurent Garnier, ou encore Eris Drew et Octo Octa en Back to back.

Pour ce premier épisode, on vous emmène dans ce lieu mythique de Brest qu’est le Vauban. À la fois hôtel et restaurant, bar et salle de concert, ce lieu de la ville est devenu le centre névralgique de la ville. C’est là que nous avons retrouvé Gildas Rioualen, l’un des fondateurs du festival. Avec lui, retour sur cette nouvelle édition. Après cet entretien, visite guidée du Vauban en compagnie de Manu Le Malin !

Depuis 2016, la société du Grand Paris ouvre à de rares occasions les chantiers du futur métro au public, le temps d’une soirée, avec l’idée de mettre en valeur les prouesses techniques de ces chantiers monumentaux, et d’impliquer les habitants dans les changements qui touchent leur territoire.

Ces événements festifs et culturels ont été baptisés KM, pour kilomètres, (comme un symbole des kilomètres de voies qu’il reste à construire avant la mise en service du réseau d’ici 2030). Et hier soir à Sevran, c’était la 10ᵉ fête de ce genre, le KM10.

Au micro de Mahaut, José-Manuel Gonçalves représentant de la programmation artistique et culturelle du Grand Paris Express, et président du Centquatre à Paris, le designer Bastien J. Laurent, créateur du 0.93 Lab, un atelier gratuit pour amener la mode en banlieue, la slameuse George Ka, et le marcheur Vianney Delourme de l'association Enlarge Your Paris. 

On parle de métro, des enjeux du Grand Paris, de balades en banlieue, d'initiatives citoyennes, de musique, du feu d'artifice qui a illuminé le soir le chantier monumental de Sevran, ou encore du fameux gigot bitume (oui, c'est bien du gigot cuit dans du bitume en fusion), tradition des fêtes de chantier.

Ce jeudi soir, on est passé en mode Nova*Ranx à l'occasion de la sortie du nouvel album de Biga*Ranx : Eh Yo!.

À Biga, joué depuis tellement d'années sur cette antenne où il est un peu chez lui, on a donc donné carte blanche ainsi que les clefs de nos studios pour trois heures d'émission. Au programme de cette soirée menée par l'un de nos grands compagnons de route : des morceaux en exclu, des invités et des copains. Et à minuit pétante, un bon gros bordel suivi d'un bon gros mix d'Atili (frère de Biga) pour fêter la sortie de ce disque qui conforte un peu plus encore la place de ce patron du reggae digital à la française.

INTRO by ATILI 

PANAMA CARDOON - UPNAKED

ATILI - TOMORROW Ft PRENDY (ATILI REMIX)

BIGA*RANX - MAD MOVE (LILSLOW REMIX)

PLAYBOI CARTI - LOOKING Ft LIL UZI VERT (LILSLOW REMIX) 

TELLY - ALICE IN VAPORDUB

JWLES - ARGENTINE

MYD - BORN LOOSER (E DARTA REMIX)

THE CLASH - ROCK THE CASBAH Ft RANKING ROGER

NAZAMBA Ft TELLY & OBF - DO ME RIGHT

SUSANNA OKONOWSKI x ATILI - WISS 

FRENCH MONTANA Ft SWAE LEE & VYBZ KARTEL - UNFORGETABLE (BIG BAMBOO FAM MASH UP)

LETHAL BIZZLE - DAPPER DAN

BIGA*RANX - BRUCE WAYNE

BIGA*RANX - OPERA 

JOE YORKE - MIDNIGHT ROCK

OBF - THE HERBS

CHARLIE P Ft SIR WILSON - SIMMER DOWN

BIGA*RANX - MONTPELLIER

CULTURE CLUB - DO YOU REALLY WANT TO HURT ME (SPECIAL)

5NIZZA - SOLDAT

TELLY - TU ME FAIS PLEURER Ft PRINCE MERCREDI

TELLY - PERFEK REMIX

BONGO PALM - CYAN STOP WE

STICKY FINGERS - HOW TO FLY

KA’AU CRATER BOYS - YOU DONT WRITE

BIGA*RANX - 7 DAYS

OBF Ft CHARLIE P & IRAH & YUNG SABER - GLOCK

OBF Ft CHARLIE P - DONE THE THING

FOLIE à DEUX - WESTSIDE GUN Ft KEISHA PLUM

MOISTUNE Ft TELLY - CELEBR8

PETER KING - BAD MEMORY

LAURENT VOULSY - LE SOLEIL DONNE (D&H REMIX)

OBF Ft JUNIOR ROY - CONTROLE LA DANCE 

ATILI - « UNREALESED »

ATILI - « UNREALESED » 

LIL SLOW - TWIN 

LIL SLOW - TKNJUL

BIGA*RANX - TOMBé DE LA LUNE (ATILI REMIX)

ATILI - TELLY’S TRANSWORLD TRAVEL

DREXI Ft KEVNI & EDDAY - SI MANMANW TE SAV 

EDDAY - BAY KOU MOTO LA 

ROLAND CRYSTAL - EL FUEGO DE LA CATALUNYA

Ce jeudi soir, on est passé en mode Nova*Ranx à l'occasion de la sortie du nouvel album de Biga*Ranx : Eh Yo!.

À Biga, joué depuis tellement d'années sur cette antenne où il est un peu chez lui, on a donc donné carte blanche ainsi que les clefs de nos studios pour trois heures d'émission. Au programme de cette soirée menée par l'un de nos grands compagnons de route : des morceaux en exclu, des invités et des copains. Et à minuit pétante, un bon gros bordel suivi d'un bon gros mix d'Atili (frère de Biga) pour fêter la sortie de ce disque qui conforte un peu plus encore la place de ce patron du reggae digital à la française.

Un rendez-vous immanquable pour les aficionados du genre et l’équipe de Radio Nova vous fait revivre ce festival unique avec quatre interviews qui seront publiées tout au long de la semaine. 

Et on continue cette série de rencontres avec une interview de Vegyn. Artiste indépendant et mystérieux producteur qui a notamment travaillé avec Frank Ocean ou Travis Scott.

Un rendez-vous immanquable pour les aficionados du genre et l’équipe de Radio Nova vous fait revivre ce festival avec quatre interviews qui seront publiées tout au long de la semaine. 

Et on débute cette série de rencontres avec une interview de la chanteuse Maria Arnal, témoin privilégiée du rôle de ce festival pour la jeunesse et la culture catalane.  

Le road trip de Radio Nova en Irlande : Best Of 

Entre musique traditionnelle, rock, soul et hip hop la musique irlandaise n’a pas fini de vous surprendre. Pendant une semaine l’équipe de Radio Nova est allé tendre ses micros entre Dublin, Galway et Belfast. 

Le road trip de Radio Nova en Irlande : Premier arrêt, Dublin 

Et si la musique traditionnelle irlandaise occupe une place centrale dans la verte Érin, les flûtes et bodrhàn sont loin d’épuiser la diversité du paysage musical de l’île. La preuve en image et en musique avec le rappeur Glenn Denim et son compositeur Loop Heavy, que Jeanne Lacaille a rencontré dans leur boutique dédiée au streetwear à Dublin.

Mais ce séjour à Dublin aura aussi été l’occasion de découvrir l'acoustique impeccable des mythiques studios de Windmill Lane, l’ambiance chaleureuse de Temple Lane et le rock survolté de Kerbodg lors de leur passage au Whelan's. Et bien d’autres choses qu’on vous propose de découvrir dans le premier podcast de notre road trip musical.

Le road trip de Radio Nova en Irlande : Deuxième arrêt, Belfast 

Pour ce deuxième arrêt, laissez-vous guider par les voix de Winnie Ama, Yenkee ou par les rimes affutées de Big Don, rappeur et figure du hip-hop local. Et la réputation hospitalière des Irlandais n’est pas une légende. Big Don nous a accueillis chez lui le temps de l’interview, dans son appartement situé sur les hauteurs de la ville, avec une vue imprenable sur Belfast. 

Capitale de l’Irlande du Nord et berceau du Titanic, Belfast est une ville charmante en pleine effervescence et qui regorge d’artistes talentueux. La vie musicale de la ville est loin de se limiter à la scène traditionnelle et nous avons été à la rencontre de nombreux jeunes artistes qui donnent à voir et à entendre toute la diversité et la créativité des artistes de la ville. Et ce n’est donc pas un mais deux podcasts que l’on vous propose de découvrir ! 

Et nous avons fini notre séjour à Belfast sur un air de punk et de guitare saturées avec les Dea Matrona, trio punk et féministe que nous avons rencontré avant leur concert au Limelight, une salle mythique de la ville !  

Le road trip de Radio Nova en Irlande : Troisième arrêt, Galway

On peut difficilement résister au charme de Galway, porte d’entrée de la côte ouest de l’Irlande et du Connemara. Une ville à taille humaine, authentique, vibrante et festive, dans laquelle la musique est omniprésente. 

Mais les véritables stars de Galway sont les "buskers", ces musiciens de rue qui se produisent tout au long de Shop Street, où nous avons rencontré Steven et Lena. Deux jeunes buskers qui ont improvisé une session live rien que pour nous. Et c’est Lena qui nous donnera rendez-vous plus tard dans la soirée, dans un pub incontournable de Galway : The crane. 

Un de ces endroits magiques, authentiques et intimistes, dans lequel nous avons eu la chance d’assister à une session live de la célèbre flûtiste Steph Geremia. Une véritable icône de la musique traditionnelle irlandaise, qui ne joue que rarement dans ce genre d'événement. Le trèfle irlandais a dû nous porter chance. 

On espère que vous aurez voyagé autant que nous tout au long de ces podcasts et pour entendre la scène Irlandaise de vos propres oreilles rendez-vous juste ici.  

Entre musique traditionnelle, rock, soul et hip hop la musique irlandaise n’a pas fini de vous surprendre. Pour ce troisième arrêt, c'est à Galway que nous sommes allés tendre nos micros. 

On peut difficilement résister au charme de Galway, porte d’entrée de la côte ouest de l’Irlande et du Connemara. Une ville à taille humaine, authentique, vibrante et festive, dans laquelle la musique est omniprésente. 

Pour ce troisième épisode, nous sommes allés à la rencontre de Paul Doyle, luthier emblématique de la ville qui nous a accueilli dans son atelier avec Léo, son apprenti originaire du Brésil. 

Mais les véritables stars de Galway sont les "buskers", ces musiciens de rue qui se produisent tout au long de Shop Street, où nous avons rencontré Steven et Lena. Deux jeunes buskers qui ont improvisé une session live rien que pour nous. 

Et c’est Lena qui nous donnera rendez-vous plus tard dans la soirée, dans un pub incontournable de Galway : The crane. 

Un de ces endroits magiques, authentiques et intimistes, dans lequel nous avons eu la chance d’assister à une session live de la célèbre flûtiste Steph Geremia. Une véritable icône de la musique traditionnelle irlandaise, qui ne joue que rarement dans ce genre d'événement. Le trèfle irlandais a dû nous porter chance. 

Après Dublin et Belfast, Galway était la dernière étape de notre road trip musical à travers l’Irlande. Un voyage riche en émotion et en musique, que l’on était heureux de partager avec vous. 

Entre musique traditionnelle, rock, soul et hip hop la musique irlandaise n’a pas fini de vous surprendre. Pour ce deuxième arrêt, c'est à Belfast que nous sommes allés tendre nos micros, et ce n’est pas un, mais deux podcast que l’on vous propose de découvrir ! 

Capitale de l’Irlande du Nord et berceau du Titanic, Belfast est une ville charmante en pleine effervescence et qui regorge d’artistes talentueux. 

La vie musicale de la ville est loin de se limiter à la scène traditionnelle et nous avons été à la rencontre de nombreux jeunes artistes qui donnent à voir et à entendre toute la diversité et la créativité des artistes de la ville. 

Pour ce deuxième épisode, laissez-vous guider par les voix de Winnie Ama, Yenkee ou par les rimes affutées de Big Don, rappeur et figure du hip-hop local. Et la réputation hospitalière des irlandais n’est pas une légende. Big Don nous a accueilli chez lui le temps de l’interview, dans son appartement situé sur les hauteurs de la ville, avec une vue imprenable sur Belfast.

Et nous avons fini sur un air de punk et de guitare saturées avec les Dea Matrona, trio punk et féministe que nous avons rencontré avant leur concert au Limelight, une salle mythique de la ville ! 

Et pour notre dernier arrêt, c'est aux portes du Connemara, à Galway, que nous poserons nos valises.

Entre musique traditionnelle, rock, soul et hip hop la musique irlandaise n’a pas fini de vous surprendre. Pour ce deuxième arrêt, c'est à Belfast que nous sommes allés tendre nos micros, et ce n’est pas un, mais deux podcast que l’on vous propose de découvrir ! 

Capitale de l’Irlande du Nord et berceau du Titanic, Belfast est une ville charmante en pleine effervescence et qui regorge d’artistes talentueux. 

La vie musicale de la ville est loin de se limiter à la scène traditionnelle et nous avons été à la rencontre de nombreux jeunes artistes qui donnent à voir et à entendre toute la diversité et la créativité des artistes de la ville. 

Pour ce deuxième épisode, laissez-vous guider par les voix de Winnie Ama, Yenkee ou par les rimes affutées de Big Don, rappeur et figure du hip-hop local. Et la réputation hospitalière des irlandais n’est pas une légende. Big Don nous a accueilli chez lui le temps de l’interview, dans son appartement situé sur les hauteurs de la ville, avec une vue imprenable sur Belfast.

Et nous avons fini sur un air de punk et de guitare saturées avec les Dea Matrona, trio punk et féministe que nous avons recontré avant leur concert au Limelight, une salle mythique de la ville ! 

Et pour notre dernier arrêt, c'est aux portes du Connemara, à Galway, que nous poserons nos valises.

Ce week-end, Radio Nova vous parlait en vivant depuis le festival Marsatac, à Marseille (bébé). Une institution depuis 1999.

Cette édition investissait le parc Borély, un espace vert de 18 hectares bien connu des marseillais. 

Notre émission démarre avec une foule en délire pour le rappeur Zamdane, qui jouait ce soir là à domicile, mais on a aussi vu Damso, Laylow, Oboy, M.I.A, La Fève, Laurent Garnier, Central Cee, The Blessed Madonna…

On a discuté avec Joanna, Babysolo33, Mara, Dub Striker, Marina Trench, Calling Marian, Vazy Julie, Marc Brielles, coordinateur de l’application SAFER, qui lutte contre le harcèlement et veille à la sécurité des festivaliers, et Mathieu Fonsny, programmateur historique du festival et de bien d’autres… 

Autre phénomène de cette 24ème édition, la scène de la Frappe, pensée tout spécialement pour la scène rap émergeante de la cité phocéenne. Pas vraiment de scène, rappeurs et festivaliers se mêlent dans un joyeux bordel. On en a discuté avec deux de ces futurs Kings du rap marseillais, Stony Stone et Achim, Margot Maccario, programmatrice du tremplin, et… Faf La Rage, s’il vous plaît, parrain du projet (et de plein d’autres trucs). 

Enfin, pour vous donner la meilleure idée possible de Marsatac, on a visité avec la maîtresse de maison, Béatrice Desgrandes, fondatrice du festival. Une visite guidée du parc Borély et de cette 24ème édition de Marsatac. À l’année prochaine, on a déjà hâte. 

C'est tout ? NON !

On avait une scène pour nous tout le dimanche, la scène de la Prairie, où Toots, Malo Williams, Minor Black, PPJ, Days In Orbit et Get A Room! se sont succédés. C'était incroyable de faire danser les marseillais. Vous étiez pas là ? Voici des photos :

Entre musique traditionnelle, rock, soul et hip hop, la musique irlandaise témoigne d’une diversité sans failles. Alors, embarquez avec nous à la découverte des différentes facettes de l’Irlande musicale et des artistes qui la font vivre. Pour ce premier podcast, Jeanne Lacaille est allée tendre son micro dans les pubs et les rues animées de Dublin.

Bien que Dublin soit la capitale du pays, elle reste une ville chaleureuse et animée, à l’image de ses pubs. Bordée de montagnes et traversée par la rivière Liffey, Dublin est une ville portuaire, ouverte sur la mer d’Irlande et sur l’horizon.

Et si la musique traditionnelle irlandaise occupe une place centrale dans la verte Érin, les flûtes et bodrhàn sont loin d’épuiser la diversité du paysage musical de l’île. La preuve en image et en musique avec le rappeur Glenn Denim et son compositeur Loop Heavy, que Jeanne Lacaille a rencontré dans leur boutique dédiée au streetwear.

Mais ce séjour à Dublin aura aussi été l’occasion de découvrir l'acoustique impeccable des mythiques studios de Windmill Lane, l’ambiance chaleureuse de Temple Lane et le rock survolté de Kerbodg lors de leur passage au Whelan's. Une soirée durant laquelle le niveau sonore des enceintes nous aura probablement fait perdre quelques décibels à chaque oreille, mais le spectacle valait le coût ! 

Tout un programme que l’on vous propose de découvrir dans ce premier épisode d’une série de quatre podcasts dédiés à la musique irlandaise. Et pour le prochain arrêt, c'est à Belfast que nous poserons nos valises. 

Dans le cadre de la première édition du Bal de Nova, Radio Nova était direct de Montpellier, toute la journée. Nous nous sommes installés le 29 avril aux Halles Laissac, entourés de primeurs, fleuristes, boulangers, charcutiers, poissonniers.

Un Nova jour se lève, avec le soutien de Montpellier Métropole dans le cadre de la candidature de la ville au titre de capitale européenne de la culture pour 2022.

Des interviews pour découvrir les lieux et évènements de la ville, des rencontres et des infos insolites... Une belle matinale à Montpellier en perspective.

Radio Nova a posé ses valises sur l’île Séguin, à l’immense Seine Musicale de Boulogne Billancourt, pour cette 34ᵉ édition du Festival Chorus. C’était l’un des premiers festivals de l’année, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il aura lancé la saison avec brio.

Le Chorus, c’est une programmation éclectique et ambitieuse, qui rassemble plus de 60 artistes. Quatre jours, durant lesquels se côtoient de grands noms comme IAM ou Paul Kalkbrenner, et des étoiles montantes comme La Fève ou November Ultra.

Le festival a commencé dès le mercredi 6 avril avec le “Chorus Des Enfants”. Une journée consacrée aux (très !) jeunes, qui proposait de nombreux ateliers dédiés à la musique et pensés pour des enfants. C’est notamment à cause de cet atelier que vos gamins se la jouent DJ à la maison depuis mercredi dernier…

On a aussi rencontré David Ambibar, le programmateur du festival. Il est revenu avec nous sur les coulisses, et sa vision pour cette nouvelle édition. 

L'univers musical du Festival Chorus fait la part belle aux artistes confirmés, mais aussi à la scène émergente avec l’Emergence Day. Une journée organisée le jeudi 7 avril, et consacrée aux professionnels de la musique et à la jeune création. C’est pendant l’Emergence Day qu’a eu lieu le Prix Chorus. Une compétition dédiée aux artistes en développement et remportée cette année par Zao de Sagazan. Une chanteuse nantaise “écorchée vive” qui bénéficiera d’une aide financière et des résidences artistiques au sein de La Seine Musicale durant un an. 

On a aussi discuté avec le rappeur et beatmaker Moussa, après son passage sur la petite scène de La Seine Musicale. Et on a interviewé les Waykiki Boys, Kutu, French 79, Ben PLG, Lucie Antunes et Laeti. La jeune rappeuse nous a d’ailleurs annoncé en exclusivité, la date de sortie de son premier album Un Jour Avec, Un Jour Sans, le 6​​ mai prochain ! 

Bref, on a passé un très bon moment à La Seine musicale. Cette nouvelle édition du Chorus nous aura régalé et on attend avec impatience l’année prochaine. Cette émission live devrait achever de vous convaincre, et on espère vous croiser à Boulogne en avril 2023.

Une émission animée par Kenza Naaimi et Smaël Bouaici, réalisée par Tristan Guérin.

Le droit fondamental à l’eau et à l’assainissement n’est toujours pas reconnu en France dans sa constitution.  

Pour la Journée mondiale de l’eau, nous avons rencontré Yvonne Takang experte plaidoyer et Bram Riems référent technique eau, assainissement et hygiène, tout deux pour Action contre la Faim.

Exigez des Etats qu’il reconnaissent et appliquent le droit à l’eau et à l’assainissement accessible et abordable. 

L’eau pour toutes et tous d’ici 2030.  

Retrouvez les actions d'Action contre la Faim sur actioncontrelafaim.org.

Mise en scène inédite de son dernier album “Shape of the fall” avec une orchestration complète, Piers Faccini explore les nombreux liens entre blues, sonorités traditionnelles d’Afrique et de méditerranée en fusionnant à merveille folk anglaise, pulsations gnaouas et quatuor à cordes. À ses côtés, les musiciens gnawas, figures du guembri, Malik Ziad et Mehdi Nassouli. Le batteur Simone Prattico avec les talentueuses Juliette Serrad au violoncelle et Séverine Morfin à l’alto, rejoint par le quatuor lyonnais Emana (les violonistes Laurent Pellegrino et Joschka Fléchet-Lessin, l’altiste Vincent Verhoeven et le violoncelliste Sylvain Linon). Guidé par le chanteur et guitariste anglo-italien, l’ensemble nous embarque dans un voyage captivant fait d’ambiances mélancoliques ou de transe. Cette complainte musicale de presque deux heures, jouée et chantée par Piers Faccini et son orchestre, s’interroge sur ce monde en mutation, au bord de l’effondrement, tout en nous donnant des notes d’espoir et de guérison par ces rythmiques et mélodies.

Au micro de Mathieu Girod, Piers Faccini et Richard Robert reviennent sur les prémices de cette création suivi du concert (à écouter absolument en ces temps de tensions). 

L'occasion pour Néo Géo Nova de fouiller dans ses souvenirs radiophoniques et d'écouter un des pères de la rumba congolaise, Wendo Kolosoy, au moment où le festival Fame diffusait le film Rumba Kings d'Alain Brain à Paris. Ce weekend, rendez-vous à Marseille, à La Baleine, pour de nouvelles projections et un mix de Secousse. 

De passage en 2000 lors de la parution de l’album Marie-Louise, Wendo, venu en trio, s'emparait du Salon de musique de Néo Géo après avoir répondu aux questions de Bintou Simporé accompagnée par un grand connaisseur des musiques congolaises, Manda Tchebwa et le deejay MC Iba. 

Voici “Namonie pasi mingi” et “Youyou aleli veka”, fruits de l’album Marie-Louise, nouveaux enregistrements de ses tubes au 4e Marché des Arts du Spectacle d'Abidjan (Masa) en collaboration avec Christian Mousset et son label Indigo.

Antoine Kolosoyi dit Wendo Sor - référence au Duc de Windsor - puis Wendo tout court, nous a quitté en 2008 à l’âge de 83 ans. Pionnier de la rumba congolaise à partir des années 50, une époque qui fut même appelée Tengo Ya Ba Wendo soit en lingala, “le temps des Wendo“. Celui que l’on surnomme “Mwana Léo“, l’enfant de Léopoldville (l’ancien nom de Kinshasa) fut connu avec son titre “Marie-Louise“, dont la musique dit-on ressuscitait les morts… 

 Tracklist

Wendo Kolosoy - Marie Louise

Wendo Kolosoy - Kinshasa

E.T Mensah - All for You  

Wendo Kolosoy - Pépé Kalle

Wendo - Paul Kamba Atiki Biso

Wendo Kolosoy - Namonie pasi mingi (Live à Radio Nova en 2000 avec Willy Makonzo Nzofu au congas et Missy Vula à la guitare)

Wendo Kolosoy- Youyou aleli veka (Live à Radio Nova en 2000 avec Willy Makonzo Nzofu au congas et Missy Vula à la guitare)

Depuis Clermont-Ferrand, le court métrage...

Au programme de cette émission délocalisée nous avons reçu successivement :

Para One (producteur de musique et réalisateur de film, habitué de Radio Nova), il était jury Labo du festival. 

Aurélie Reinhorn et Noemi Zurletti pour "Son Altesse Protocole" lauréat du prix Télérama du Festival. 

Guirec Feuvrier notre Tintin reporter est allé interviewer des festivaliers en mode micro trottoir...

Caroline Guiela Nguyen, réalisatrice du court métrage "Les Engloutis".

Martin Jauvat, réalisateur de "Grand Paris Express".

Une émission présentée par Sophie Marchand, et réalisé par Juste Céleste.

Depuis Clermont-Ferrand, le court métrage...

Au programme de cette émission délocalisée : 

Tim Redford nous présente cette nouvelle édition du festival « une édition focus sur le cinéma espagnol et pas moins de 55 films internationaux ».

La productrice Pauline Seigland nous explique en quoi consiste son métier au sein de Grand Huit Production. 

Aaron Dhegaud, du haut de ses 12 ans nous raconte (comme une star) comment il a été amené à jouer le rôle principal du film "Dylian", il est accompagné du réalisateur du film Jérémie Dubois. 

Nous avons aussi reçu la team du film "La Flûte Enchantée" : le réal Geordy Coututiau et les deux acteurs Guillaume Dietrich (que vous connaissez sur Radio Nova avec son alias musical Muddy Monk et Esdras Registe. 

Une émission présentée par Sophie Marchand, et réalisé par Juste Céleste.

À l’occasion de la 6e édition des Nuits de la lecture 2022, organisée par le Centre National du Livre sur proposition du ministère de la Culture, Richard Gaitet a demandé à Catastrophe, Mansfield TYA, Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, La Féline, Musique Post-Bourgeoise et Clara Ysé de nous raconter l’amour. 

Retrouvez vos artistes préférés chaque après-midi du 17 au 21 janvier 2022 dans l’émission Nova Lova présentée par Jeanne Lacaille et lors d’une émission spéciale le 20 janvier 2022 présenté par Richard Gaitet, et le tout est à réécouter en podcast.

Délivrez-vous ! C’est l’heure du NovAmour. Pour la 6e édition des « Nuits de la Lecture » – plus de 2000 événements en France et à l’étranger, autour du plaisir de lire, du 20 au 23 janvier – nous avons demandé à nos musicien.ne.s préféré.e.s de choisir, lire et commenter une ou deux pages tirée dans leur bibliothèque idéale, un roman ou un poème qui illustre une vision singulière du sentiment amoureux. Bonus tendresse : ces artistes ont mis en musique ces lectures rien que pour Nova. C’est ce qui vous attend dans l’heure : sept créations inédites signées Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, Mansfield.TYA, La Féline, Blandine Rinkel et Piero, Clara Ysé et Musique Post-Bourgeoise. Comme l’a écrit Dame Brigitte Fontaine : « Faites l’amour, pas la gueule ! » 

Par ordre d’apparition dans vos oreilles : 

Mansfield.TYA lit Noir volcan de Cécile Coulon et un poème d’Ôtomo no Yakamochi. 

Brigitte Fontaine lit Les fruits confits, tiré de son recueil La vieille prodige.

Léonie Pernet lit La Maison de l’inceste d’Anaïs Nin et des fragments mêlés des Feuillets d’Hypnos, de Fureur et Mystère et d’En trente-trois morceaux de René Char. 

Blandine Rinkel et Pierõ lisent Shuggie Bain de Douglas Stuart. 

La Féline lit Thérèse et Isabelle de Violette Leduc. 

Musique Post-Bourgeoise lit Si je t’oublie de Morgan Sportès. 

Clara Ysé lit Marthe de René Char. 

Une émission imaginée et présentée par Richard Gaitet, réalisée par Juste Bruyat. 

Tous les événements : nuitdelalecture.culture.gouv.fr

Image : La Lectrice, de Michel Deville (1988)

À l’occasion de la 6e édition des Nuits de la lecture 2022, organisée par le Centre National du Livre sur proposition du ministère de la Culture, Richard Gaitet a demandé à Catastrophe, Mansfield TYA, Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, La Féline, Musique Post-Bourgeoise et Clara Ysé de nous raconter l’amour. 

Retrouvez vos artistes préférés chaque après-midi du 17 au 21 janvier 2022 dans l’émission Nova Lova présentée par Jeanne Lacaille et lors d’une émission spéciale le 20 janvier 2022 présenté par Richard Gaitet, et le tout est à réécouter en podcast.

À l’occasion de la 6e édition des Nuits de la lecture 2022, organisée par le Centre National du Livre sur proposition du ministère de la Culture, Richard Gaitet a demandé à Catastrophe, Mansfield TYA, Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, La Féline, Musique Post-Bourgeoise et Clara Ysé de nous raconter l’amour. 

Retrouvez vos artistes préférés chaque après-midi du 17 au 21 janvier 2022 dans l’émission Nova Lova présentée par Jeanne Lacaille et lors d’une émission spéciale le 20 janvier 2022 présenté par Richard Gaitet, et le tout est à réécouter en podcast.

À l’occasion de la 6e édition des Nuits de la lecture 2022, organisée par le Centre National du Livre sur proposition du ministère de la Culture, Richard Gaitet a demandé à Catastrophe, Mansfield TYA, Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, La Féline, Musique Post-Bourgeoise et Clara Ysé de nous raconter l’amour. 

Retrouvez vos artistes préférés chaque après-midi du 17 au 21 janvier 2022 dans l’émission Nova Lova présentée par Jeanne Lacaille et lors d’une émission spéciale le 20 janvier 2022 présenté par Richard Gaitet, et le tout est à réécouter en podcast.

À l'occasion de la 6e édition des Nuits de la lecture 2022, organisée par le Centre National du Livre sur proposition du ministère de la Culture, Richard Gaitet a demandé à Catastrophe, Mansfield TYA, Brigitte Fontaine, Léonie Pernet, La Féline, Musique Post-Bourgeoise et Clara Ysé de nous raconter l’amour.

Retrouvez vos artistes préférés chaque après-midi du 17 au 21 janvier 2022 dans l'émission Nova Lova présentée par Jeanne Lacaille et lors d'une émission spéciale le 20 janvier 2022 présenté par Richard Gaitet, et le tout est à réécouter en podcast.

Co-fondateur de Radio Ivre puis réalisateur, deejay, co-directeur des programmes au début des années 80, il a contribué à façonner la bande-son de Nova durant 10 ans.

Il nous a enrichi de ses passions pour le reggae et pour moultes musiques africaines, orientales, caribéennes… Et autres beautés tous azimuts qu’il s’est attaché à jouer, mixer et promouvoir dans ces années où explosait ce que Nova et le magazine Actuel ont appelé la sono mondiale. Soit l’ouverture à tous les sons du monde, parmi lesquels toutes ces musiques urbaines qui n’avaient pas droit de cité jusqu’alors sur les radios traditionnelles, avant la libération des ondes FM. 

Grâce aux témoignages des proches avec lesquels Patrick a collaboré - Patrick Van Troyen, co-fondateur de Radio Ivre et Papa Gideon, Jean-Jacques Mandel, journaliste et animateur des Nuits noires  de Nova, le directeur artistique Martin Meissonnier, le deejay Dee Nasty et la photographe Françoise Huguier -, Nova vous embarque dans un grand mix musical composé des morceaux que Patrick Leygonie a aimé toute sa vie, et qu’il nous a légué dans une compilation réalisée quelques jours avant son décès. 

Une émission réalisée par Guillaume Girault, proposée par Bintou Simporé et Isadora Dartial.

Playlist 

Junior Murvin - police  and thieves 

Coupé Cloué - International /Colé Colé 

Instru Fela - Shakara (Oloje)

LKJ - Di Black Petty Boujwa

Mama Sissoko - Hommage à K 

Dont le Mix Special Raggamuffin français par Dee Nasty for Leygo :

Puppa Leslie - Paris dans la danse (inédit de 1986 produit par Dee Nasty) 

Saxo - Ne te laisse pas engrainer (inédit de 1992 produit par Dee Nasty)

Capt. Remo - Me No Fool (produit par Bobby Konders en 1992)

Super Cat - Don Dada (1992) 

Cutty Ranks - Limb By Limb (1993)  

Mad Cobra - Big Long John (1996) 

Mightys Clamp - Jump (1993) 

Extrait Mix Lee “Scratch“ Perry (Live à Nova en 1987)

Jah Lion - Fat Man (1969 prod. Lee Perry)

Dont des extraits de la Compilation LEYGO, un dernier verre pour la route (préparée avec ses enfants Wally & Ines) : 

Harry Nilsson - Coconut

Ella Fitzgerald & Louis Armstrong - Can Anyone Explain ? 

Fats Domino - My Girl Josephine 

The Beatles & Billy Preston - Get Back 

Karl Bryan & The Afrokats - Money Generator

Amr Mustapha - Lak, Lak, Lak

Bembeya Jazz National - Doni Doni 

Cette émission spéciale en hommage à notre confrère et ami Patrick Leygonie a été réalisé par Guillaume Girault, avec les témoignages de Patrick Van Troyen, Papa Gideon, Françoise Huguier, Jean Jacques Mandel, Martin Meissonnier, Grand Master Dee Nasty et la participation de François Dayre, Judah Roger, Bastien Stisi, Esteli Hernandez Ortiz, Sophie Marchand et Mélanie Mallet. Merci à Wally et Ines Leygonie pour les musiques.

Disparu récemment à l’âge de 83 ans, Pierre Rabhi s’était déplacé dans nos studios début 2014. 

Au micro de Jean Croc et Nicolas Errèra, ce pionnier de l’agroécologie était l’invité de l’émission “Le Pudding“, à l’occasion de la sortie du livre Pierre Rabhi, semeur d’espoirs (éd. Actes Sud) co-écrit avec Olivier Le Naire. Nous ressortons cette interview en guise d’hommage. 

Pierre Rabhi dans Le Pudding, extraits :

« Être cohérent c’est très difficile. Je circule en voiture, alors que je déplore la pollution. Je m’éclaire à l’électricité alors que je déplore les centrales nucléaires. Je crois qu’on est tous un petit peu piégé par ces contradictions que l’Histoire nous a imposé. Et à côté de cela, il y a tous ce que nous pouvons faire pour être dans la cohérence, on tente de le faire mais dans un contexte d’incohérence quand même. »

« Ma préoccupation, c’est que l’humanité n’est plus en phase avec les lois de la vie, de la continuité. On a essayé de faire une espèce de ratio temporel en prenant 24H de la naissance de la planète à son évolution : le phénomène humain représente seulement 2-3 minutes » 

« La grande question est de savoir si notre espèce a été la bienvenue, si elle a été positive ou négative par rapport à l’évolution de la planète toute entière, depuis l’origine. (…) Est-ce que nous sommes capables - l’aventure humaine globale - de s’ajuster avec les réalités de la planète telle qu’elle est, avec ses exigences ? »

Nous étions à Saint-Etienne pour la 5e édition du Positive Education, un des festivals électroniques les plus défricheurs de l’Hexagone, et qui s’est tenu du 9 au 13 novembre à la Cité du Design. 

Smaël Bouaici et Malo Williams ont passé toute la soirée de vendredi à arpenter, micro en main, les trois scènes de la Cité du design, une ancienne manufacture d’armes, pour prendre le pouls de ce rassemblement qui fait la fierté de la scène électronique française.

On y a croisé des têtes connues des auditeurs de Nova comme Jennifer Cardini ou Flore, qui est venue en voisine depuis Lyon, mais aussi le duo de DJ américaines Octo Octa et Eris Drew, des diggeuses à la collection impressionnantes, ou encore Pessimist, Zoë Mc Pherson et d’autres noms plus obscurs à retrouver bientôt dans les festivals plus grand public. 

Dans le studio mobile de Radio Nova, nous avons reçu le prodige français de la bass music anglaise Simo Cell, deux des fers de lance de la techno hexagonale, version new school avec la DJ Anetha, et version old school avec Manu le Malin, ainsi que les programmateurs du festival Charles Di Falco et Antoine Hernandez, qui nous ont expliqué comme le Positive Education faisait pour toujours avoir un temps d’avance sur les autres.

Nous étions à Saint-Etienne pour la 5e édition du Positive Education, un des festivals électroniques les plus défricheurs de l’Hexagone, et qui s’est tenu du 9 au 13 novembre à la Cité du Design. 

Smaël Bouaici et Malo Williams ont passé toute la soirée de vendredi à arpenter, micro en main, les trois scènes de la Cité du design, une ancienne manufacture d’armes, pour prendre le pouls de ce rassemblement qui fait la fierté de la scène électronique française.

On y a croisé des têtes connues des auditeurs de Nova comme Jennifer Cardini ou Flore, qui est venue en voisine depuis Lyon, mais aussi le duo de DJ américaines Octo Octa et Eris Drew, des diggeuses à la collection impressionnantes, ou encore Pessimist, Zoë Mc Pherson et d’autres noms plus obscurs à retrouver bientôt dans les festivals plus grand public. 

Dans le studio mobile de Radio Nova, nous avons reçu le prodige français de la bass music anglaise Simo Cell, deux des fers de lance de la techno hexagonale, version new school avec la DJ Anetha, et version old school avec Manu le Malin, ainsi que les programmateurs du festival Charles Di Falco et Antoine Hernandez, qui nous ont expliqué comme le Positive Education faisait pour toujours avoir un temps d’avance sur les autres.

Victoire de la Marseillaise Laura Vazquez lors de la dixième cérémonie de remise du plus sérieusement absurde des prix littéraires, en public, à bord de la péniche Grande Fantaisie à Paris.

Parce qu’un bon livre, ouvert à n’importe quelle page, doit pouvoir amuser, intriguer, instruire, choquer, blesser ou tourmenter son lecteur ou sa lectrice, et parce qu’à la page 111 de la pièce de théâtre Rhinocéros d’Eugène Ionesco on trouve ces deux mots magiques : « pourquoi pas ? », un jury impartial, méthodique et porté sur un certain fétichisme numérologique, a créé en 2012 sur l’antenne de Radio Nova, devinez quoi, le désormais célèbre Prix de la Page 111. 

Principes fondateurs : il s’agit d’examiner attentivement toutes les pages 111 de tous les romans écrits en langue française et publiés dans notre beau pays entre la fin du mois d’août et avant-hier, en considérant, c’est très important, cette page 111 comme une œuvre d'art à part entière, du premier au dernier mot, du premier au dernier signe de ponctuation, comme si l’auteur ou l’autrice n’avait rien écrit d’autre. En analysant cette page avec des techniques de pointe, en évaluant le style, le vocabulaire, la psychologie des personnages, la qualité des dialogues… De manière à la fois objective et forcément très subjective, pour tenter de répondre à ces questions : est-ce que la partie vaut pour le tout ? Est-ce que l’art de l’écrivain, sa maîtrise de la langue, des caractères et des situations, peut aussi se lire dans les détails, sur un fragment, sur une seule page ?

« Si le sommeil venait sur moi, c’est sûr, il me tuerait. » Au réveil d’une cérémonie onirique de 181 minutes dans la cale chavirée de la péniche Grande Fantaisie à Paris, la réalité se fige et prend perpétuité : le Prix de la Page 111 édition 2021 a bel et bien été attribué à Laura Vazquez pour celle de son premier roman « La Semaine perpétuelle », publié aux Éditions du sous-sol. Reflétant l’étrangeté naturelle de nos explorations numériques, sa page raconte essentiellement l’histoire vraie d’un Vietnamien qui n’a pas dormi depuis 43 ans, vivant donc 2 vies par jour en se sentant « comme une plante sans eau », parfois filmé par 10 caméras. « De tout le livre, c’est le seul personnage que je n’ai pas inventé », nous a confié l’autrice, arrivant de Marseille et aussi étonnée que nous.

Outre sa page encadrée, Laura Vazquez remporte une dotation exceptionnelle de 111 centimes en pièces de 1 centime offertes par Boualem dit Bob du « Dream Café », ce qui ne s’invente pas, ainsi qu’une résidence de 11 mois et 11 jours dans l’émission « Alpha Beta Nova » présentée quotidiennement par Sophie Marchand sur Radio Nova.

Notons qu’une mention spéciale pour le prix du meilleur nom de personnage a été proclamée en croquant dans une chenille congolaise pour récompenser « Croustine », sujet de l’unique phrase de la page 111 du roman Tu aimeras ce que tu as tué du Québécois Kevin Lambert paru aux éditions Le nouvel Attila.

Notons enfin que le pilote de la version enfants de notre aventure, Le Prix de la Page 11, animée par deux grandes lectrices de 11 ans, Rose Gallic et Coline Miroux, partageant au micro de François Perrin leur expertise en littérature jeunesse, s’est avéré joliment concluant. C’est déjà l’heure du petit remplacement. Et cela nous bouleverse au plus haut point.

Le jury 2021, pas pressé d’aller dormir : Marguerite Demoëte, Richard Gaitet, Bertrand Guillot, Guillaume Jan, Estelle Nollet, Victor Pouchet, Claire Richard.

Une émission imaginée par Richard Gaitet et réalisée par Juste Bruyat avec l’aide de Melvin Schlemer. Habillage sonore : Guillaume Girault & Juste Bruyat. Programmation musicale : Romain BNO. Comédien.ne.s : Tania Dessources, Angeli Hucher de...

Labelle : "notre rêve, organiser un servis kabaré digital pour honorer nos ancêtres à notre manière"

Depuis quelques années, une scène musicale fait beaucoup parler d'elle à La Réunion : la scène digital kabar qui, si elle a émergé discrètement il y a quelques années sous l'impulsion d'artistes comme Labelle, est en train de muter en véritable mouvement - grâce au festival Electropicales et au label InFiné notamment qui sortait l'excellente compilation Digital Kabar en 2019, tremplin majeur pour de nombreux producteurs réunionnais. Aujourd'hui, les fers de lance de la scène digital kabar s'exportent dans le monde entier, avec le soutien des anciens et des piliers du maloya traditionnel. Mais si les outils de production sont électroniques et modernes, les artistes ne se sont pas coupés pour autant de la dimension spirituelle du maloya et rêvent à présent d'honorer leurs ancêtres à leur manière avec un servis kabaré (cérémonie d'hommages aux ancêtres) 100% digital. Dans Nova Lova, on ausculte les rêves et les dynamiques de cette scène passionnante avec Labelle et Boogzbrown. 

Dey : "À La Réunion, les murs koz créole et il y a de plus en plus de femmes qui osent !"

Quelques jours après la fin de la 3e édition du Réunion Graffiti Festival à Saint-Denis de La Réunion, Nova Lova invite à son micro deux piliers de la scène street-art réunionnaise : le pionnier Eko et la graffeuse femme debout Dey. 

L'un a commencé à la fin des années 80, lorsque la déferlante graf' a frappé l'île de plein fouet, quant à Dey, c'est grâce au hip-hop qu'elle a rejoint le mouvement. Au micro, tous deux reviennent sur ces foisonnantes années d'émergence mais se réjouissent aussi de la vitalité et de la créativité de la communauté street-art réunionnaise aujourd'hui. Ouverte et intergénérationnelle - de plus en plus de seniors se mettent au graf' - la scène street-art a des choses à dire et en créole en plus : racines, Histoire, métissage, féminisme et regards sur la gestion politique de la crise sanitaire... Les murs de La Réunion parlent fort et les couleurs pètent, "comme le volcan" ajoute Dey ! Au point qu'un nouveau festival vient de voir le jour dans le sud de l'île, le Run Colorz Festival, dont la 2e édition conçue comme un tremplin se tiendra du 5 au 14 novembre. 

À quelques jours de l’ouverture de la COP26 à Glasgow, la conférence sur le climat qui s’ouvrira en Écosse ce dimanche 31 octobre, on s’intéresse aux luttes écolos en cours en ce moment sur l’Île de La Réunion et laissez-moi vous dire qu’il y a de quoi faire, tant et si bien qu’il m’a même été difficile de choisir un sujet.

À Manapany, un hôtel de luxe est en train de sortir de terre, condamnant une plage sauvage très populaire et les 3000 individus restants d’une espèce de geko déjà en voie d’extinction. Un peu plus loin sur la Plaine des Caffres, un plateau à mi-chemin entre la haute-montagne et la forêt tropicale, c’est un genre de zoo touristique qui est en train d’être mis sur pied… et je pourrai continuer comme ça pendant 10 minutes encore. Alors bien sûr, les associations écolos n’hésitent pas à monter au créneau pour dénoncer ces mises en danger de la biodiversité, un scandale pour certains réunionnais qui regrettent d’ailleurs que l’île ait raté le virage du développement durable au début des années 2000.

D’après un rapport de l’Insee publié tout récemment, le 8 octobre 2021, et relayé dans les colonnes du journal indépendant réunionnais Le Tangue, la bétonisation intensive est en train de dégrader fortement l’environnement ici à la Réunion : la tâche urbaine qui couvrait environ 8% de l’île en 1997 grignote aujourd’hui près de 13% du territoire, rognant sur les habitats naturels de nombreuses espèces sauvages (en sachant qu’un quart des espèces animales et végétales sont déjà menacées à la Réunion) et limite l’écoulement naturel des eaux, ce qui risque, selon l’Insee, d’augmenter le nombre d’inondations, déjà prévisibles à cause de l’augmentation du niveau des océans d’ici à quelques années.

Pour me rendre compte de la réalité du terrain, je suis partie à la rencontre de Chris, un activiste écolo que je retrouve à Saint-Pierre de la Réunion, au sud, sur la toute première ZAD de l’île.

Brandon Gercara : "la communauté LGBT réunionnaise donne du courage aux autres DOM-TOM, nous ouvrons la voie queer et décoloniale à la fois". 

En 2018, une étude publiée par Le Refuge rapportait que 63% des membres de la communauté LGBT réunionnaise avaient déjà subi des violences verbales et/ou physiques au moins une fois au cours de leur vie. 

Mais ça, c'est peut-être bientôt du passé grâce à Brandon Gercara qui ne ménage pas ses efforts pour sortir les sien.ne.s du fénwar. À tout juste 25 ans, Brandon Gercara ne recule devant rien, iel qui se définit comme "pédé, versatile et zoréole avec des croyances religieuses malgaches et comoriennes, artiste plasticien, performer, chercheur décolonial et activiste queer". Iel a notamment fondé le collectif Requeer, une plateforme d’échange, de rencontre, de réflexion et de lutte, pour favoriser la visibilité de “ces corps colonisés, ces corps queers, ces corps d’à côté” pour reprendre le titre de son mémoire de recherche. Après avoir organisé la première Marche des Fiertés à La Réunion le 16 mai 2021, aujourd'hui Brandon Gercara travaille activement à la création du tout premier centre LGBTQIA+ de l'Océan Indien, avant de lancer la Semaine Kwir du 6 au 12 décembre à Saint-Denis de La Réunion. Au programme : ball voguing, conférences, débats et ateliers lip-sync... 

Comme le dit Aurus : soyez fier.e.s, libres et indomptables !

Au micro Jeanne Lacaille, Brandon Gercara et le musicien réunionnais Aurus - dont on découvre à l'antenne le personnage drag, la fabuleuse Piyonté - témoignent des avancées récentes et du chemin qu'il reste encore à parcourir à La Réunion.

24H à peine après la fin des Electropicales... Coup d'envoi du WOW Creative Festival, un tout nouveau rendez-vous dédié à l'art contemporain et digital à La Réunion. Une première !

Thomas Bordèse : "On a créé le WOW pour que tous les jeunes artistes réunionnais.e.s osent se lancer et s'imaginent exposer là, en plein milieu de leur ville, un endroit qu'ils aiment."

Créé par Thomas Bordèse (Electropicales) et le street-artist Eko (Réunion Graffiti), le WOW investit le Barachois, parc et promenade très populaire à Saint-Denis de La Réunion. Un lieu d'exposition audacieux et ouvert sur l'Océan Indien qui invite à entrer en contact avec de nouveaux horizons. L'espace muséal est réinventé, libéré, pour donner vie à des œuvres parfois monumentales. Ici, cinq énormes containers de fret et là, des centaines de portes récupérées dans les décombres d'anciens logements sociaux récemment rasés à Saint-Paul et réhabilitées en œuvre collective. Point bonus pour digital, mis à l'honneur de la direction artistique du festival - pas étonnant vu l'amour des Electropicales pour la palpitante scène "digital kabar", relecture 3.0 du répertoire traditionnel maloya en tête. L'objectif pour les créateurs du WOW : surprendre, provoquer des rencontres, créer des vocations pourquoi pas, soutenir et réunir les artistes invité.e.s - européens et réunionnais ensemble. On a notamment rencontré Blindoff, qui peint ses volcans chéris avec de la lumière et une impressionnante technique de mapping-vidéo 100% écolo.

C'était dans Nova Lova, au micro de Jeanne Lacaille avec Juste Bruyat à la coordination et Théo Sébald à la coordination.

Samedi, Radio Nova était en direct depuis la 65e édition du Salon de Montrouge. Le rendez-vous incontournable de "l’art contemporain de demain" du 22 au 31 octobre en accès libre au Beffroi de Montrouge.

Au pied de l’œuvre “Le saut de l’ange” imaginée par Moebius, les principaux acteurs de ce salon annuel sont passés au micro de la journaliste Anna Flori-Lamour. Au programme, l'un des directeurs artistiques, Ami Barak, le maire de Montrouge Étienne Lengereau ou encore quelques-uns des 50 jeunes artistes internationaux exposé·es.

La lauréate du Grand Prix du Salon - Palais de Tokyo était avec nous à l'antenne ! L'artiste brésilienne Lívia Melzi a présenté son œuvre “Qu’il était bon mon petit français”, une rencontre de deux cultures alimentaires : l’art de la table français et le rituel anthropophage Tupinambá.

L’artiste camerounais Jeanne Kamptchouang, lauréat du Prix Production Orange Rouge, était également présent pour un échange croisé avec l’artiste colombienne Camila Rodriguez Triana.

Pour la première fois de l'histoire (!), Étienne de Crécy et Boombass se retrouvaient ensemble en interview. Et c'est évidemment dans le Nova Club de David Blot que ça se passait. On a appelé cette rencontre très spéciale Le Patron est devenu fou, une émission où les deux légendes en ont profité pour nous offrir un DJ set en B2B pendant deux heures ! Classiques des années 90 et pépites au rendez-vous. 

Dernier épisode de cette visite festive de chantier, où se construit la ville du futur ! Le prétexte à cette soirée, c’était le baptême du nouveau tunnelier de la ligne 18, alors on a eu envie de faire connaissance avec la marraine de ce gros bébé… On a aussi rencontré un groupe d’étudiants de l’Ecole d’Urbanisme de Paris, ils ont 20 ans, et ils sont plutôt bien placés pour nous dire comment ils l’imaginent, eux, la ville du futur !

Voilà notre visite du chantier du tunnel de la ligne 18, c’est fini pour aujourd’hui. Le chantier du Grand Paris Express lui continuera jusqu’en 2030 et vous pouvez suivre l’évolution des projets sur leur site ici.  

On continue notre visite des coulisses du chantier de la future ligne de métro 18 à Massy, où une grande fête était organisée en l'honneur du nouveau tunnelier de la ligne 18. 

Dans ce deuxième épisode, on rencontre des ouvriers qui nous expliquent à quoi ça sert un tunnelier, et on assiste à la cuisson du traditionnel repas de chantier, le gigot-bitume…

Cet après-midi, on vous emmène à Massy, dans le sud de la banlieue parisienne, pour une excursion dans un lieu plutôt inhabituel… un chantier !

Car samedi soir, l’équipe NOVA a passé la soirée sur le chantier de la future ligne de métro 18 du Grand Paris Express. 

Depuis 2016, la société du Grand Paris ouvre à de rares occasions les chantiers du futur métro au public, le temps d’une soirée, avec l’idée de mettre en valeur les prouesses techniques de ces chantiers monumentaux, et d’impliquer les habitants dans les changements qui touchent leur territoire. Ces événements festifs et culturels ont été baptisés KM, pour kilomètres, (comme un symbole des kilomètres de voies qu’il reste à construire avant la mise en service du réseau d’ici 2030). Et hier soir à Massy, c’était la 9ème fête de ce genre, le KM9.

Dans ce premier épisode, on croise Frédéric, le Mr Loyal de la soirée qui nous présente le programme, et on discute avec l’équipe de JR qui a installé son photomaton géant pour permettre aux habitants de se faire tirer le portrait en version XXL.

Nova et la sono mondiale, ça dure depuis 40 ans. L’occasion pour Néo Géo Nova de fouiller dans ses souvenirs radiophoniques et d’écouter le Spécial Algérie avec Hamma, Souad Massi et Hasna el Becharia, en live dans les studios de Nova en 1999. 

Bintou Simporé, accompagnée du journaliste Tewfik Hakem et du comédien Allalou, recevait le groupe Hamma de la scène hip hop et ragga d’Alger. À leurs côtés, la chanteuse et guitariste, Souad Massi, qui faisait ses premiers concerts en France, venait chanter ses balades et protest songs, avant que celle qui fut surnommée « la rockeuse du désert », Hasna el Becharia, ne prenne place . 

Cette rencontre faisait suite au Festival Femmes d’Algérie, une initiative du directeur du Cabaret Sauvage, Meziane Azaiche, qui mit à l’honneur le courage et la liberté d’expression de ces artistes durant une décennie de guerre civile en Algérie . 

Remerciements à Tewfik Hakem, Allalou, Magali Bergès , Fadia Dimerdji et Isabelle Gornet . 

Nous rendons hommage à cet artiste décédé ces dernières heures, et passé sur nos ondes il y a bien longtemps.

Dans l'émission, Jean François et Rémy diffusent des extraits d'une interview réalisée par Loik Dury et Ivan Smagghe pour leur émission GONZO. 

Melvin y évoque son travail pour le journal Hara Kiri, sa rencontre avec l'écrivain Chester Himes mais aussi son film le plus célèbre Sweet Sweetback's Baadasssss Song.

David Bola nous emmène au Château-monastère de la Corroirie pour la cinquième édition du Sarcus Festival. Musiques électroniques, spectacles vivants, arts numériques mais aussi déconnexion. Pas question d’alimenter sa story ou de prendre des nouvelles de sa famille, les téléphones sont interdits sur le lieu. Le Sarcus festival c’est une pause, une expérience dans l’instant présent.

Une rencontre avec Simo Cell et Judaah, une balade en nature avec Green Resistance, Vernacular Orchestra dans la cuisine du châtelain : on s'émerveille avec les festivaliers dans ce deuxième épisode.

David Bola nous emmène au Château-monastère de la Corroirie pour la cinquième édition du Sarcus Festival. Musiques électroniques, spectacles vivants, arts numériques mais aussi déconnexion. Pas question d’alimenter sa story ou de prendre des nouvelles de sa famille, les téléphones sont interdits sur le lieu. Le Sarcus festival c’est une pause, une expérience dans l’instant présent.

Rencontre avec les festivaliers, échange avec Driss Bennis du label Casa Voyager et interview de Myako avant le début de son set : plongez dans une journée au Sarcus Festival. 

Retrouver des traces de “The Upsetter” Lee “Scratch” Perry dans les archives de Radio Nova équivaut à plonger dans son cerveau, dans un immense vortex sans fin aux échos savamment prononcés.

Nous avons passé une matinée à écouter différentes bandes, de différentes époques, 1987, 1992, 2001… les dates se chevauchent, les interventions de Jean-François Bizot et consœurs se succèdent, sans prendre la peine de savoir si nous faisons ou non de la radio FM, mais avec la certitude de plonger les auditeurs de l’époque dans le cœur du Soundsystem de Perry aux platines, au micro, mais surtout aux manettes de la console du 33, rue du Faubourg Saint-Antoine.

Le résultat : une heure de Lee “Scratch” Perry en direct depuis les studios de Radio Nova, en se baladant dans les époques…A Mad Love Trip. 

Dimanche 18 juillet c’était le Mandela Day en hommage au leader anti-apartheid de L’African National Congress (ANC) et ex-président de L’Afrique du Sud, Nelson Mandela.Retour sur Nova à l’année 1989 dans nos studios. L’apartheid sévit toujours et les artistes du monde entier continuent de lancer leurs messages pour que cesse cette monstruosité. Parmi eux, deux trinidadiens de passage à Paris après un séjour à Londres, des ambassadeurs du rapso, genre musical empruntant au calypso, à la soca et au rap, ouvert au reggae et l’afrobeat, pour se rappeler les racines africaines, affirmer les cultures caribéennes et dénoncer les injustices.

Brother Résistance, qui a beaucoup inspiré par sa poésie chantée l’artiste londonien caribéen Anthony Joseph, vient alors de sortir l’album « Rapso uprising ».

Il est décédé ce 13 juillet à Port of Spain. Nous lui rendons hommage avec cette session enregistrée lors de sa visite à Nova en compagnie de Karega Mandela.

Né en 1954 à Port of Spain, Roy Lewis changea par la suite son nom en Lutalo Masimba pour rappeler son héritage africain. Inspiré par le pionnier du rapso Lancelot Layne, artiste et militant trinidadien des années 70 qui accompagna les mouvements sociaux de l’époque ( à écouter,  « Blow away » réédité  par Cree Records, Lutalo alias Brother Résistance publia « Roots of de rapso rhythm » et « Rapso Explosion » (1984), « Rapso Takeover » (1986), and « Rapso Uprising » (1989) et continua sa croisade musicale et culturelle pacifique, reconnue sur le tard dans son propre pays.

Parmi ses chansons marquantes, citons Ring de Bell, Dancin Shoes Rapso,Tonite is de nite, Can’take that. Brother Resistance fut l’une des premières signatures du label Rituals Music lancé par Lorraine O’Connor (qui accompagna Brother Resistance à Nova), Jean Michel Gibert et Rosemary Hezekiah. En 2012, le prestigieux Quen’s Royal Collège dont il suivit les enseignements l’honorait pour sa contribution à la culture et aux arts de Trinidad.

L’artiste plasticien et géant de l’art contemporain, s’est éteint le mardi 14 juillet. Pour lui rendre hommage, Nova remonte en arrière et vous plonge dans une archive témoin d’une époque charnière pour l’engagement de l’art contemporain.

Il était 1997, Boltanski était l’invité de l’émission “On a vu ça”, animée par la spécialiste d’art contemporain de Nova Brigitte Cornand, accompagnée des critiques d’art moderne d’Elisabeth Lebovici, Bernard Marcadé et Pascaline Cuvelier. Boltanski était venu pour discuter de sa dernière exposition au Musée d’art moderne du Centre Pompidou, exposition dont il n’était pas du tout satisfait. L’occasion pour lui de remettre en cause la manière dont l’art contemporain est mis en avant dans les musées, et de partager sa vision de l’art.

Pongo, Lala &ce, Lova Lova, Philippe Katerine, Mikano, Quinzequinze, Acid Arab, Delgres, Yellowstraps… Nova était en direct du Festival Chorus.

Radio Nova a installé son studio à Boulogne-Billancourt, Boulbi pour les intimes, dans le 92, département des hauts-de-seine qui a vu naître Booba, Kenny Arkana, Laurent Garnier, le photographe Robert Doisneau... Une terre riche en culture, qui accueillait le Festival Chorus, pour sa 33ème édition à la Seine Musicale.

On vous fait revivre à fond cet évènement, avec les quelques 50 groupes venus se produire sur six scènes différentes.

Au programme, une déambulation avec Gystère sur le site du festival, Pongo nous raconte l'histoire du Kuduro, l'organisateur et programmateur du festival David Ambibard nous présente l'évènement, les interviews de Delgres et Acid Arab, et bien sûr, des lives, des concerts, des shows, et des lives.

Une émission animée par Morane Aubert et Smaël Bouaici, réalisée par Malo Williams.

Sur les plages Corse, les décibels montent et le sable chauffe. Reportages toniques et interviews les pieds dans l'eau, Sophie Marchand plonge son micro dans la fête avec Villa Schweppes.

Dans ce dernier épisode, on a rencontré Folamour ! Le DJ et producteur lyonnais nous raconte comment il vit la reprise des tournées et nous partage son point de vue sur l'industrie du disque.

Sur les plages Corse, les décibels montent et le sable chauffe. Reportages toniques et interviews les pieds dans l'eau, Sophie Marchand plonge son micro dans la fête avec Villa Schweppes.

Dans ce deuxième troisième épisode, on a croisé le copain musicien Mezerg, arrivé de Bordeaux avec ses claviers à Calvi pour ambiancer les plages.

Sur les plages Corse, les décibels montent et le sable chauffe. Reportages toniques et interviews les pieds dans l'eau, Sophie Marchand plonge son micro dans la fête avec Villa Schweppes.

Dans ce deuxième épisode, on a rendez-vous avec la DJ et productrice française Kittin !

Sur les plages Corse, les décibels montent et le sable chauffe. Reportages toniques et interviews les pieds dans l'eau, Sophie Marchand plonge son micro dans la fête avec Villa Schweppes.

Dans ce premier épisode, Sophie Marchand croise un ami de la radio, Yuksek ! Producteur, DJ, compositeur de musique de films qui nous fait danser tous les samedis soir dans son émission "Dance'o'drome" sur Radio Nova.

Mercredi soir, c'était la dernière Chambre Noire et pour finir en beauté on a fait appel à Deewee Records pour une émission extended ! De 22h à 00h, Soulwax & Friends prennent le contrôle de la radio !

Visuel © Radio Nova

Rest in Peace Timothy Jérôme Parker aka Gift Of Gab qui vient de nous quitter à l'âge de 50 ans. 

Joueurs de mots, flow acrobatique, immense rappeur de Sacramento, moitié de Blackalicious au côté de son acolyte Chief Xcel. Bien connu de notre antenne, il était aussi un membre actif du collectif & label indépendant Quannum Projects comptant entre autres Dj Shadow, Tommy Guerrero, Lyrics Born, Honey Cut, Lateef, Lyrics Born. 

On vient de remettre la main sur cette archive, un freestyle absolument brillant enregistré à Nova en 1999. Le Quannum Projects vient de jouer au festival des Transmusicales de Rennes. Le collectif de MC’s et DJ’s poussent plus loin les frontières du rap en cette fin de décennie.

Dans le studio de Nova, Chief Xcel et Gift Of Gab mais aussi Lyrics Born nous offrent sur un plateau la définition de la "Virtuosité".

Une pensée pour sa famille, ses proches et tout le Quaanum Possee...

Visuel © Getty Images

EP 06 : Rome côté nature

Où Emma et Fabio sortent de la ville à vélo par la voie Appia. Cette ancienne voie romaine avait été construite pour permettre aux soldats d’aller conquérir le sud de l’Italie et la Méditerranée. En route, ils dénichent les catacombes de San Callisto, le plus vieux cimetière chrétien et prennent un bain de nature. Dans cet épisode, on trouve enfin l’origine de l’expression « Tous les chemins mènent à Rome ».

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini.

Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome.

EP 05 : Rendez-vous à Trastevere

Où Emma et Fabio franchissent le Tibre. Avec l’artiste Anouk Chambaz, ils déambulent dans ce quartier aux ruelles pavées où des galeries d’art contemporain fleurissent à côté des trattorias et des ateliers d’artisans. Après une étape à l’église Santa Maria, célèbre pour ses mosaïques médiévales, ils s’arrêtent dans un café resté dans son jus des années 50 ! Dans cet épisode, on découvre que « Seule Paris est seulement digne de Rome, seule Rome est digne de Paris ».

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini

Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome.

EP 04 : Rome ville underground

Où Emma et Fabio arpentent Pigneto, un quartier bouillonnant et avant-gardiste. Après un spritz au Café Necci où Pasolini avait ses habitudes, Thibault Bircker, le bassiste du groupe WoW les emmènent dans des lieux alternatifs comme La Pescheria, un lieu de production et de partage autour des musiques actuelles et à la Fanfulla, salle de concert mythique de Pigneto. Dans cet épisode, on monte le son avec la nouvelle scène musicale romaine.

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini.

Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome.

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini

Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome

EP 02 : Retour vers la Rome antique

Où Emma et Fabio rendent visite aux chats sur le largo Argentina dans les ruines du temple où César fut assassiné. Dans le marché de Testaccio, ils font une halte chez Corrado pour déguster une « cucina povera ». Avec un archéologue, ils explorent les caves vieilles de près de 2000 ans situées sous le marché. Dans cet épisode, on réalise que le quartier est construit sur une épaisse couche de tessons d’amphores romaines.

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini.

Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome.

E01 : Les Mystères de la piazza Navona

Où Emma et Fabio se retrouvent sur la plus fameuse place de Rome ornée de trois fontaines. Ils descendent cinq mètres sous terre pour en découvrir les fondations : les ruines du stade de Domitien. De retour à la surface, ils s’extasient devant les trésors de la librairie Cascianelli au décor inchangé depuis le XIXe siècle. Dans cet épisode, on manque de se perdre dans un labyrinthe souterrain

Un docu-fiction pour une plongée palpitante au cœur de la Ville Éternelle loin des clichés de l’Italie.

Emma, étudiante française à Rome et Fabio, jeune traducteur, vous prennent par l’oreille et vous transportent au fil de leurs multiples rencontres dans la Rome des Romains. Celle qui ne se révèle pas du premier coup. Que se cache-t-il sous la Piazza Navona ? Quelle église abrite des tableaux du Caravage ? Quel marché est bâti sur des monceaux d’amphores ? Où bouillonne la nouvelle scène musicale romaine ? De quelles ruines les chats sont-ils les rois ? Êtes-vous sûr de connaître la recette des pâtes à la carbonara...

Roma Bella, une série de podcasts qui vous transporte dans l’ambiance romaine et vous donne l’irrésistible envie de prendre un de ces chemins qui mènent à Rome.

Ce podcast a été imaginé et réalisé par Bertrand Chaumeton avec le Studio Aller-Retour.

Dans les rôles d'Emma et Fabio : Sabrina Riou et Mattia Angelini Cette série est produite par l'ENIT, l'Office National Italien de Tourisme, avec la participation de Visite Rome.

A l’occasion de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition qui se tient chaque année le 10 mai et se poursuit par plusieurs commémorations dans les différents départements et territoires d’outre-mer, la Mairie du 18ème arrondissement parisien vous propose cette année d’assister et participer à plusieurs événements qui s’y dérouleront jusqu’au 18 juin, sous le titre : “Abolition de l’esclavage : En finir avec les traites, en finir avec l’esclavage.”

Au programme, exposition, théâtre et interview !

Dans le cadre d'un partenariat avec Radio Nova, Bintou Simporé rencontre Fréderic Régent maître de conférences et directeur de recherche à l’Ecole d’histoire de la Sorbonne, sur le thème de la route de la canne à sucre, du café et de ces produits coloniaux qui ont été au cœur de l’économie de l’esclavage dans les anciennes colonies françaises d’outre-mer du 17ème siècle à l’abolition définitive de l’esclavage en 1848. 

Dans “Un Nova jour se lève”, on écoute les acteurs qui font vivre les luttes d’“Action contre la faim”.

Directeur Pays Madagascar d’Action contre la Faim, Olivier Le Guillou est l’invité de cette matinale que nous consacrons aux luttes de l’association, avec un mot d’ordre : “Il faut agir, et maintenant”.

Dans “Un Nova jour se lève”, on écoute les acteurs qui font vivre les luttes d’“Action contre la faim”.

Analyste Plaidoyer du pôle Systèmes alimentaires et crise climatique chez Action contre la Faim, Marie Cosquer est l’invitée de cette matinale que nous consacrons aux luttes de l’association, avec un mot d’ordre : “Il faut agir, et maintenant”.

Dans “Un Nova jour se lève”, on écoute les acteurs qui font vivre les luttes d’“Action contre la faim”.

Directeur Général d’Action contre la Faim, Jean-François Riffaud est l’invité de cette matinale que nous consacrons aux luttes de l’association, avec un mot d’ordre : “Il faut agir, et maintenant”.

Pour notre journée spéciale dédiée à la santé mentale, Radio Nova vous présente un extrait d’un recueil électrique d’histoires de musiciens en prison. Son titre, « Sing Sing, Musiques rebelles sous les verrous » de Franck Balandier (éditions Le Castor Astral) avec une préface de Philippe Manœuvre.

Réalisation : Arnaud Forest.

Frank Balandier lit sur Radio Nova des épisodes de « Sing Sing, Musiques rebelles sous les verrous ».

Pour la journée spéciale dédiée à la santé mentale, Radio Nova vous présente trois extraits d’un recueil électrique d’histoires de musiciens en prison. Son titre « Sing Sing,  Musiques rebelles sous les verrous » de Frank Balandier avec une préface de Philipe Manoeuvre. 

Trois lectures signées le regretté Frank Balandier, dont voici le premier extrait dédiée à JoeyStarr. (le jaguar qui était venu nous rendre visite dans Teuf d’Appart, le 19 mars 2021). 

Pour notre journée spéciale dédiée à la santé mentale, Radio Nova vous présente un extrait d’un recueil électrique d’histoires de musiciens en prison. Son titre, « Sing Sing, Musiques rebelles sous les verrous » de Franck Balandier (éditions Le Castor Astral) avec une préface de Philippe Manœuvre.

Réalisation : Arnaud Forest.

Quelques jours après les déclarations d'Emmanuel Macron contre une possible légalisation du cannabis, enterrant du même coup les travaux de la mission parlementaire menée depuis plus d'un an sur le sujet.

Nova a consacré une journée entière à la question de la légalisation et aux formes qu'elle pourrait prendre.

Et de 17H à 19H : Parlons beuh, parlons bien ! Une émission spéciale présentée par Morane Aubert et Marie Misset, avec des spécialistes de la légalisation pour faire le tour du sujet. Avec : 

Eric Correia, élu dans la Creuse, engagé depuis 3 ans dans une autorisation et une production française de cannabis thérapeutique.

Dr Nicolas Authier, président du comité scientifique temporaire sur le cannabis à usage médical thérapeutique. Une expérimentation qui durera deux ans et qui a commencé en mars. 

Marie Jauffret-Roustide, sociologue et chercheuse à l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), qui mène des recherches sur les drogues et la réduction des risques. Connaisseuse des différentes législations au Canada, aux USA, au Portugal, en Uruguay ... 

Jouany Chatoux, fondateur de La Ferme Bio de Pigerolles qui fait pousser du chanvre et prépare l'émergence d'une filière de production française, en cas de légalisation du cannabis médical.

Et Wary Nichen, notre toaster du mardi avec un toast thématique où le thon en prend pour son grade. 

Parlons Beuh Parlons Bien, une émission hors-série qui parle de cannabis sans posture et sans tabous.

"Depuis qu'on a lancé le podcast, on a vu les choses évoluer d'une manière complètement folle !"

Camille Diao et Christophe Payet nous parlent de leur podcast consacré au cannabis : "Banana Kush".

Une série de 3 épisodes sur les liens entre répression de l'usage et de la vente du cannabis et héritage colonial en France.

D’après les travaux de l’historien américain David A Guba, Jr, spécialiste de l’histoire de la prohibition du cannabis en France au 19e siècle.

Dans Nova Lova, une chronique sur les musiques rituelles, les rythmes issus des musiques de guérison (traditionnelles ou repassées à la moulinette des musiques actuelles), des plantes ou bien des savoirs hérités racontés par des invité.e.s un peu sorcier.e.s de passage à Nova.

« Potion » un peu spécial, où Joao Selva, Archie Sheep et d’autres se confient sur leur plante favorite pour se relaxer : le cannabis. Avec en bonus une recette un peu particulière…

Et oui le cannabis ce n’est pas que chez les jeunes ! Victor, 55 ans, bientôt 56, nous raconte ses habitudes de consommateur de cannabis et ce qui a changé depuis 30 ans. 

« Il n’y a plus cette notion de partager le joint »

Des dealers de plus en plus organisés. Des carnets d’adresses, un démarchage commercial, des emojis étudiés et travaillés. 

Les principes du capitalisme et de la communication ont pris d’assault le trafic de drogue 2.0. 

Témoignages.

Visuel : © Getty Images / DeFodi Images

« L’Handicap invisible c’est la fatigabilité ». Face à la sclérose en plaques, il a créé « LaFleur », laboratoire français spécialisé dans l’innovation végétale. 

Franck Milone nous raconte son combat pour le développement du cannabis thérapeutique en France. 

Visuel :  © Getty Images /Kathryn Scott Osler

Théâtre d’un jeu croisés entre vendeurs, guetteurs et police, le « four » centralise le trafic de stupéfiants au sein de quartiers généralement défavorisés. Témoignages. 

« Ça passe » ! 

Visuel : © Getty Images / Jean-Pierre Rey

« J’ai 18 ans, j’ai commencé a bedave, il y a 3 ans ».

La consommation de cannabis débute de plus en plus jeune, avec près de 30% de consommateurs réguliers chez les jeunes adultes. 

Mais qu’est-ce qui attire cette jeunesse à consommer du cannabis ? Comment s’est passé leur « premier joint » ? 

Éléments de réponses. 

Visuel : © Getty Images / Robert Deyrail

Mado Gilanton, présidente de l'association Apaiser, explique pourquoi le cannabis thérapeutique est vital dans le traitement de certaines maladies et pourquoi il redonne le sourire à des patients drogués à d'autres traitements addictifs, tels que la morphine ou les opiacés.

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Christophe a ouvert une boutique dédiée au cannabidiol alias CBD en janvier 2021. Il vend du miel, des huiles mais aussi des herbes sans THC, la substance psychotrope du cannabis. Mais le goût, la texture sont toujours là. S'il a pu ouvrir son commerce, c'est parce qu'à l'échelle de l'Union européenne, il a été décidé en novembre 2020 qu'on ne pouvait pas interdire la vente de CBD, cette substance ne pouvant être considérée comme une drogue. Les gens en consomment pour être détendus mais aussi pour oublier leurs douleurs.

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Depuis quatre ans, Mathieu Boogaerts habite à Londres, une ville qu’il aime et qu'il chante dans un anglais d'expat très assumé. Ce samedi, il prenait les commandes de Radio Nova pour nous emmener dans son Londres à lui.

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22 septembre 2003. Au moment de la sortie d’Interstella 5555, les Daft Punk répondent aux questions des "20 minutes les plus chères de la Bande FM".

Le principe : des questions posées par les samples des voix du gratin du PAF, 

aux manettes dans le studio de Radio Nova Marc Alexandre Millanvoye et Tania Bruna Rosso

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Reza Pounewatchy et Judah Roger partageait l'antenne avec les proches de Tonton David pour une émission hommage. Des témoignages, des archives, de la musique, du soundsystem... Tonton David savait s'entourer : Mathieu Kassovitz, Princesse Erika, Nuttea, Olivier Cachin, Daddy Morry, Mokobe, Pierpoljak, Manu Katche, Benny Malapa, Nèg' Marrons... ont fait corps pour lui dire au revoir sur Nova.

Tonton David © Getty Images - Eric Robert

Wrap rage (« Devenir furieux contre les emballages » ou « rage de l'emballage »1) est une expression de l'anglais américain désignant un niveau élevé de colère, de frustration ou de rage provoqué par l'impossibilité d'ouvrir certains emballages, en particulier les blisters et les doubles coques scellées par application de chaleur.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

Jeremy est un escargot (Helix aspersa) senestre qui a fait l'objet d'études scientifiques et de l'attention des médias en raison de la structure très rare de sa coquille. Alors que les escargots de cette espèce sont habituellement dextres (leur coquille s'enroulant dans le sens des aiguilles d'une montre), celle de Jeremy, en raison d'une mutation génétique rare, s'enroulait dans le sens inverse.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

La manie dansante, ou chorémanie ou encore épidémie de danse de Saint-Guy, est un phénomène d'hystérie collective principalement observé en Allemagne et en Alsace entre les xive et xviiie siècles. Il s'agit d'un groupe de personnes se mettant subitement à danser de façon incontrôlable et étrange. Ce mal affectait des hommes, des femmes ou des enfants, ceux-ci se mettaient à danser jusqu'à s'écrouler de fatigue et continuaient à se tortiller même à terre.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

Un moulin de fourmis est un phénomène dans lequel un groupe de fourmis légionnaires, qui sont aveugles, sont séparées du groupe principal et perdent la piste de phéromone. Elles commencent à se suivre en formant un cercle fermé. Les fourmis finissent par mourir d'épuisement. Ce phénomène a été reproduit en laboratoire et dans des simulations de colonies de fourmis.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

La guerre des chimpanzés de Gombe, aussi connue sous le nom de la guerre de quatre ans de Gombe, qui a duré de 1974 à 1978, est un épisode de conflit violent entre deux communautés de chimpanzés, dans le parc national de Gombe Stream en Tanzanie.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

Le kanchō (カンチョー?) est une blague d'origine japonaise (aussi connue en Corée sous le nom de 똥침, ddong chim et à Taïwan sous le nom de 千年殺, Qiānnián shā) qui consiste à imiter la forme d'un pistolet avec ses mains (en joignant ses deux paumes tout en refermant ses doigts sauf les index) et d'essayer de l'insérer dans l'anus de la victime.

L’incident de Jimmy Carter et du lapin, surnommé « l’attaque du lapin tueur » par les médias, est l’affaire d’un lapin aquatique (Sylvilagus aquaticus) qui essaya de monter dans la barque du président américain le 20 avril 1979.

Le 20 janvier, nous avons célébré les 20 ans de Wikipédia avec une journée spéciale. On a souhaité à Wikipédia de grandir encore, de s'améliorer toujours et de nous faire rire. Et on vous a lu aussi à l'antenne quelques-uns de nos articles préférés...

Depuis 2005, une guerre sans merci oppose sur Wikipédia les partisans de l’usage du mot « endive » à ceux et celles qui préféreraient que l’on utilise le mot « chicon » pour désigner la chicorée de Bruxelles, cette plante à pousses blanches qui se consomme en salade ou accompagnée de jambon braisé nappé d’un délicieux fromage fondu pour oublier l’absence de goût de ce légume trop chiant. Voici le résumé de quinze ans de débats rageurs.

Source : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Discussion:Endive&oldid=159048203

Réalisation : Charlène Nouyoux, avec les voix de David Bola, Florian Bouhier, B., Louna Bricoteau, Augustin Dumontet, Richard Gaitet, Marie Misset, Théo Sebald.

La Reine du Mardi gras entend jouer, ici, « le tout pour le tout » : deux chansons brûlantes tirées de sa dernière galette, assorties de textes inédits et autres fèves métaphysiques en diable, nom de dieu !

La Reine du Mardi gras entend jouer, ici, « le tout pour le tout » : deux chansons brûlantes tirées de sa dernière galette, assorties de textes inédits et autres fèves métaphysiques en diable, nom de dieu !

« Épiphanie », nom féminin : « prise de conscience soudaine et lumineuse » d’une « manifestation de la divinité ».

Dans le secret de son temple de l’Île Saint-Louis, Brigitte Fontaine, déesse shiva millénaire de la chanson française, a exprimé une nuit le désir électrique de jouer, aux premières lueurs de 2021, deux chansons brûlantes de son dernier album en date, Terre neuve, sorti il y a pile un an, avant de nous offrir quelques nouvelles de son année confinée, « allongée à la romaine, très chic », occupée à écrire son prochain livre, La vieille prodige, à paraître au printemps.

En compagnie du guitariste Yan Péchin, compositeur et co-réalisateur de ce disque radical de poésie infernale, la femme-léopard confie avoir voulu « s’approprier la rage » des Sex Pistols.

Les zazous, il est l’heure de retourner s’abreuver à la Fontaine.

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Elle est née à Rabat, au Maroc, mais a passé ces dernières années à Amiens, Lille, Paris. Ses mixes laissent l’auditeur circuler entre chaâbi algérien, techno pointue, raï international, house qui vole, chants en arabe, youyous, percussions folkloriques… C’est le monde pluriel et open-minded deگليثر Glitter ٥٥ qu’on vous proposera aussi, sur Nova.

Des platines ouvertes à toutes les scènes actuelles africaines et aux hommes et aux femmes qui les font vivre, c’est comme ça que Radio Nova veut ouvrir 2021 et attendre le nouveau monde. 

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Journaliste, styliste, membre active du collectif Nyege Nyege, DJ, directrice d’ateliers de DJ pour les jeunes femmes, Catu Diosis est devenue au fil des mois l’une des grandes figures des scènes club d’Afrique de l’Est.

Signée sur le label Hakuna Kulala, elle nous donnera, la nuit du 31, un aperçu de ce qui se joue un peu partout en Afrique et en Ouganda, le pays dont Catu Diosis est originaire.

Des platines ouvertes à toutes les scènes actuelles africaines et aux hommes et aux femmes qui les font vivre, c’est comme ça que Radio Nova veut ouvrir 2021 et attendre le nouveau monde. 

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Nous danserons sur les cadences d'Asna, DJ d’Abidjan la festive, à l'occasion passeuse de disques pour le collectif La Sunday, et qui a créé le projet Sunyubok, qui regroupe des jeunes talents émergents de nombreuses disciplines venant d’Afrique de l’Ouest. Cette exploratrice du son réinvente les rythmes saccadés du coupé-décalé, et mixe les basses de la gqom et du kuduro à la frénésie des chants traditionnels.

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Cheetah est une figure camerounaise de la scène afroparisienne est arrivée en France il y a dix ans. Fondatrice du Black Square Club et des soirées Trap Africa, elle nourrit ses sets de hip-hop majoritairement ghanéen, ivoirien, gabonais, sud-africain et camerounais et les mélange.

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DJ Lag, celui grâce à qui le GQOM, qui cartonne depuis plusieurs années en Afrique du Sud et tout spécialement à Durban, a quitté les recoins ombreux de l’underground pour se propager plus loin, sous les néons des clubs et des festivals du monde entier. 

On l’avait rencontré au Sónar 2019, et on vous l’a joué souvent sur Radio Nova. DJ Lag, pionnier avéré du genre GQOM, aurait d’abord vu sa musique véhiculée à Durban par… les taxis de la ville, qui jouaient sa musique bien fort et les fenêtres ouvertes, avant que tout le monde, là-bas, ne s’approprie le mouvement.

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Fally Ipupa, artiste mondialement reconnu de Kinshasa, où la scène musicale explose et explore en permanence de nouveaux sons, ouvrira le bal.

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Vendeur de cassettes à la gare routière de Bamako, le jour, DJ dans les clubs de la capitale malienne, la nuit : voilà la jolie légende qui accompagne la carrière de MO DJ (aka Electronic Marabout), ce DJ malien désormais résident parisien dont on sait qu'il fut un des premiers, au Mali, à remixer la musique africaine afin de l'emmener ailleurs. Armé d'une boîte à rythme de fortune qui lui permis de dépasser les frontières, MO DJ est notre invité pour ce passage de 2020 à 2021. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est un honneur.

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Un texte, une voix, une ambiance et tout ça pour le plaisir de vos oreilles. Capsaudio collabore avec de nombreux artistes aux compétences varié(e)s pour présenter des podcasts originaux en son et en image.

«Oui 1.2»

• Un texte de Pol Novo

• Interprété par Ambroise Michel / @ambroise.michel

• Direction d’acteur : Clémentine Domptail / @Clémentine Domptail

• Sound design/Compo/Mixage : Pol Novo / @je_suis_polno

• Illustration : @pierre_arsene_maurice

• Animation : Victor Escobar / @arvescob

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« Capsaudio », objet sonore produit et pensé par Pol Novo et Clémentine Domptail, à retrouver la nuit sur Nova et tout de suite en podcast.

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« L'eau »

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Clémentine Domptail / @clementinedomptail

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• Animation : Victor Escobar / @arvescob

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« Au-delà des larmes »

• Un texte de Magali Lecoq /

@ma.ga.li.lecocq

• Interprété par l’auteure.

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« La terre. »

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Vincent Deniard / @vincentdeniard

• Direction d’acteur : Clémentine Domptail / @clementinedomptail

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• Illustration : Cyrine Klouz / @collagecy

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Nova vous propose de vous balader dans une ville imaginaire Los Santos, une mégapole un peu violente où 3 gangs se disputent l’est de la ville. 

Au centre, la fête s’en fout du coronavirus et la mafia russe régne en maître, le nord ouest c’est pour les rupins et la plage c’est pour les latinos … Alors montez le son, et verrouillez les portes de la caisse, on part en virée avec Marie Misset et Sophie Marchand pour tester les nouvelles radio apparues dans le jeu. 

Visuel © Radio Nova 

Gérard a 63 ans et glisse sur l’asphalte du quartier Châtelet à Paris avec son fauteuil roulant. Mais la vie dans la rue quand on souffre d’un handicap n’est pas de tout repos. Gérard passe ses journées à user ses bras et l’une de ses jambes pour pouvoir avancer. Son frère de la rue, lui aussi prénommé Gérard, n’est plus là pour le pousser.

Sans A, c'est un média en ligne lancé par Martin Besson qui s'attache depuis sa création à rendre visibles ceux que l'on ne regarde plus.

Cette année, avec l'aide de l'agence Sixième Son, Sans A développe une série de podcasts visant à rendre audibles ceux que l'on n'entend plus. Nova diffuse ces productions.

Visuel © Sans A 

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« Le vendeur de recettes »

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Eric Daries / @realmozo

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• Illustration : Alexander Ederstaal / @Alec.sonder

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«Lemal.»

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Astrid Albiso /

@astrid_albiso

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• Sound design/Compo/Mixage : Pol Novo / @je_suis_polno

• Illustration : Aline Khieu / @psychaotique

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«Oui 1.1»

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Clémentine Domptail /

@clementinedomptail

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• Illustration : @bengal_Illustration

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Objet sonore.

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« Requiem d’un escargot pour un humain. »

• Un texte de Pol Novo.

• Interprété par Eric Daries / @realmozo

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Radio Nova s’unit à la Sacem pour soutenir les auteurs, compositeurs et éditeurs de la scène française.

Toute la semaine, à l’antenne (chaque jour à 7h20) et en podcast, nous allons à la rencontre de leur univers et de leur lutte en période de confinement. 

"Fatalement, le manque du public à changer mon art. Il faut absolument que je déclenche quelque chose de fort chez les gens."

Flo The Kid est un rappeur parisien, américain fantasmé. Sa spécificité : il rap en anglais. Après avoir collaboré avec l'artiste Møme, cet artiste indépendant a sorti un projet en plein coeur du confinement appelé "Emotions".

On lui a demandé : "Et toi, comment ça va ?"

Visuel : ©Arthur Haik

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"On a la chance de ne pas être bloqué complètement"

Saxophoniste, compositeur, producteur, réalisateur, Laurent Bardainne multiplie les projets et collaborations depuis plusieurs années. Il a fondé ou cofondé des groupes - électro, pop, punk, jazz - comme Poni Hoax ou Limousine. Il revient à l'affiche avec Tigre d'Eau Douce : un premier album joyeux et solaire.

On lui a posé la question : comment ça va, en ce moment ?

Getty Images / ©Foc Kan

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"Je continue. Même si je gagne 0 euro"

On prend des nouvelles de la scène française avec la formation bordelaise Obsimo : un univers électronique lumineux où se mêlent des voix véhémentes, des synthés lancinants et des guitares éthérées. 

Andrei, musicien électro, qui joue donc sous ce nom, Obsimo, au micro de David Bola.

On lui a posé la question : comment ça va, en ce moment ?

Image : Facebook - Obsimo

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"Financièrement, je dois donner des cours de batterie".

On a rendez-vous avec le groupe Amarula Café Club... Et on leur a tout simplement demandé : comment ça va.

Radio Nova s’unit à la Sacem pour soutenir les auteurs, compositeurs et éditeurs de la scène française.

Toute la semaine, à l’antenne (chaque jour à 7h20) et en podcast, nous allons à la rencontre de leur univers et de leur lutte en période de confinement. 

"On continue à faire de la musique pour avoir un espace pour extérioriser. Ça fait du bien".

Lancés, comme beaucoup de groupes, dans la frénésie de la tournée est des vols d'avion que l'on prend à la volée, les membres de The Psychotic Monks ont vu leur élan freiné par l'arrivée de la Covid-19.

Visuel © Maria Monteiro

Où fêter la sortie de son album quand le monde entier est plongé dans une crise sanitaire qui se prolonge à n'en plus finir ? Chez Radio Nova. Où Bonnie Banane, qui sort son album Sexy Planet, a-t-elle fêté la sortie de son album qu'elle devait à l'origine célébrer du côté de La Boule Noire ? Chez Radio Nova. Les planètes, le soleil et la lune, malgré le contexte, se sont alignées.

Bonnie au micro, deux heures, avec des invités de marque (Flavien Berger ou Para One, qui a produit l'album) ? C'est un rêve devenu réalité. C'est en podcast.

Visuel © Radio Nova

Il faut que je vous explique. Il y a une dizaine de jours, c’était la nuit, je marchais sous les platanes de la rue de Crimée, quand soudain l’un de ses arbres vénérables s’est mis à me parler. J’ai cru que je devenais dingue, mais les idées avancées par ce platane étaient parfaitement organisées, il s’agissait d’une idée à laquelle je n’avais jamais vraiment réfléchi jusqu’à présent. Cet arbre m’invitait à pour ne plus voir le règne végétal comme un décor, mais comme une équipe de cohabitants de la ville, de la planète, à réfléchir aux conditions de vie des sapins, des tilleuls, des aloe veras ou des palétuviers, il m’invitait à « prendre leur parti », en tirant des leçons de leur exemplaire interdépendance « liés par le sous-sol, tous ensemble, forever ».

Puis cet arbre s’est mis à me faire des… des propositions, qui ressemblaient beaucoup à une interview récemment donnée par la comédienne et autrice Laetitia Dosch, à propos de son nouveau spectacle en préparation, Les Arbres vous parlent, né pendant le confinement : « Les arbres pourraient vous écrire, à vous les humains, des contes, des poèmes, les arbres pourraient donner des conférences, pour vous faire prendre conscience du péril écologique et de votre rôle à jouer dans tout ça. Ils vous transmettraient ce qu’ils savent depuis des millénaires et que vous n’arrivez pas bien pas à ressentir. Ils vous parleraient de leur façon de se mettre en réseau, de leur solidarité, qui permet l’équilibre, la survie, l‘épanouissement de l‘individu, sa beauté, ses feuilles… mais sans altérer l’épanouissement de l’ensemble de la forêt. Les arbres vous ouvriraient les yeux, à vous humains, dans votre monde où la concurrence fait loi. »

J’étais très intéressé par les convictions de ce platane. J’allais lui parler de mon métier, de Radio Nova, puis il m’a dit qu’il était déjà au courant, que c’était pour ça qu’il m’abordait dans la rue, la nuit : pour imaginer, ensemble, une « Radio Arbres ». Une radio éphémère, qui offrirait la parole aux arbres, mais qui permettrait aussi aux humains de dialoguer avec eux, avec patience, affection et curiosité réciproque. Pour peut-être, changer le cours de la relation entre nos espèces. Et… c’est pour cette raison que nous sommes aujourd’hui en public et en direct de la cour du lycée Jacques-Decour, 12 avenue Trudaine Paris 9e, dans le cadre du festival

Paris l'été. En compagnie de trois arbres, un figuier, un prunus et un cyprès, plantés ici depuis de longues années. Est-ce un grand pas pour l’humanité, paradoxalement immobile ? « Quand on sait qu’un arbre est sensible à la douleur et a une mémoire, que des parents-arbres vivent avec leurs enfants, on ne peut plus les abattre sans réfléchir ni ravager leur environnement en lançant des bulldozers à l’assaut des sous-bois. » écrit Peter Wohlleben, ingénieur forestier et écrivain allemand, auteur en 2015 du best-seller La Vie secrète des arbres. C’est ce secret que nous essayerons de percer, modestement, avec eux.

Une émission imaginée et animée par Richard Gaitet, Laetitia Dosch, Léa Machado et Yuval Rozman, avec le soutien de la compagnie AlterMachine. Réalisation : Lucile Aussel, avec l’aide de Nabil Chafa. Programmation musicale : Max Guiguet & Richard Gaitet. Coordination : Esteli Hernandez Ortiz. Merci à Matthieu Fontaine, Laura Marie et toute l’équipe du festival Paris l’été.

Pendant des semaines, alors que la fête était confinée, le duo de diggers Aurélien Hass et Jeff Lasson qui officie depuis dix ans sous le nom de Get A Room! vous a fait sortir les baffles dans votre salon, votre cuisine ou votre chambre peut-être, avec une résidence sur notre antenne à l'occasion des Teuf d'Appart. Aujourd'hui, alors que la fête commence doucement à réinvestir les espaces extérieurs, Get A Room! continue de vous accompagner, avec un mix spéciale vacances. 

C'est presque une tradition. Depuis neuf ans, Get A Room! sort début juillet leur Sunset Mix. Un set imaginé pour accompagner au mieux votre été, « le brief c'est bord de piscine, hautes températures, farniente », explique Aurélien Hass. Ce Sunset Mix, comme les précédents, a été composé à partir de disques chinés en brocante, beaucoup de 45 tours - une manière pour le duo de faire perdurer la culture DJ, la culture du digging - avec des curiosités françaises des années 70, 80, de sons baleraric. « On essaie de ne pas mettre des morceaux trop évidents, et aussi de ne pas être trop élitiste en évitant les disques qui coûtent une fortune, il y en a certains qu'on a trouvé à 3 euros en brocante » commente Aurélien Hass.

Toute l'année, Get A Room! a empilé des disques pour vous offrir les meilleurs des sons de l'été. Ça donne un mix : le Sunset Mix 2020.

Visuel © Get A Room!

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Il diavolo nel cervello / Sollima

Una lucertola con la pelle di donna / Fulci

Queimada / Pontecorvo

Le Grand Silence / Corbucci

* Cinq hommes armés / Taylor et Zingarelli

Revolver / Sollima

Milano odia : la polizia non puo sparare / Lenzi

Città Violenta / Sollima

Visuel © Getty Images / Eric VANDEVILLE

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Comandamenti per un gangster/Caltabiano

Un uomo da rispettare / Lupo

Spogliati protesta uccidi et Quando l'amore è sessualità / De Sisti

Untouchables / De Palma

Le syndrome de Stendhal / Argento

Visuel © Getty Images / Robin Little

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner.

Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Le Bon, La Brute et le Truand / Leone

L'oiseau au plumage de cristal & Le Chat à neuf queues / Argento

Sans mobile apparent / Labro

La donna invisibile / Spinola

Le clan des Siciliens / Le Professionnel : reprises de John Zorn

Mission To Mars / De Palma

Visuel © Getty Images / Robin Little

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

La bataille d'Alger / Pontecorvo

Escalation / Faenza

La tarentule au ventre noir / Cavara

Giornata nera per l'ariete / Bazzoni

Barbe Bleue / Dmytryk

Le Secret / Enrico : une des musiques les plus romantiques de Morricone

La Banda J & S, Corbucci

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Ennio Morricone - 9 Décembre 2000

Le Grand Silence / Corbucci

*5 hommes armés / Yates

Metti, una sera a cena, Patroni Griffi

Visuel © Getty Images / Michael Gottschalk

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Navajo Joe / Corbucci

Città Violenta / Sollima

Un uomo da rispettare / Lupo

Cop Killer / Faenza

Harcèlement / Levinson

Visuel © Getty Images / Jim Dyson

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

* Cinq hommes armés / Taylor et Zingarelli

Et pour quelques dollars de plus / Leone

I crudelli / Corbucci

Metti, una sera a cena / Patroni Griffi

L'assoluto naturale / Bolognini

Le foto proibite di una signora per bene / Ercoli

Il mostro/Zampa

Le syndrome de Stendhal / Argento

Visuel © Getty Images / Gianni GIANSANTI

Il fut un temps, entre le début des années 90 et 2006, où Nova était la seule radio à diffuser de la musique de film à des heures de grande écoute. C’était avant le podcast, les rediffusions et le streaming : c’était Nova fait son cinéma.

À l’époque, j’avais l’impression avec Isabelle Gornet, la réalisatrice, de faire découvrir des pans entiers à un nouveau public de l’histoire cachée de la musique : notre seul guide, c’était notre oreille, notre goût, notre plaisir d’écoute, et aussi l’envie à chaque émission d’offrir à l’auditeur un film sonore, ponctué d’effets, de dialogues de films. Dans le panthéon des musiciens programmés dans l’émission, Ennio Morricone était une des stars. Mais j’avais envie d’aller un peu au delà de ses « tubes », magnifiques, composés pour Sergio Leone, et faire découvrir aux auditeurs les faces « B » de la carrière du maître.

Et très vite, on a programmé les musiques rares, en traquant les rééditions japonaises en CD, ou des vinyls épuisés. J’ai fait de réelles découvertes, et j’ai réalisé qu’il y avait plusieurs facettes de Morricone : le Morricone romantique, ironique, pernicieux, parodique, jazzy, déconstruit, romantique ou carrément « dark ». Ce sont toutes ces facettes qu’on peut entendre au fil des émissions programmées en rediffusion : le Morricone des « giallo », des « Série B », des films d’auteur qui n’ont pas toujours été distribués en France. Celui de La Donna invisibile, L’assoluto Naturale, Metti una sera a cena, Un Uomo da rispettare et des films de Dario Argento. Mais on écoutera aussi des morceaux plus inattendus, comme le thème presque funk de Cop Killer. Morricone a toujours imposé son style aux films dont il faisait la musique : c’est pour cela que ses compositions se passent assez souvent des images qu’elles étaient censées accompagner. Certaines des émissions qui passeront au cours de l’été sont presque des documents. Dans l’une d’elle, j’appelle les auditeurs à « voter ». C’était entre les deux tours des élections en 2002 : un pur suspense à la Morricone. Merci NOVA !!!

Nicolas Saada

Tracklist

Il était une fois dans l'Ouest / Leone

Il diavolo nel cervolo / Sollima

La cosa buffa / Lado

Le Désert des Tartares, Zurlini

Voyage of terror (TV) / Negrin (TV)

Frantic / Polanski

Visuel © Getty Images / Patrick MESNER

En hommage à Ennio Morricone, disparu ce lundi à l’âge vénérable de 91 ans, on est allé farfouiller dans ses quelques cinq cents bandes-originales, composées depuis les années 60 pour Argento, De Palma, Verneuil, Tarantino, Pasolini, Malick, Fulci, Friedkin, Boisset, Leone, Carpenter, Almodovar, etc. - on pourrait continuer jusqu’à demain.

Une carrière titanesque dans laquelle Nova Bordeaux vous dessine, au travers de ce mix « Ciao Ennio ! », un itinéraire choisi. Loin des cowboys à guimbarde peuplant les westerns spaghetti (un terme qu’il haïssait), ces deux heures aux côtés du maître romain leur préfèreront les curiosités psyché et les relectures bossa, voire carrément garage-rock (« Adonai » !). Mais aussi des ritournelles d’alcôves aux tamisages propices, l’anxiété lancinante d’intrigues piégeuses, d’inaltérables fascinations et de précieuses madeleines cinéphiles.

Oui, il y a tout ça dans ce mix, saupoudré de quelques prises de parole — en italien dans le texte, comme il l’exigeait pour ses interviews — du grand Ennio.

Arrivederci, Maestro.

Les tragiques événements qui ont secoué la France et plus récemment les États-Unis avec la mort de Georges Floyd ont poussé la programmation de Nova à se replonger dans sa discothèque. Nous en avons ressorti quelques titres marqués par l'esprit « Black Lives Matter ».

Des artistes issus du Hip-Hop et de la Soul ont largement évoqués ce thème. Christian Nzonta, l'un de nos programmateur et fondateur du Paris Soukous Club a concocté un mix de 2"22'20 dans lequel à travers les titres tracklistés exprime la colère, l'état des lieux et l’espoir.

Tracklist

Stevie Wonder - Love's In Need Of Love Today

KRS-One - Sound of da Police

Public Enemy - Fight The Power

Gil Scott-Heron - The Revolution Will Not Be Televised

Public Enemy - Anti-Nigger Machine

J Dilla - Fuck The Police

Michael Kiwanuka - Black Man In A White World

The Five Stairsteps - O-o-h Child

Kendrick Lamar - Alright

Joey Bada$$ - For My People

Childish Gambino - This Is America

Passi - Les flammes du mal

Syl Johnson Is It Because I'm Black

Arrested Development - Revolution

Kendrick Lamar - King Kunta

A Tribe Called Quest - We The People

Stevie Wonder - Black Man

Nas - Cops Shot The Kid feat. Kanye West

Brand Nubian - I'm Black And I'm Proud

The Temptations – Message from a Black Man

Nina Simone - Backlash Blues

Raphael Saadiq - Good Man

Nina Simone - Baltimore

Lauryn Hill - Forgive Them Father

Bobby "Blue" Bland - Ain't No Love In The Heart Of The City

Ministère Amer - Sacrifice de poulets

Angie Stone - Brotha

Junior Murvin - Police and Thieves

Raggasonic - Kisder

Nas - If I Ruled the World feat. Lauryn Hill

Stevie Wonder - Living For The City

Common - The People feat. Dwele

Kendrick Lamar - The Blacker The Berry

Noname - Reality Check feat. Eryn Allen Kane & Akenya

Tracy Chapman - Talkin' Bout A Revolution

John Legend & The Roots - Wake Up Everybody feat. Melanie Fiona, Common

Rotary Connection - I Am the Black Gold of the Sun

Visuel © Getty Images / Samir Hussein

Luiz Inácio Lula da Silva fût le président du Brésil du 1ᵉʳ janvier 2003 au 1ᵉʳ janvier 2011. Pris dans des affaires judiciaires à partir de 2011, il a passé un an et demi incarcéré pour corruption, jugé par Sérgio Moro, celui qui fût le ministre de la justice de Jair Bolsonaro jusqu'au 24 avril dernier, avant d’être libéré en novembre dernier.

Toujours actif sur la scène politique, Lula est favorable à la destitution de Jair Bolsonaro, tout en s'inquiétant du rôle prépondérant des militaires, qui ont selon lui "plus d'influence au gouvernement" qu'au moment de la dictature (1964-1985).

Quel avenir Lula imagine t-il, pour le monde ? Ecoutez, c’est un document Nova.

Dans cet épisode de notre émission Le Pudding, animée par Nicolas Errera avec un mix musical imaginé par Jean Croc, on parle - évidemment - de pudding, avec le paléoanthropologue Yves Coppens et Emmanuelle Pouydebat, une de ses élèves. On parle aussi des ancêtres de l'homme, de Lucy, premier fossile d'australopithèque relativement complet jamais trouvé alors, de couleur de peau des premiers êtres humains, de musique et de bien d'autres choses...

Crédit photo : LIONEL BONAVENTURE / AFP

Dans cet épisode de notre émission Le Pudding, animée par Nicolas Errera avec un mix musical imaginé par Jean Croc, on parle - évidemment - de pudding, avec le paléoanthropologue Yves Coppens et Emmanuelle Pouydebat, une de ses élèves. On parle aussi des ancêtres de l'homme, de Lucy, premier fossile d'australopithèque relativement complet jamais trouvé alors, de couleur de peau des premiers êtres humains, de musique et de bien d'autres choses...

Crédit photo : PATRICK KOVARIK / AFP

Dans cet épisode de notre émission Le Pudding, animée par Nicolas Errera avec un mix musical imaginé par Jean Croc, on parle - évidemment - de pudding, avec le paléoanthropologue Yves Coppens et Emmanuelle Pouydebat, une de ses élèves. On parle aussi des ancêtres de l'homme, de Lucy, premier fossile d'australopithèque relativement complet jamais trouvé alors, de couleur de peau des premiers êtres humains, de musique et de bien d'autres choses...

Crédit photo : PHILIPPE WOJAZER / POOL / AFP

Dans cet épisode de notre émission Le Pudding, animée par Nicolas Errera avec un mix musical imaginé par Jean Croc, on parle - évidemment - de pudding, avec le paléoanthropologue Yves Coppens et Emmanuelle Pouydebat, une de ses élèves. On parle aussi des ancêtres de l'homme, de Lucy, premier fossile d'australopithèque relativement complet jamais trouvé alors, de couleur de peau des premiers êtres humains, de musique et de bien d'autres choses...

Crédit photo : Lionel BONAVENTURE / AFP